Bienvenue sur la cité d'Atlantis, Invité.
Tous les groupes sont importants, veillez à essayer de les équilibrer.
Quelques ennemis ne seraient pas de trop...
Les possibilités de jeux sont nombreuses pour les humanoïdes en dehors d'Atlantis,
tous ne sont pas obligés de rejoindre la Cité pour jouer ou s'intégrer correctement.
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 ALEX VALENTYNE + pyrowoman

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Admin ◮ Major Koala
Alexandra R. Valentyne

Alexandra R. Valentyne


◮ DOSSIERS : 819
◮ HERE : hidden in the haze of villdyr
◮ JOB : major in the united states marines corps but she's also the leader of sga-3
◮ COMPTES : mckay, lorne, wilson #2, top'ha, kanavu, kasumi, de medicis

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actuellement en stage sur Villdyr




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MessageSujet: ALEX VALENTYNE + pyrowoman   ALEX VALENTYNE + pyrowoman I_icon_minitimeSam 23 Aoû - 23:28

ALEX VALENTYNE + pyrowoman 8KY
STARGATE PROJECT CONFIDENTIAL FILE



« That was a waste of a perfectly good explanation »
Major Alexandra Rachel Valentyne au rapport mais appelez-moi Alex ou Major. Malgré mes 32 piges je suis l'un des meilleurs major de la marine spécialisé(e) en explosifs et techniques de combat de mon pays. Par ailleurs, je représente Brooklyn sur la Cité d'Atlantis. En dehors du boulot, je suis célib' mais cela ne m'empêchera pas d'être présente tous les jours parmi vous. Suite à un virus contracté sur une planète étrangère, il semblerait que j'ai quelques ressemblances physiques avec Keira Knightley.
D'après le Docteur Lam, je serai potentiellement doté du gène des ancêtres, c'est faux.
Tête brûlée, Froide, Désobéissante
Désorganisée, Impulsive, Versatile


Anecdotes »
ne jamais l'appeler alexandra si vous tenez à la vie ; elle se fait donc plus souvent appelée alex et major par les autres militaires + son entrée au sein du stargate command est du au hasard et à un coup de chance, elle n'aurait pas du en être normalement + elle maîtrise les explosifs depuis qu'elle a seize ans ; déjà à cette époque, elle s'amusait avec le feu dans les rues de brooklyn + elle tiens très très bien l'alcool car, dit-elle, elle vidait les bouteilles de vodka avant même de savoir ce qu'était une diagonale + adepte des bagarres de rue, elle a rencontré tom hodgins, patron d'un club de boxe ; c'est ce dernier qui lui a appris à se défendre. par la suite, alex a appris d'autres arts martiaux. ainsi, elle maîtrise le jiu-jitsu brésilien, pratique le taekwondo et le muay-boran de façon répétée et régulière ; elle est également capable de mettre un adversaire k.o au wushu (ou kung-fu), judo et banshay. sans oublier ses réflexes dûes à la boxe ; elle a ainsi développé et créé sa propre technique de combat au corps-à-corps + en mission de terrain, elle n'en fait souvent qu'à sa tête et il n'est pas rare qu'elle esquive des attaques en les contournant pour attaquer l'ennemi de l'intérieur + elle adore l'eau depuis qu'elle est enfant et c'est ce qui l'a poussé à choisir la marin + elle rêve de pouvoir voler + elle a eu un casier judiciaire dès son adolescence car elle volait des bouteilles et de la nourriture. son casier a été effacé par un agent fédéral qui s'est pris de sympathie pour elle sans qu'elle ne comprenne pourquoi + grosse fumeuse, elle a toujours un paquet de clopes sur elle qu'elle n'hésite parfois pas à troquer sur d'autres planètes car, selon elle, c'est mieux que de leur refiler du chocolat + bien qu'elle n'en donne pas l'air, elle prend soin d'elle + elle a été internée à l'hôpital psychiatrique pendant quinze mois et est toujours suivit par un psychiatre depuis + son vocabulaire est riche en métaphore et en vulgarité dû à son enfance passée dans des quartiers dits craignos + il semblerait qu'elle ait fait une tentative de suicide ou qu'elle se soit auto-mutilée après avoir vu son père, colonel dans l'armée de terre, péter les plombs et abattre sa mère en se pensant en pleine guerre + elle fait toujours preuve d'un stoïcisme effarant et semble être une adepte du je-m'en-foutisme aiguë + elle a rejoint l'expédition atlantis en 2012 seulement et a pris la tête de sga-3
Antécédents médicaux »
fractures + casse-cou depuis son plus jeune âge, alexandra a bien souvent terminée à l'hôpital ; les fractures et les bras cassés n'ont pas été rares. de ce fait, elle a souvent été hospitalisée pour une jambe fracturée suite à une chute du haut d'un arbre sur lequel elle avait grimpé à l'âge de huit ans ; son bras gauche a également souvent souffert lors des bagarres de rue qu'elle provoquait fréquemment (à raison d'une par semaine, au moins). son dossier médical fait aussi mention de multiples luxations de l'épaule et d'une rotule brisée - les raisons ont été tues et elle a refusé de dévoiler plus d'informations. le plus surprenant reste qu'elle n'était jamais la plus amochée dans la petite bande d'adolescents qui s'amusaient à se cogner dessus. elle s'est également brisé les os de la main droite en frappant les murs de sa chambre à l'hôpital psychiatrique une fois. (...) ce qui me préoccupe davantage encore que ses blessures de guerre suite à un entraînement trop violent reste son amour inconditionnel pour les explosifs. ce dernier lui a déjà valu une perte temporaire de ses deux tympans (parfois simultané, parfois de façon successive) et plusieurs brûlures au troisième degré.

cicatrices + a l'instar des fractures et des luxations, les cicatrices qui couvrent le corps du major ne sont pas rares. certaines ont disparu au fil des années, comme celle qui couvrait son mollet gauche sur la longueur de trois centimètres. d'autres, au contraire, restent toujours présentes. c'est le cas, par exemple, de la cicatrice qui recouvre le haut de sa cuisse gauche sur plusieurs centimètres. l'entaille avoir été causée par un couteau de cuisine dont la lame ne devait pas mesurer moins de quinze centimètres (mais elle ne semble pas avoir été enfoncée dans son intégralité, fort heureusement). (...) une autre stigmate, plus petite et infiniment plus facile à dissimuler avec un peu de maquillage, surplombe son sourcil droit. et pourtant, les cicatrices qui, bien souvent, attirent l'attention de quiconque a l'occasion de les voir, ne sont autres que celles qu'elle ne dévoile jamais ; longues de dix centimètres chacune, elles sont dessinées sur ses avant-bras, à hauteur du poignet. quatre sur chaque poignet, profondes et pâles, boursouflées et indélébiles. celles-ci ne disparaîtront jamais et le major en a bien conscience. une trace de brûlure au troisième degré est également présente sur son coude, en souvenir du virus d'agressivité.

infections extra-terrestres + comme l'ensemble du stargate command, alexandra a souvent été sujet aux virus étrangers. elle a été l'une des premières infectées par un virus d'agressivité ramené par SG8 de P9X-743 en 2007. sa nature a fait qu'elle a blessé un bon nombre de ses collègues avant qu'on n'arrive à l'enfermer dans une cellule et qu'on la mette sous médication avant qu'elle ne cherche à s'en prendre à elle-même. elle a aussi été sujet à de fortes hallucinations après avoir ingérée de la nourriture sur Demalta, codée P6M-789, ainsi que le reste de son équipe. elle a néanmoins été la première à réussir à discerner la vérité de ses hallucinations et s'est portée volontaire lorsqu'un vaccin a été trouvé. les conséquences de cette infection ont été le retour de ses souvenirs sur l'épisode désastreux dont elle avait été témoin plus jeune - le meurtre de sa mère par son propre père - et nous avons été dans l'obligation de la mettre sous somnifères pour qu'elle n'ait plus de violents et terribles cauchemars qui la tenaient éveillée. (...) on a aussi voulu lui implanter un symbiote tok'ra quand elle a été gravement blessée par une technologie ori l'ayant rendue malade ; elle a finalement partagé son corps avec l'un de ces symbiotes après que l'hôte de celui-ci soit mort au cours d'une mission. elle n'en garde que de vagues souvenirs qui ne paraissent pas la perturber plus que nécessaire.

Histoire »
« Major Valentyne, asseyez-vous. »

Prenant le temps de refermer la porte derrière elle, la jeune femme obtempéra. Elle s’adossa contre le dossier, le regard sombre, les jambes croisées. Elle ne se tenait pas droite, n’avait même pas pris la peine de saluer ses supérieurs, mais cela n’avait aucune importance pour elle. Elle savait très bien ce qu’ils lui voulaient, et ne désirait pas perdre du temps en formalité inutile ; mais ça, c’était le CIS. Toujours à faire de longs discours lorsqu’une lettre aurait put amplement suffire. Du regard, elle chercha le moindre signe dans les yeux de son supérieur, le Colonel Prentiss, mais ce dernier restait impassible. Il n’essayait même pas de la réconforter avec un petit sourire. Elle le comprenait ; après tout, elle lui avait mené la vie dure durant les cinq longues années où elle avait été sous son commandement. Combien de fois avaient-ils été à deux doigts d’en venir aux mains ? Alexandra avait cessé de compter.

« Vous savez pourquoi vous êtes là, n’est-ce pas, major ?
Oui, monsieur.
Bien. Pouvez-vous nous l’expliquer, avec vos propres mots ? »

De façon presqu’imperceptible, ses fins sourcils bruns se froncèrent ; elle n’avait jamais compris la logique du CIS, mais là, elle devait bien admettre qu’elle était encore plus perdue que d’habitude. A nouveau, elle chercha un indice du côté de son supérieur, mais il n’avait pas bronché d’un millimètre. Elle était seule, sur ce coup-là. Et quand elle était seule, elle n’en faisait qu’à sa tête, c’était connu. Elle n’était déjà pas vraiment d’humeur à coopéré, mais s’ils s’amusaient à jouer à un jeu puéril et stupide, elle allait très vite finir par se lasser et quitter la pièce. Tant pis pour Atlantis.

« Major Valentyne ?
Pourquoi j’vous dirai pourquoi vous m’avez fait venir ici ? Vous savez pas envoyer une lettre ? C’est pourtant simple, vous savez.
Major ! » la réprimanda d’un ton cassant le Colonel Prentiss.

Elle ne broncha pas, ne s’excusa pas. Elle était aussi très réputée pour son franc parlé et son manque de tact. Non, elle ne répondrait pas à leurs questions ; elle n’était pas là pour se faire interroger mais pour recevoir une réponse. S’ils n’étaient pas capables de lui en fournir une claire et concise, elle partirait du principe que sa demande de transfert a été acceptée. Après tout « qui ne dit non consens », non ? De toute façon, elle savait bien que le Général Landry avait appuyé sa demande à plusieurs reprises ; tout comme elle n’était pas sans savoir que Prentiss ne serait pas contre de la voir partir dans une Galaxie. Histoire d’avoir un peu répit.

« Veuillez répondre à la question posée, major.
J’ai demandé mon transfert sur la Cité d’Atlantis il y a environ… Deux mois et demi aujourd’hui. Je suis là parce que vous avez pris votre décision. En revanche, j’ignore si ma demande a été acceptée ou refusée.
Bien major.
Vous ne voulez pas me donner un susucre pendant que vous y êtes ? » railla-t-elle sous le regard noir de ses supérieurs.

Elle les ignora. Ils avaient l’habitude de son cynisme à toute épreuve. Et elle s’était accoutumée de leurs regards qui semblaient vouloir la fusiller. C’était de la provocation, de l’insolence, elle en était bien consciente. A chaque réplique mal placée elle risquait de se faire renvoyer pour insubordination ; mais elle ne pouvait pas s’empêcher de prendre ce risque. La peur de jouer avec le feu était ce qui l’intéressait le plus. L’adrénaline face aux menaces d’un supérieur hiérarchique la faisait vivre. Ce n’était pas aussi extrême que d’être poursuivie par une horde d’ennemis armés jusqu’aux dents, mais ça lui suffisait. « Les esprits simples se contentent de peu » disaient les français.

« En réalité, nous n’avons pas encore tout à fait pris notre décision. C’est à vous de nous convaincre. Alors… Allez-y, convainquez-nous.
Pardon ?
Vous m’avez parfaitement compris. Dîtes-nous pourquoi vous pensez avoir votre place sur la Cité d’Atlantis. »

Il y eut un silence durant lequel la jeune femme resta éberluée. Elle avait vraiment du mal à suivre la logique du CIS. Comment devait-elle les convaincre ? Elle se redressa sur sa chaise, s’avança, posa les avant-bras sur la table métallique froide. Ses yeux survolaient les quatre personnes qui lui faisaient face sans rien attendre d’eux en particulier. Elle était certaine qu’ils avaient déjà une idée de leur réponse, ils voulaient juste s’amuser à lui faire croire qu’elle ne serait pas prise. A moins qu’elle ne soit pas prise. Très vite, elle chassa cette idée. D’accord, son entrée sur la base de Cheyenne Mountain était une erreur. Ou plutôt, un coup de chance. Mais refuser son transfert sur la Cité d’Atlantis serait une bêtise. Elle ne se surestimait pas, elle était simplement consciente qu’elle se rendrait plus utile dans une autre Galaxie. Les Goa’ulds étaient anéantis, les Oris n’étaient plus une menace, qu’avait-elle à faire sur Terre ? Rien.

« Je suis née à Brooklyn, mon père était un SEAL, ma mère femme au foyer. Ils n’avaient rien d’un couple idyllique. Lui était toujours en déplacement, et les rares fois où il était là, ils passaient le plus clair de leur temps à se disputer pour telle ou telle raison. Ca a toujours été comme ça, entre eux. C’était ce que me racontait ma mère, en tout cas, quand j’étais enfant. Mais ils n’ont jamais pensé au divorce, parce qu’ils s’aimaient, malgré tout. Moi, ça m’allait. A vrai dire, ils faisaient leur vie, je faisais la mienne. J’étais du genre débrouillarde, alors je sortais souvent dans le quartier, je créais des bagarres de rue quand je m’ennuyais trop. En général, je finissais à l'hôpital avec des fractures et toujours le même médecin pour s'occuper de mon cas. Il me réprimandait tous les soirs, disant que je ne ferai jamais la fierté de notre père. Et que je ne facilitais pas la vie à notre mère. J’en étais consciente, mais ça ne m’empêchait pas d’y retourner le lendemain. Les parents avaient beau me punir et m’enfermer dans ma chambre, je trouvais toujours le moyen de m’enfuir pour faire ce que je voulais. »

Un sourire étira ses lèvres à ces souvenirs. Elle n’avait jamais été une fille très docile, bien au contraire. L’autorité ne lui plaisait pas ; elle avait pris l’habitude de dire qu’elle n’était pas faite pour exécuter les ordres sans réfléchir. Oh bien sûr, depuis cette époque-là, elle avait quelque peu changé ; elle se montrait parfois un peu plus conciliante avec les ordres directs. Parfois, seulement. Il ne fallait pas trop lui en demander. Elle décroisa les jambes, s’appuya un peu plus sur ses avant-bras ; aucun de ses interlocuteurs ne semblaient vouloir la déranger dans son récit, aussi le continua-t-elle.

« Il ne s’est rien passé d’extraordinaire durant mon enfance. Ma mère a trouvé un job en tant que caissière dans la supérette du quartier, mon père restait absent onze mois sur douze… Rien de particulier. Et puis il est rentré, un soir. J’devais avoir… Douze ou treize ans. Je ne sais plus où ses supérieurs l’avaient envoyé, mais ça l’a profondément marqué. Il n’était plus le même. Oh ça non. Il avait changé. On l’a tous remarqué, mais personne ne disait rien. Il passait des journées entières enfermé dans son bureau sans qu’on sache pourquoi. Personne ne pouvait lui faire décrocher un mot. Mais il y avait ce petit quelque chose qui le rendait étrange… Quand j’en parlais à ma mère, elle me disait de ne pas m’inquiéter, que c’était l’un des effets de la guerre, qu’il reviendrait très vite comme avant. J’étais assez naïve pour croire qu’elle disait vrai… Mais la vérité, c’est que la guerre, ça vous change un homme. Et mon père avait connu trop de bataille pour redevenir celui qu’il était… Il voyait des ennemis de partout. Il délirait complètement. Il se détruisait petit à petit, et moi, j’ai rien fais pour l’empêcher de sombrer…
Que s’est-il passé ?
Vous avez lu mon dossier, vous le savez.
Je veux l’entendre de votre bouche.
Vous aimez m’entendre parler que vous m’demandez toujours de tout expliquer ou quoi ? »

Elle poussa un soupire ennuyé. Lentement, elle alla recaler son dos contre la chaise, glissant légèrement sur la chaise en plastique. Ils savaient bien que cet épisode avait comme… Disparu de sa mémoire. Elle avait parfois des flashes qui lui revenaient, comme ça, mais elle les oubliait dans la minute qui suivait. Elle ne s’en plaignait pas ; elle savait très bien ce qui s’était passé, les forces de l’ordre l’avait bien sûr mise au courant, mais elle ne s’en souvenait pas. C’était sûrement mieux comme ça, se disait-elle lorsqu’elle avait un trou de mémoire. Les évènements un peu trop marquants elle préférait les enterrer. Et il en faisait parti.

« Un jour, mon père a totalement débloqué. Il a finit par prendre son arme et tuer ma mère. Comme ça. Il a du avoir une de ces hallucinations. Il paraît que j’étais là et que j’ai vu la scène. Je m’en souviens que vaguement. J’entends parfois le coup de feu tiré la nuit… Mais c’est tout. Si vous voulez des détails, lisez le rapport, il vous renseignera davantage.
Et les cicatrices sur vos poignets ? »

Alexandra porta son regard noisette sur lesdits poignets. Ca aussi, elle l’avait oublié. Mais ça aussi, elle ne tenait pas vraiment à s’en souvenir. Du bout des doigts, elle caressa les fines cicatrices qui ornaient son poignet droit. Elle conserva le silence, ne sachant pas quoi dire à propos de cette unique preuve d’automutilation. Tout ce qu’elle savait, c’est qu’elle les avait depuis ses quatorze ans, et que ça lui avait coûté des séances chez un psychologue après avoir passé trois semaines à l’hôpital. Les médecins et son psychologue avaient conclu qu’elle avait tenté de se tuer à cause du choc émotionnel causé par la scène dont elle avait été témoin. Elle, elle se disait juste qu’elle avait été une adolescente un peu décalé par rapport à la réalité qui avait vainement tenté d’attirer l’attention en se scarifiant la peau. Au fond, elle gardait une certaine fierté de ces cicatrices ; ça lui faisait des blessures de guerre en plus.

« Quel est le rapport avec mon transfert sur Atlantis ?
Il n’y en a pas.
C’est bien ce que je pensais. Donc ça ne pose pas de problème que je laisse la question sans réponse ? »

Ils échangèrent quelques regards avant de tomber d’accord ; ça ne servait à rien d’insister. Le major porta son pouce à ses lèvres et elle mordit l’ongle. C’était une de ses nombreuses mauvaises habitudes mais, aussi étrange que cela puisse paraître, elle ne se rongeait que l’ongle du pouce. Jamais les autres doigts. Elle n’avait pas d’explications à fournir, et n’en avait jamais cherché.

« Parlez-nous de votre intégration au programme Porte des étoiles.
Que voulez-vous savoir ?
Eh bien tout.
Vous êtes pas trop exigeant, hein. »

Un fin sourire carnassier se profila sur son visage. L’ironie, c’était un art qu’elle maîtrisait vraiment très bien. Elle avait le don d’exaspéré ses supérieurs à force d’en user, mais cela ne faisait que l’amuser encore plus.

« J’avais vingt-cinq. J’avais intégré la marine depuis six ans, plus ou moins, je ne connaissais pas l’existence de la porte des étoiles. A vrai dire, je ne me doutais même pas qu’une telle chose puisse exister et pour moi, les extraterrestres avaient tous l’apparence des aliens du film Idependance Day. Et puis, un jour, le major Davis est venu me voir pour m’informer que j’étais acceptée dans la base de Cheyenne Mountain. Je n’étais pas contre le fait de changer de base, mais je ne m’attendais pas à découvrir ce que j’ai découvert… Enfin ça, vous le savez. Je suppose que vous avez eu la même réaction en voyant la porte pour la première fois. Je ne savais pas vraiment comment j’avais put être acceptée sur une telle base… Le Général O’Neill m’a alors expliqué qu’ils avaient retenu dix noms dans la marine ; j’étais onzième sur la liste qu’ils avaient établi pour le recrutement. Malheureusement – ou heureusement, tout dépend du point de vue – l’une des dix personnes choisies avant moi est décédée lors d’une mission. J’ai donc hérité, en quelque sorte de sa place. Sans cela, je n’aurai sans doute jamais découvert l’existence du projet Stargate. J’ai été affectée à SG-14, sous le commandement du Colonel Prentiss.
Et que pensez-vous de votre contribution au projet ?
Je ne suis pas un des membres de SG-1. Je ne me fais pas d’illusion, je suis loin d’avoir leur talent pour me foutre dans le pétrin, et je n’ai pas l’intelligence du Colonel Carter, ni l’humour du Général O’Neill ou du Docteur Jackson. J’ai plutôt tendance à désespéré mes supérieurs qui me le rendent bien, mais en attendant, vous n’avez jamais eu à vous plaindre de mes capacités sur le terrain. Je peux résister à la torture – peut-être pas aussi bien que Teal’c, mais je me défends – et le combat ne m’effraie pas. La mort non plus. Je veux me battre pour mon pays, et je le ferai. Coûte que coûte. Mais quitte à le faire, autant me rendre utile sur Atlantis. »

Pour la première fois depuis de l’entretien, le major Valentyne semblait être passionnée par ce qu’elle disait. Toute trace d’ironique ou de cynisme avait disparu de sa voix pour laisser place à une véritable conviction. Dans ses yeux brillait une lueur qu’on ne lui connaissait pas. Alexandra n’était pas une fille particulièrement expressive, mais à cet instant, ses interlocuteurs pouvaient lire dans son regard Ô combien elle était fière de faire partie de ce projet. Ils échangèrent un nouveau regard.

« Félicitations major Valentyne, votre transfert sur la Cité d’Atlantis est approuvé. »

« So you don't even know about the Stargate? »
Yop ! Donc moi, derrière l'écran, c'est TNT, âgé(e) de 3 ans à ce jour. J'ai découvert le forum suivant un papillon bleu à tête rouge et je trouve que le design est génial car j'suis dessus :51: . Vu que je vous trouvez trop bad ass, je pense que je serai présent(e) 5/7 jours car j'ai aussi une petite vie à mener en parallèle. J'ai d'autres compte(s) sur le forum et leur nom à tous c'est je veux les garder secret.

Stargate Atlantis RPG © base de Elo', modif par ghost.writer

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