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 1. Le Contexte

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MessageSujet: 1. Le Contexte   1. Le Contexte I_icon_minitimeDim 23 Sep - 16:20


CONTEXTE


Dans l'épisode précédent...

    (…) Tout a commencé lorsqu’on a reçu une transmission vidéo. Notre allié wraith, appelé Todd par le Colonel Sheppard et son équipe, nous annonçait que le traitement mis au point par le Docteur Keller avait fini par fonctionner. D’après ses propres dires, il avait récupéré son rang de Chef de l’Alliance sans mettre un terme aux tensions pour autant ; un de ses propres subordonnés avait attaqué sa navette et c’était la raison de sa vidéo. « Il a réussit à mettre la main sur un objet rare et très puissant. Une technologie que vous connaissez bien, et avec laquelle vous êtes vraiment à l’aise. » Le wraith prétendait, à juste titre, que le vaisseau ruche ennemi était équipé d’un E2PZ. Cette annonce a fait l’effet d’un vent venu de l’antarctique sur toute la Cité ; SGA-1, accompagnée par Monsieur Woosly, n’a pas tardé à faire une réunion afin de prendre une décision. Todd était fait prisonnier et, malgré les réticences de Ronon, la menace que représentait ce vaisseau ruche était bien trop importante pour être ignorée. (…) Selon le Docteur Keller « [Todd] est exactement comme il était avant » ce qui signifie donc qu’il pouvait à nouveau se nourrir d’humains et qu’il restait donc une menace potentiel. La confiance qu’on devait lui accordée devait être limitée. (…)

    Le Dédale n’a fait que des dégâts minimes, lors de la première rafle, sur le Vaisseau Ruche ; l’énergie qu’il libérait était assez inquiétante. Cependant, le vaisseau a finit par entrer en hyper-espace alors que nous étions à sa portée. Alors que nous ne trouvions pas d’explications quant à ce revirement soudain, la réponse est venue de Kavanagh ; il avait, en effet, intercepté une transmission wraith provenant d’une réalité alternée et contenant les coordonnées de la Terre. Mais le Docteur McKay affirmait qu’il nous était possible de l’arrêter à sa sortie d’hyper-espace même si nous n’avions que deux autres vaisseaux pour nous épauler. Malheureusement cette idée, bien qu’ingénieuse, ne donna pas lieu d’être. L’Apollo et le Sun Tzu ont faillit à leur mission. Il nous restait, malgré tout, une dernière solution ; la Cité. Nous savions, pour l’avoir déjà fait, qu’Atlantis pouvait décoller. Monsieur Woosley n’eut pas à hésiter très longtemps avant de prendre sa décision ; il acceptait de prendre ce risque. Le clone du Docteur Beckett serait aux commandes tandis que le Colonel Sheppard, lui, retournerait sur Terre, d’où il contrôlerait le Fauteuil des Anciens. (…) Nous apprenions que le Colonel Carter allait être aux commandes du Hammond lorsque le Major Davis nous informa que le vaisseau ruche sortait de l’hyper-espace. C’était à nous de jouer, à présent. J’avais accompagné le Colonel Sheppard sur Terre et, avec l’appui du Colonel Carter, il commanda à une petite escouade de F-302 de poursuivre, et détruire, les Darts qui s’approchaient de la Zone 51, dans le but probable de détruire le Fauteuil des Anciens. Sans plus de succès. Le Colonel Sheppard prit alors la décision de « finir cette mission avec l’ogive qu’il avait toujours ». Il disait « avoir assez de carburant pour entrer en orbite ; je [Colonel Sheppard] couperai tout sauf les systèmes vitaux. Et quand ils [Wraiths] me détecteront, il sera trop tard. » Un geste héroïque pour un personnage héroïque. C’est là qu’Atlantis a quitté l’hyper-espace ; un véritable coup de chance. Une minute plus tard, et nous n’aurions peut-être pas réussit à nous en sortir. (…)

    Nous n’avions plus de nouvelles du Colonel Sheppard et nous n’arrivions pas à ouvrir un vortex. De leur côté, sur Atlantis, McKay s’est aperçu qu’il y avait une porte des étoiles à bord du vaisseau ruche ; ce qui signifiait qu’il fallait le détruire de l’intérieur. Ce plan rejoignait donc celui du Colonel. (…) Sheppard nous a finalement contactés pour nous avertir qu’il armait la tête nucléaire, mais le Docteur McKay est intervenu. Son plan était plus sûr, selon ses dires. (…) Le vaisseau ruche chargeait ses armes ; le Colonel et son équipe rejoignaient la Porte des Etoiles ; Atlantis arrivait. La situation finissait enfin par tourner à notre avantage. Des drones lancés par Atlantis attaquaient le vaisseau ruche et essuyaient ceux de l’ennemi qui poussait la Cité dans l’atmosphère de la Terre. Le vaisseau ruche finit par exploser, à temps, une nouvelle fois. L’équipe SGA-1 était saine et sauve, sur le site Alpha. (…)

    Mais tout n’était pas encore totalement bien ; Atlantis entrait dans l’atmosphère beaucoup trop rapidement et risquerait ne pas s’en sortir indemne. Monsieur Woosley nous demanda alors de prévenir la Marine de l’amerrissage prochain de la Cité sur l’eau. Quelques minutes plus tard, Atlantis était exposée dans la Baie de San Francisco, mais occultée afin de conserver le programme Stargate sous silence. Seuls, Todd, Ronon et Teyla sont originaires de Pégase et ne peuvent recommencer une nouvelle vie sur Terre.


... Et maintenant, la suite

    « Que suggérez-vous, dans ce cas-là ?! Que nous mettions définitivement un terme au projet Porte des Etoiles ? A moins, peut-être que vous ne préfériez dévoiler ce projet classé top-secret au monde entier ? »
    Le Général Russe avait prit soin d’accentuer les mots « top » et « secret », un air de défi au fond de son regard de glace. Le Directeur de la CIS ne lui accorda pas le moindre coup d’œil. Cette question, il l’avait attendue, préparée. Il avait longuement répété sa réponse afin d’être certain de pouvoir la jeter d’un seul jet, sans la plus petite hésitation. Joignant ses doigts devant son visage, les coudes sur la table ronde, il jeta un regard à toutes les personnes présentes autour de lui.
    « Il faut renvoyer la Cité dans la Galaxie de Pégase. »
    Placide, simple. Cette décision laissa place à un silence glacial dans la pièce. Il sentit plus qu’il ne vit les regards se poser sur lui, se doutant que la plupart n’était qu’à demi étonnés. L’air était tel qu’il pouvait presque entendre leurs pensées s’entremêler les unes aux autres pour, au final, n’être plus qu’une. Tous avaient la même phrase sur les lèvres, mais aucun n’osait la prononcer. Bien. Il n’allait les forcer.
    « Il faut renvoyer la Cité sur Pégase, » répéta-t-il plus fort. « Puisque nous ne pouvons décemment pas mettre le monde au courant de l’ampleur de ce programme sans créer quelques vagues de panique, de paranoïa et d’accusation pour tant de secrets. Nos hommes ne seront plus en sécurité, ni à l’abri. Comment pensez-vous que le monde va recevoir cette annonce ? Croyez-vous qu’il se sentira plus ou moins en sécurité quand on lui apprendra combien de fois nos hommes ont sauvé la Terre, et pas seulement la Terre mais la Galaxie, des envahisseurs extra-terrestres ?
    Tout ceci est bien beau. Vous faîtes de belles phrases, monsieur Van Simmons, mais cela ne résout pas le plus gros de nos problèmes, » l’interrompit le représentant du Canada d’une voix sèche et sans appel, laissant sa phrase en suspens pour captiver l’attention de tous. « Comment comptez-vous retourner dans la Galaxie de Pégase ? Auriez-vous oublié que nos réserves en E2PZ sont épuisées ? »
    Une nouvelle fois, tous se tournèrent vers le Directeur de la CIS qui, l’air toujours serein, avait fermé les yeux. Ainsi donc, les représentants de tous les pays le prenaient pour un débutant ? Bien. Il allait leur montrer qu’il avait longuement réfléchit à cette idée avant de leur en faire part ; démonter leurs théories une à une n’allait pas être un obstacle insurmontable. Il avait réussit à faire face à ses pairs de la CIS, il pouvait bien affronter quelques hommes politiques et quelques militaires.
    « Je n’en suis pas à ma première réunion sur l’avenir du programme Stargate, vous savez. L’ensemble de la Direction du CIS a longuement parlé de cette solution en soulevant tous les problèmes liés à l’énergie. Ainsi, nous – et lorsque je dis nous, j’entends tous les membres de la CIS – avons convenu que les équipes SG de la base de Cheyenne Mountain vont dorénavant concentrer leur mission sur la recherche d’un E2PZ.
    Et où comptez-vous trouver cet E2PZ miracle, très exactement ?
    Eh bien, nous avions espéré que parmi nos nombreux alliés, un ou deux serait en mesure de nous aider. Mais je tiens à vous rappeler que si ce n’était pas le cas, il reste encore de très nombreuses planètes à explorer.
    Je ne tiens pas à jouer les trouble-fêtes, monsieur Van Simmons, mais j’ai encore une objection à votre plan de toute évidence bien préparé… Une fois l’E2PZ en notre possession, rien ne nous assure que la Cité sera en mesure de décoller. Non, laissez-moi terminer. Imaginons qu’elle y parvienne grâce au Colonel Sheppard, où la poserions-nous ?
    C’est vrai ça ! Les coordonnées de M35-117 sont maintenant connues des Wraiths, il nous est donc impossible de l’utiliser de nouveau ! » intervint le représentant de l’Espagne, complétant celui de la Chine.
    « Là n’est pas le problème ; la base de données des Anciens regorge de planètes que l’expédition d’Atlantis n’a pas encore eu le loisir de visiter, la nouvelle expédition trouvera sans doute son bonheur parmi celles-ci. Non, ce qui me gêne le plus, c’est de savoir qui va être le dirigeant de la Cité une fois cette dernière renvoyée sur Pégase. »
    Erik Van Simmons ne put empêcher un sourire de fleurir sur son visage. La CIS avait vraiment tout prévu ; il était hors de question que le commandement de la Cité ne revienne à un militaire. C’était un point sur lequel ils s’étaient accordés lors de la dernière réunion. Le Général Ibraskovitch arqua un sourcil devant cet air trop confiant.
    « Vous n’avez pas vous en faire, Général, la CIS a tout en mains.
    J’en déduis donc que vous avez l’homme de la situation, une fois de plus ?
    On peut dire cela ainsi, en effet. »
    Sourire énigmatique. La porte s’ouvrit lentement dans un faible grincement. Seul Erik ne tourna pas la tête pour accueillir ce nouvel arrivant. Il se contenta d’élargir son sourire alors que la jeune femme s’avançait de quelques pas, délicieusement vêtue de son impeccable tailleur gris anthracite.
    « Dr Jones, vous êtes pile à l’heure, comme toujours. Prenez place, je vous en prie ; il est grand temps pour vous de faire connaissance avec les membres de votre expédition… »
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