◮ Le Sergent Li serait victime d'effets secondaires d'une boisson consommée sur P9F-357 ; il se baladerait en effet avec un balai en bois et apprendrait à plusieurs membres du personnel qu'il est, nous citons, "leur père". ◮ Il est hautement conseillé de ne pas tenter de tenir une conversation avec le Dr Esperanza ; celle-ci se serait mise à parler le Klingon après une soirée Star Trek et aurait tendance à agir comme eux. ◮ Une enveloppe a été créée afin de côtiser tous ensemble pour permettre à la Cité de se payer un piano orientale. Même si ça n'existe pas, oui.
Participez au Journal d'Atlantis en envoyant un Mp à SGC !
Tous les groupes sont importants, veillez à essayer de les équilibrer. Quelques ennemis ne seraient pas de trop...
Les possibilités de jeux sont nombreuses pour les humanoïdes en dehors d'Atlantis, tous ne sont pas obligés de rejoindre la Cité pour jouer ou s'intégrer correctement.
◮ DOSSIERS : 97 ◮ HERE : errant dans la galaxie ◮ JOB : vagabonde, voleuse, mécano ◮ COMPTES : mckay, lorne, valentyne, wilson, kanavu, top'ha, de medicis
Sujet: Liara K. (titre en coours) Dim 5 Avr - 22:33
Liara Lil Kaidan
1985 ϟ naissance de liara kasumi. date ϟ événement. date ϟ événement. 2008 ϟ rencontre avec atlantis. rencontre avec les furlings. date ϟ événement. date ϟ événement. 2013 ϟ atlantis est détruite par une attaque ennemie ; emporte avec elle deux vaisseaux ruches. 2014 ϟ traversée d'une brèche interdimensionnelle. 2015 ϟ événement.
Liens à ajouter + kaidan (scénario) kanavu (voir rp)
liara est la cousine de kaidan. élevés ensemble, ils ont souvent été confondus, plus jeunes, avec des jumeaux, puis pris pour des amants une fois l'âge adulte atteint. leur relation, très fusionnelle, a d'ailleurs souvent attirée l’œil ; c'est pour cette raison qu'ils ont cessé de se présenter comme étant cousins. afin d'éviter de paraître trop proches aux yeux des autres. ϟ elle, et donc kai par la même occasion, est originaire d'une autre dimension. une réalité parallèle, plus exactement. dans leur réalité, atlantis a récemment été détruite, emportant dans sa destruction pas moins de deux vaisseaux ruches et déclenchant une forte rivalité entre les différentes ruches restantes. mais la guerre fait rage et chaque jour, plus de pégasiens périssent. leur arrivée dans cette réalité-là est dû au hasard, rien d'autre. ϟ elle possède un accent très prononcé qui rappelle celui des australiens. de même, bien qu'elle parlât le même langage que les atlantes dans sa réalité, il s'avère que l'anglais diffère dans cette dimension. aussi est-il possible de l'entendre avoir des expressions étranges ou commettre des erreurs de grammaire basiques. ϟ elle a été mariée. son mari était, par ailleurs, un atlante mais elle a toujours refusé de le suivre sur atlantis, préférant sa liberté et son amour pour l'espace et sa propre navette étant trop grand pour qu'elle ne fasse ce sacrifice. son époux, joseph montgomery, est décédé, tué de sa propre main alors qu'un wraith se nourrissait sur lui après qu'il ait subit plusieurs tortures. elle expliquera un jour, se confiant à kaidan et uniquement à lui, que si elle a tué joseph, c'était pour l'empêcher de devenir un adorateur des wraiths. elle ne semble pas éprouver de remord au souvenir de cette journée. ϟ si elle possède des connaissances en sciences, celles-ci restent vagues. en revanche, ses connaissances en mécaniques sont riches et il n'est pas rare qu'elle trouve un moyen de repousser les limites de sa navette qui a, d'ailleurs, de la technologie alien très avancée. ϟ dans sa dimension, il semblerait que les furlings ne se soient pas éteints et aient fait don d'une faible partie de leurs connaissances, principalement médicales et technologiques, aux atlantes. liara a brièvement rencontré l'un de leur représentant sur la cité.
liens recherchés
(f) l'amie proche - postif elle est le point féminin fixe dans la vie de liara. celle qui avait toujours manqué à la jeune femme. elle lui permet de parler potins et ragots, lui permet de ne pas toujours réfléchir comme un soldat et de dévoiler la part féminine qu'il y a au fond d'elle. sur bien des points, elle est un peu la sagesse chez liara, celle qui lui permettra de prendre conscience de bien des choses. (m) le combattant intrépide - positif il est son adversaire préféré sur bien des points. celui qui la laisse gagner lorsqu'elle s'acharne durant des heures pour le mettre à terre, celui qui lui prodigue divers conseils sur ses techniques maladroites de combat. (f) la pot-de-colle - négatif elle est celle que liara ne peut encadrer. celle qui la suit, ou qui suit kaidan. celle qui pose trop de questions, celle qui n'est pas la plus adroite, celle qui agace. liara n'a pas sa langue dans sa poche et plusieurs fois, les choses ont manqué de mal se terminer. mais elle continue de les suivre. et liara en a vraiment marre. (m) le fournisseur - positif il est scientifique. ils se sont tout de suite entendu et ont rapidement parlé de la navette de liara. il a compris qu'elle la bichonnait et qu'elle n'avait de cesse de lui apporter des modifications. il l'aide dans sa tâche. il lui confectionne parfois des objets ou des améliorations techniques et l'aide à les ajouter à sa navette. parfois, il créé une arme pour elle. et elle lui en est reconnaissante. ensemble, ils font du troc, parfois même un semblant de trafic. ils sont les seuls au courant de leur manège, mais peut-être se décideront-ils à l'étendre ? (f) nature du lien description. (m) nature du lien description.
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Dernière édition par Liara Kasumi le Jeu 14 Mai - 20:36, édité 4 fois
Admin ◮ Vagabonde
Liara Kasumi
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Sujet: Re: Liara K. (titre en coours) Dim 5 Avr - 22:34
harikee top' ha
nature du lien
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
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Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
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Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Dernière édition par Liara Kasumi le Ven 10 Avr - 13:58, édité 2 fois
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Liara Kasumi
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Sujet: Re: Liara K. (titre en coours) Dim 5 Avr - 22:34
kaidan kai kasumi
cousin, whole family
Tu es mon cousin, de ce fait, tu es ma seule famille. Nous avons grandis ensemble, été élevés ensemble. A nous deux, nous formions un duo impérissable et indomptable. Nous étions aussi complémentaires que différents et c'est sans doute ce qui nous a permis d'être aussi proches. On nous prenait pour des jumeaux, nous nous en amusions. Mes sentiments à ton égard ne cessent d'augmenter, je te protégerai jusqu'au dernier jour de ma vie, jusqu'à mon dernier souffle s'il le fallait. Il est hors de question que je te perde. Je sais que notre relation paraît parfois suspecte aux yeux des autres, qu'on nous pense bizarres ou malsains, mais tu comptes bien trop pour moi pour que je t'autorise à disparaître sans avoir mon mot à dire.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Kanavu, petit guérisseur amusant. Tu es apparu pour me soigner quand tous tes amis s'occupaient de Kaidan. Tu as insisté pour t'occuper de moi et j'ai finis par te laisser faire ; le dialogue, tu le faisais tout seul. Tu aimes parler, tu dis beaucoup de choses étranges et souvent pour ne rien dire, mais tu as réussit à m'amuser. Quand je t'ai expliqué que ma navette s'était crashée, tu as tenu à m'aider. C'est donc avec ton aide que j'ai pu réparer mon astronef ; je t'ai promis que je repasserai sitôt j'aurai trouver de l'aide pour te faire faire un tour. Tu es gentil et amusant, tu me plais bien.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.