[◮ DOSSIERS :]

≈ ≈ ≈
{ nobody said it was easy, nobody said it would be this hard, oh take me back to the start }
crédit/ tumblr ✰ coldplay.

James, les mains croisées dans le dos, traverse les couloirs de la grande cité d’un pas leste et serein. Il ignore les sourires un peu rigides des membres du personnel qu’il croise, leur adresse parfois un signe de tête charmant, n’hésite pas à user de son sourire ravageur auprès de la gente féminine. Il se sait peu apprécié, d’une façon plus générale, mais il ne s’en formalise pas. Malgré l’opinion peu favorable que les autres peuvent avoir de lui, James sait qu’il a quelques alliés sur la cité. Sans aller jusqu’à parler de complot, il est conscient que peu de personne n’ose réellement défier son autorité. Par conséquent, personne n’ose réellement se plaindre de lui et de son travail d’inspection sur l’ensemble du personnel. Travail qui, s’il se doit d’être franc, est déjà complet – ou presque. Observateur silencieux, il rédige des rapports réguliers et conservent un droit d’opinion sur les décisions prises, mais il s’arrête-là. Il n’a nullement l’intention de faire perdre son poste à quelqu’un de qualifier – du moment que cette personne ne mette la cité en danger tous les trois jours.

Ses pas, lentement, le guident jusqu’au mess. Le brouhaha ambiant qui semble y régner jour et nuit l’envahi comme une vague de chaleur et James s’arrête un instant, souffle coupé. Son regard survole toutes les tables déjà encombrées puis se pose sur celles, plus éloignées, vides. Il n’a pas faim mais se sert un plateau. Faire bonne figure. Il pourrait se diriger vers l’une de ces tables abandonnées, prendre des notes sur ce qui l’entoure, rester aussi isolé que possible afin de continuer à ne pas, trop, se mêler aux autres. Présent sur la cité depuis des années, mais toujours un peu outsider. Il commence donc à prendre le chemin d’une table esseulée lorsqu’il pose le regard sur une table vivante et, à en juger les rires qui résonnent, amusante. Il cible ses yeux sur un visage avant de bifurquer. Direction la table pleine de joie et de vie. Plusieurs hommes y sont attablés – militaires principalement mais James croit reconnaître deux visages scientifiques et les rires s’amenuisent alors qu’il s’approche. Il retient un sourire. « Puis-je m’installer avec vous, messieurs ? » Il y a comme un long silence avant que l’un d’eux n’opine finalement du chef – un certain Lieutenant Joseph Kemper. James dépose son plateau sur un coin de la table, tire une chaise et s’installe donc. Il les regarde tous, un à un, s’attardant une fraction de seconde supplémentaire sur le jeune Adam Estuevez. « Détendez-vous, je ne suis pas ici pour vous noter. La CIS a déjà reçu tout ce qu’elle m’avait réclamé il y a plusieurs mois de ça. Alors, de quoi parliez-vous ? » Il n’est plus une ombre, juste un parasite. Son aveu, pourtant pas un secret, ne semble pourtant pas les rassurer.

[◮ HERE :]

≈ ≈ ≈
{ nobody said it was easy, nobody said it would be this hard, oh take me back to the start }
crédit/ tumblr ✰ coldplay.

James, les mains croisées dans le dos, traverse les couloirs de la grande cité d’un pas leste et serein. Il ignore les sourires un peu rigides des membres du personnel qu’il croise, leur adresse parfois un signe de tête charmant, n’hésite pas à user de son sourire ravageur auprès de la gente féminine. Il se sait peu apprécié, d’une façon plus générale, mais il ne s’en formalise pas. Malgré l’opinion peu favorable que les autres peuvent avoir de lui, James sait qu’il a quelques alliés sur la cité. Sans aller jusqu’à parler de complot, il est conscient que peu de personne n’ose réellement défier son autorité. Par conséquent, personne n’ose réellement se plaindre de lui et de son travail d’inspection sur l’ensemble du personnel. Travail qui, s’il se doit d’être franc, est déjà complet – ou presque. Observateur silencieux, il rédige des rapports réguliers et conservent un droit d’opinion sur les décisions prises, mais il s’arrête-là. Il n’a nullement l’intention de faire perdre son poste à quelqu’un de qualifier – du moment que cette personne ne mette la cité en danger tous les trois jours.

Ses pas, lentement, le guident jusqu’au mess. Le brouhaha ambiant qui semble y régner jour et nuit l’envahi comme une vague de chaleur et James s’arrête un instant, souffle coupé. Son regard survole toutes les tables déjà encombrées puis se pose sur celles, plus éloignées, vides. Il n’a pas faim mais se sert un plateau. Faire bonne figure. Il pourrait se diriger vers l’une de ces tables abandonnées, prendre des notes sur ce qui l’entoure, rester aussi isolé que possible afin de continuer à ne pas, trop, se mêler aux autres. Présent sur la cité depuis des années, mais toujours un peu outsider. Il commence donc à prendre le chemin d’une table esseulée lorsqu’il pose le regard sur une table vivante et, à en juger les rires qui résonnent, amusante. Il cible ses yeux sur un visage avant de bifurquer. Direction la table pleine de joie et de vie. Plusieurs hommes y sont attablés – militaires principalement mais James croit reconnaître deux visages scientifiques et les rires s’amenuisent alors qu’il s’approche. Il retient un sourire. « Puis-je m’installer avec vous, messieurs ? » Il y a comme un long silence avant que l’un d’eux n’opine finalement du chef – un certain Lieutenant Joseph Kemper. James dépose son plateau sur un coin de la table, tire une chaise et s’installe donc. Il les regarde tous, un à un, s’attardant une fraction de seconde supplémentaire sur le jeune Adam Estuevez. « Détendez-vous, je ne suis pas ici pour vous noter. La CIS a déjà reçu tout ce qu’elle m’avait réclamé il y a plusieurs mois de ça. Alors, de quoi parliez-vous ? » Il n’est plus une ombre, juste un parasite. Son aveu, pourtant pas un secret, ne semble pourtant pas les rassurer.

[◮ JOB :]

≈ ≈ ≈
{ nobody said it was easy, nobody said it would be this hard, oh take me back to the start }
crédit/ tumblr ✰ coldplay.

James, les mains croisées dans le dos, traverse les couloirs de la grande cité d’un pas leste et serein. Il ignore les sourires un peu rigides des membres du personnel qu’il croise, leur adresse parfois un signe de tête charmant, n’hésite pas à user de son sourire ravageur auprès de la gente féminine. Il se sait peu apprécié, d’une façon plus générale, mais il ne s’en formalise pas. Malgré l’opinion peu favorable que les autres peuvent avoir de lui, James sait qu’il a quelques alliés sur la cité. Sans aller jusqu’à parler de complot, il est conscient que peu de personne n’ose réellement défier son autorité. Par conséquent, personne n’ose réellement se plaindre de lui et de son travail d’inspection sur l’ensemble du personnel. Travail qui, s’il se doit d’être franc, est déjà complet – ou presque. Observateur silencieux, il rédige des rapports réguliers et conservent un droit d’opinion sur les décisions prises, mais il s’arrête-là. Il n’a nullement l’intention de faire perdre son poste à quelqu’un de qualifier – du moment que cette personne ne mette la cité en danger tous les trois jours.

Ses pas, lentement, le guident jusqu’au mess. Le brouhaha ambiant qui semble y régner jour et nuit l’envahi comme une vague de chaleur et James s’arrête un instant, souffle coupé. Son regard survole toutes les tables déjà encombrées puis se pose sur celles, plus éloignées, vides. Il n’a pas faim mais se sert un plateau. Faire bonne figure. Il pourrait se diriger vers l’une de ces tables abandonnées, prendre des notes sur ce qui l’entoure, rester aussi isolé que possible afin de continuer à ne pas, trop, se mêler aux autres. Présent sur la cité depuis des années, mais toujours un peu outsider. Il commence donc à prendre le chemin d’une table esseulée lorsqu’il pose le regard sur une table vivante et, à en juger les rires qui résonnent, amusante. Il cible ses yeux sur un visage avant de bifurquer. Direction la table pleine de joie et de vie. Plusieurs hommes y sont attablés – militaires principalement mais James croit reconnaître deux visages scientifiques et les rires s’amenuisent alors qu’il s’approche. Il retient un sourire. « Puis-je m’installer avec vous, messieurs ? » Il y a comme un long silence avant que l’un d’eux n’opine finalement du chef – un certain Lieutenant Joseph Kemper. James dépose son plateau sur un coin de la table, tire une chaise et s’installe donc. Il les regarde tous, un à un, s’attardant une fraction de seconde supplémentaire sur le jeune Adam Estuevez. « Détendez-vous, je ne suis pas ici pour vous noter. La CIS a déjà reçu tout ce qu’elle m’avait réclamé il y a plusieurs mois de ça. Alors, de quoi parliez-vous ? » Il n’est plus une ombre, juste un parasite. Son aveu, pourtant pas un secret, ne semble pourtant pas les rassurer.

[◮ COMPTES :]

≈ ≈ ≈
{ nobody said it was easy, nobody said it would be this hard, oh take me back to the start }
crédit/ tumblr ✰ coldplay.

James, les mains croisées dans le dos, traverse les couloirs de la grande cité d’un pas leste et serein. Il ignore les sourires un peu rigides des membres du personnel qu’il croise, leur adresse parfois un signe de tête charmant, n’hésite pas à user de son sourire ravageur auprès de la gente féminine. Il se sait peu apprécié, d’une façon plus générale, mais il ne s’en formalise pas. Malgré l’opinion peu favorable que les autres peuvent avoir de lui, James sait qu’il a quelques alliés sur la cité. Sans aller jusqu’à parler de complot, il est conscient que peu de personne n’ose réellement défier son autorité. Par conséquent, personne n’ose réellement se plaindre de lui et de son travail d’inspection sur l’ensemble du personnel. Travail qui, s’il se doit d’être franc, est déjà complet – ou presque. Observateur silencieux, il rédige des rapports réguliers et conservent un droit d’opinion sur les décisions prises, mais il s’arrête-là. Il n’a nullement l’intention de faire perdre son poste à quelqu’un de qualifier – du moment que cette personne ne mette la cité en danger tous les trois jours.

Ses pas, lentement, le guident jusqu’au mess. Le brouhaha ambiant qui semble y régner jour et nuit l’envahi comme une vague de chaleur et James s’arrête un instant, souffle coupé. Son regard survole toutes les tables déjà encombrées puis se pose sur celles, plus éloignées, vides. Il n’a pas faim mais se sert un plateau. Faire bonne figure. Il pourrait se diriger vers l’une de ces tables abandonnées, prendre des notes sur ce qui l’entoure, rester aussi isolé que possible afin de continuer à ne pas, trop, se mêler aux autres. Présent sur la cité depuis des années, mais toujours un peu outsider. Il commence donc à prendre le chemin d’une table esseulée lorsqu’il pose le regard sur une table vivante et, à en juger les rires qui résonnent, amusante. Il cible ses yeux sur un visage avant de bifurquer. Direction la table pleine de joie et de vie. Plusieurs hommes y sont attablés – militaires principalement mais James croit reconnaître deux visages scientifiques et les rires s’amenuisent alors qu’il s’approche. Il retient un sourire. « Puis-je m’installer avec vous, messieurs ? » Il y a comme un long silence avant que l’un d’eux n’opine finalement du chef – un certain Lieutenant Joseph Kemper. James dépose son plateau sur un coin de la table, tire une chaise et s’installe donc. Il les regarde tous, un à un, s’attardant une fraction de seconde supplémentaire sur le jeune Adam Estuevez. « Détendez-vous, je ne suis pas ici pour vous noter. La CIS a déjà reçu tout ce qu’elle m’avait réclamé il y a plusieurs mois de ça. Alors, de quoi parliez-vous ? » Il n’est plus une ombre, juste un parasite. Son aveu, pourtant pas un secret, ne semble pourtant pas les rassurer.

≈ ≈ ≈
{ nobody said it was easy, nobody said it would be this hard, oh take me back to the start }
crédit/ tumblr ✰ coldplay.

James, les mains croisées dans le dos, traverse les couloirs de la grande cité d’un pas leste et serein. Il ignore les sourires un peu rigides des membres du personnel qu’il croise, leur adresse parfois un signe de tête charmant, n’hésite pas à user de son sourire ravageur auprès de la gente féminine. Il se sait peu apprécié, d’une façon plus générale, mais il ne s’en formalise pas. Malgré l’opinion peu favorable que les autres peuvent avoir de lui, James sait qu’il a quelques alliés sur la cité. Sans aller jusqu’à parler de complot, il est conscient que peu de personne n’ose réellement défier son autorité. Par conséquent, personne n’ose réellement se plaindre de lui et de son travail d’inspection sur l’ensemble du personnel. Travail qui, s’il se doit d’être franc, est déjà complet – ou presque. Observateur silencieux, il rédige des rapports réguliers et conservent un droit d’opinion sur les décisions prises, mais il s’arrête-là. Il n’a nullement l’intention de faire perdre son poste à quelqu’un de qualifier – du moment que cette personne ne mette la cité en danger tous les trois jours.

Ses pas, lentement, le guident jusqu’au mess. Le brouhaha ambiant qui semble y régner jour et nuit l’envahi comme une vague de chaleur et James s’arrête un instant, souffle coupé. Son regard survole toutes les tables déjà encombrées puis se pose sur celles, plus éloignées, vides. Il n’a pas faim mais se sert un plateau. Faire bonne figure. Il pourrait se diriger vers l’une de ces tables abandonnées, prendre des notes sur ce qui l’entoure, rester aussi isolé que possible afin de continuer à ne pas, trop, se mêler aux autres. Présent sur la cité depuis des années, mais toujours un peu outsider. Il commence donc à prendre le chemin d’une table esseulée lorsqu’il pose le regard sur une table vivante et, à en juger les rires qui résonnent, amusante. Il cible ses yeux sur un visage avant de bifurquer. Direction la table pleine de joie et de vie. Plusieurs hommes y sont attablés – militaires principalement mais James croit reconnaître deux visages scientifiques et les rires s’amenuisent alors qu’il s’approche. Il retient un sourire. « Puis-je m’installer avec vous, messieurs ? » Il y a comme un long silence avant que l’un d’eux n’opine finalement du chef – un certain Lieutenant Joseph Kemper. James dépose son plateau sur un coin de la table, tire une chaise et s’installe donc. Il les regarde tous, un à un, s’attardant une fraction de seconde supplémentaire sur le jeune Adam Estuevez. « Détendez-vous, je ne suis pas ici pour vous noter. La CIS a déjà reçu tout ce qu’elle m’avait réclamé il y a plusieurs mois de ça. Alors, de quoi parliez-vous ? » Il n’est plus une ombre, juste un parasite. Son aveu, pourtant pas un secret, ne semble pourtant pas les rassurer.

[◮ DOSSIERS :]

Adam c'était fait bien plus vite à la vie de la Cité que ce qu'il aurait imaginer. Il était vrai qu'être loin de son père l'avait aider à bien s'intégrer et à se lâcher. Il était pas rare de l'entendre chanter, ou jouer de la guitare. Il était cependant rare de le voir tirer la tête ou d'être triste. Lui il avait tout le temps envie de rire, d'être heureux. Il voyait le bon côté des choses partout, même là ou personne ne trouvait de quoi rire, lui ça le faisait rire. Certains soldats le nommait Smiley, car il passait sa vie à sourire, et à charmer les demoiselles. Un vrai bout en train.

Comme ce midi, où il n'arrêtait pas de gagner à ce fameux jeux qu'il laissait sur le temps du midi, il imitait des chansons en ne faisait que des sons et les autres devaient trouver, ça faisait rire tout le monde, car Adam allait chercher des chansons à l'ancienne et de tout les coins des USA, ou du monde. Il avait apprit depuis qu'il était là, à enregistrer des chansons des différentes nationalités.  Quand un homme arriva et leur demanda si ils pouvaient se mettre avec eux, Adam se tut légèrement, ce type bossait pour son père, autant clairement afficher qu'il n'avait pas confiance en lui et que la méfiance était de mise. Joseph Kemper, dit Joe, le laissa s'asseoir, au grand désarroi d'Adam, qui roula des yeux. Les autres se mirent à ricaner, pensant juste que ce type avait interrompue leur virtuose de la musique. Quand l'homme dit qu'ils n'avaient pas à le craindre, que ses rapports avaient déjà été envoyer, cela ne rassura pas Adam, qui aurait bien aimer jeter un coup d'oeil à son dossier.

"On faisait un jeu c'est tout."

Fit-il histoire de calmer les choses dans sa tête. Mais il ne s'attendait pas à ce que Joe le trahisse.

"Le petit  nous chantonne des chansons et on doit trouver les titres, il est très doué la dessus, il chante bien en plus ce gamin !"

"Tsss, arrête je suis pas un gamin, et je chante pas si bien que ça."

Fit-il légèrement gêné, il n'arrivait pas à se retirer de la tête que la moindre erreur devant ce James, et son père serait mit au courant. Il ne se sentait pas forcément de coeur à chanter. Puis Joe fit :

"Oh, allez Adam chante un truc et le Commandant en Second doit devinez !"

"Bon ok..."

Génial...Adam lança un regard mauvais à Joseph. Non mais c'était une blague ?! Bon, ok, il ne devait pas casser l'image qu'il s'était forger, cette image qui lui allait tellement bien et qui lui convenait parfaitement. Il chercha alors et se mit à chantonner American Idiot de Green Day. Allez savoir pourquoi James lui avait inspirer cette chanson...ou c'était la pensé de son père. Adam attendait de voir si James allait trouver. Les autres eux l'avaient, et étaient mort de rire.

[◮ Y.O. :]

Adam c'était fait bien plus vite à la vie de la Cité que ce qu'il aurait imaginer. Il était vrai qu'être loin de son père l'avait aider à bien s'intégrer et à se lâcher. Il était pas rare de l'entendre chanter, ou jouer de la guitare. Il était cependant rare de le voir tirer la tête ou d'être triste. Lui il avait tout le temps envie de rire, d'être heureux. Il voyait le bon côté des choses partout, même là ou personne ne trouvait de quoi rire, lui ça le faisait rire. Certains soldats le nommait Smiley, car il passait sa vie à sourire, et à charmer les demoiselles. Un vrai bout en train.

Comme ce midi, où il n'arrêtait pas de gagner à ce fameux jeux qu'il laissait sur le temps du midi, il imitait des chansons en ne faisait que des sons et les autres devaient trouver, ça faisait rire tout le monde, car Adam allait chercher des chansons à l'ancienne et de tout les coins des USA, ou du monde. Il avait apprit depuis qu'il était là, à enregistrer des chansons des différentes nationalités.  Quand un homme arriva et leur demanda si ils pouvaient se mettre avec eux, Adam se tut légèrement, ce type bossait pour son père, autant clairement afficher qu'il n'avait pas confiance en lui et que la méfiance était de mise. Joseph Kemper, dit Joe, le laissa s'asseoir, au grand désarroi d'Adam, qui roula des yeux. Les autres se mirent à ricaner, pensant juste que ce type avait interrompue leur virtuose de la musique. Quand l'homme dit qu'ils n'avaient pas à le craindre, que ses rapports avaient déjà été envoyer, cela ne rassura pas Adam, qui aurait bien aimer jeter un coup d'oeil à son dossier.

"On faisait un jeu c'est tout."

Fit-il histoire de calmer les choses dans sa tête. Mais il ne s'attendait pas à ce que Joe le trahisse.

"Le petit  nous chantonne des chansons et on doit trouver les titres, il est très doué la dessus, il chante bien en plus ce gamin !"

"Tsss, arrête je suis pas un gamin, et je chante pas si bien que ça."

Fit-il légèrement gêné, il n'arrivait pas à se retirer de la tête que la moindre erreur devant ce James, et son père serait mit au courant. Il ne se sentait pas forcément de coeur à chanter. Puis Joe fit :

"Oh, allez Adam chante un truc et le Commandant en Second doit devinez !"

"Bon ok..."

Génial...Adam lança un regard mauvais à Joseph. Non mais c'était une blague ?! Bon, ok, il ne devait pas casser l'image qu'il s'était forger, cette image qui lui allait tellement bien et qui lui convenait parfaitement. Il chercha alors et se mit à chantonner American Idiot de Green Day. Allez savoir pourquoi James lui avait inspirer cette chanson...ou c'était la pensé de son père. Adam attendait de voir si James allait trouver. Les autres eux l'avaient, et étaient mort de rire.

[◮ HERE :]

Adam c'était fait bien plus vite à la vie de la Cité que ce qu'il aurait imaginer. Il était vrai qu'être loin de son père l'avait aider à bien s'intégrer et à se lâcher. Il était pas rare de l'entendre chanter, ou jouer de la guitare. Il était cependant rare de le voir tirer la tête ou d'être triste. Lui il avait tout le temps envie de rire, d'être heureux. Il voyait le bon côté des choses partout, même là ou personne ne trouvait de quoi rire, lui ça le faisait rire. Certains soldats le nommait Smiley, car il passait sa vie à sourire, et à charmer les demoiselles. Un vrai bout en train.

Comme ce midi, où il n'arrêtait pas de gagner à ce fameux jeux qu'il laissait sur le temps du midi, il imitait des chansons en ne faisait que des sons et les autres devaient trouver, ça faisait rire tout le monde, car Adam allait chercher des chansons à l'ancienne et de tout les coins des USA, ou du monde. Il avait apprit depuis qu'il était là, à enregistrer des chansons des différentes nationalités.  Quand un homme arriva et leur demanda si ils pouvaient se mettre avec eux, Adam se tut légèrement, ce type bossait pour son père, autant clairement afficher qu'il n'avait pas confiance en lui et que la méfiance était de mise. Joseph Kemper, dit Joe, le laissa s'asseoir, au grand désarroi d'Adam, qui roula des yeux. Les autres se mirent à ricaner, pensant juste que ce type avait interrompue leur virtuose de la musique. Quand l'homme dit qu'ils n'avaient pas à le craindre, que ses rapports avaient déjà été envoyer, cela ne rassura pas Adam, qui aurait bien aimer jeter un coup d'oeil à son dossier.

"On faisait un jeu c'est tout."

Fit-il histoire de calmer les choses dans sa tête. Mais il ne s'attendait pas à ce que Joe le trahisse.

"Le petit  nous chantonne des chansons et on doit trouver les titres, il est très doué la dessus, il chante bien en plus ce gamin !"

"Tsss, arrête je suis pas un gamin, et je chante pas si bien que ça."

Fit-il légèrement gêné, il n'arrivait pas à se retirer de la tête que la moindre erreur devant ce James, et son père serait mit au courant. Il ne se sentait pas forcément de coeur à chanter. Puis Joe fit :

"Oh, allez Adam chante un truc et le Commandant en Second doit devinez !"

"Bon ok..."

Génial...Adam lança un regard mauvais à Joseph. Non mais c'était une blague ?! Bon, ok, il ne devait pas casser l'image qu'il s'était forger, cette image qui lui allait tellement bien et qui lui convenait parfaitement. Il chercha alors et se mit à chantonner American Idiot de Green Day. Allez savoir pourquoi James lui avait inspirer cette chanson...ou c'était la pensé de son père. Adam attendait de voir si James allait trouver. Les autres eux l'avaient, et étaient mort de rire.

[◮ JOB :]

Adam c'était fait bien plus vite à la vie de la Cité que ce qu'il aurait imaginer. Il était vrai qu'être loin de son père l'avait aider à bien s'intégrer et à se lâcher. Il était pas rare de l'entendre chanter, ou jouer de la guitare. Il était cependant rare de le voir tirer la tête ou d'être triste. Lui il avait tout le temps envie de rire, d'être heureux. Il voyait le bon côté des choses partout, même là ou personne ne trouvait de quoi rire, lui ça le faisait rire. Certains soldats le nommait Smiley, car il passait sa vie à sourire, et à charmer les demoiselles. Un vrai bout en train.

Comme ce midi, où il n'arrêtait pas de gagner à ce fameux jeux qu'il laissait sur le temps du midi, il imitait des chansons en ne faisait que des sons et les autres devaient trouver, ça faisait rire tout le monde, car Adam allait chercher des chansons à l'ancienne et de tout les coins des USA, ou du monde. Il avait apprit depuis qu'il était là, à enregistrer des chansons des différentes nationalités.  Quand un homme arriva et leur demanda si ils pouvaient se mettre avec eux, Adam se tut légèrement, ce type bossait pour son père, autant clairement afficher qu'il n'avait pas confiance en lui et que la méfiance était de mise. Joseph Kemper, dit Joe, le laissa s'asseoir, au grand désarroi d'Adam, qui roula des yeux. Les autres se mirent à ricaner, pensant juste que ce type avait interrompue leur virtuose de la musique. Quand l'homme dit qu'ils n'avaient pas à le craindre, que ses rapports avaient déjà été envoyer, cela ne rassura pas Adam, qui aurait bien aimer jeter un coup d'oeil à son dossier.

"On faisait un jeu c'est tout."

Fit-il histoire de calmer les choses dans sa tête. Mais il ne s'attendait pas à ce que Joe le trahisse.

"Le petit  nous chantonne des chansons et on doit trouver les titres, il est très doué la dessus, il chante bien en plus ce gamin !"

"Tsss, arrête je suis pas un gamin, et je chante pas si bien que ça."

Fit-il légèrement gêné, il n'arrivait pas à se retirer de la tête que la moindre erreur devant ce James, et son père serait mit au courant. Il ne se sentait pas forcément de coeur à chanter. Puis Joe fit :

"Oh, allez Adam chante un truc et le Commandant en Second doit devinez !"

"Bon ok..."

Génial...Adam lança un regard mauvais à Joseph. Non mais c'était une blague ?! Bon, ok, il ne devait pas casser l'image qu'il s'était forger, cette image qui lui allait tellement bien et qui lui convenait parfaitement. Il chercha alors et se mit à chantonner American Idiot de Green Day. Allez savoir pourquoi James lui avait inspirer cette chanson...ou c'était la pensé de son père. Adam attendait de voir si James allait trouver. Les autres eux l'avaient, et étaient mort de rire.

[◮ COMPTES :]

Adam c'était fait bien plus vite à la vie de la Cité que ce qu'il aurait imaginer. Il était vrai qu'être loin de son père l'avait aider à bien s'intégrer et à se lâcher. Il était pas rare de l'entendre chanter, ou jouer de la guitare. Il était cependant rare de le voir tirer la tête ou d'être triste. Lui il avait tout le temps envie de rire, d'être heureux. Il voyait le bon côté des choses partout, même là ou personne ne trouvait de quoi rire, lui ça le faisait rire. Certains soldats le nommait Smiley, car il passait sa vie à sourire, et à charmer les demoiselles. Un vrai bout en train.

Comme ce midi, où il n'arrêtait pas de gagner à ce fameux jeux qu'il laissait sur le temps du midi, il imitait des chansons en ne faisait que des sons et les autres devaient trouver, ça faisait rire tout le monde, car Adam allait chercher des chansons à l'ancienne et de tout les coins des USA, ou du monde. Il avait apprit depuis qu'il était là, à enregistrer des chansons des différentes nationalités.  Quand un homme arriva et leur demanda si ils pouvaient se mettre avec eux, Adam se tut légèrement, ce type bossait pour son père, autant clairement afficher qu'il n'avait pas confiance en lui et que la méfiance était de mise. Joseph Kemper, dit Joe, le laissa s'asseoir, au grand désarroi d'Adam, qui roula des yeux. Les autres se mirent à ricaner, pensant juste que ce type avait interrompue leur virtuose de la musique. Quand l'homme dit qu'ils n'avaient pas à le craindre, que ses rapports avaient déjà été envoyer, cela ne rassura pas Adam, qui aurait bien aimer jeter un coup d'oeil à son dossier.

"On faisait un jeu c'est tout."

Fit-il histoire de calmer les choses dans sa tête. Mais il ne s'attendait pas à ce que Joe le trahisse.

"Le petit  nous chantonne des chansons et on doit trouver les titres, il est très doué la dessus, il chante bien en plus ce gamin !"

"Tsss, arrête je suis pas un gamin, et je chante pas si bien que ça."

Fit-il légèrement gêné, il n'arrivait pas à se retirer de la tête que la moindre erreur devant ce James, et son père serait mit au courant. Il ne se sentait pas forcément de coeur à chanter. Puis Joe fit :

"Oh, allez Adam chante un truc et le Commandant en Second doit devinez !"

"Bon ok..."

Génial...Adam lança un regard mauvais à Joseph. Non mais c'était une blague ?! Bon, ok, il ne devait pas casser l'image qu'il s'était forger, cette image qui lui allait tellement bien et qui lui convenait parfaitement. Il chercha alors et se mit à chantonner American Idiot de Green Day. Allez savoir pourquoi James lui avait inspirer cette chanson...ou c'était la pensé de son père. Adam attendait de voir si James allait trouver. Les autres eux l'avaient, et étaient mort de rire.

Adam c'était fait bien plus vite à la vie de la Cité que ce qu'il aurait imaginer. Il était vrai qu'être loin de son père l'avait aider à bien s'intégrer et à se lâcher. Il était pas rare de l'entendre chanter, ou jouer de la guitare. Il était cependant rare de le voir tirer la tête ou d'être triste. Lui il avait tout le temps envie de rire, d'être heureux. Il voyait le bon côté des choses partout, même là ou personne ne trouvait de quoi rire, lui ça le faisait rire. Certains soldats le nommait Smiley, car il passait sa vie à sourire, et à charmer les demoiselles. Un vrai bout en train.

Comme ce midi, où il n'arrêtait pas de gagner à ce fameux jeux qu'il laissait sur le temps du midi, il imitait des chansons en ne faisait que des sons et les autres devaient trouver, ça faisait rire tout le monde, car Adam allait chercher des chansons à l'ancienne et de tout les coins des USA, ou du monde. Il avait apprit depuis qu'il était là, à enregistrer des chansons des différentes nationalités.  Quand un homme arriva et leur demanda si ils pouvaient se mettre avec eux, Adam se tut légèrement, ce type bossait pour son père, autant clairement afficher qu'il n'avait pas confiance en lui et que la méfiance était de mise. Joseph Kemper, dit Joe, le laissa s'asseoir, au grand désarroi d'Adam, qui roula des yeux. Les autres se mirent à ricaner, pensant juste que ce type avait interrompue leur virtuose de la musique. Quand l'homme dit qu'ils n'avaient pas à le craindre, que ses rapports avaient déjà été envoyer, cela ne rassura pas Adam, qui aurait bien aimer jeter un coup d'oeil à son dossier.

"On faisait un jeu c'est tout."

Fit-il histoire de calmer les choses dans sa tête. Mais il ne s'attendait pas à ce que Joe le trahisse.

"Le petit  nous chantonne des chansons et on doit trouver les titres, il est très doué la dessus, il chante bien en plus ce gamin !"

"Tsss, arrête je suis pas un gamin, et je chante pas si bien que ça."

Fit-il légèrement gêné, il n'arrivait pas à se retirer de la tête que la moindre erreur devant ce James, et son père serait mit au courant. Il ne se sentait pas forcément de coeur à chanter. Puis Joe fit :

"Oh, allez Adam chante un truc et le Commandant en Second doit devinez !"

"Bon ok..."

Génial...Adam lança un regard mauvais à Joseph. Non mais c'était une blague ?! Bon, ok, il ne devait pas casser l'image qu'il s'était forger, cette image qui lui allait tellement bien et qui lui convenait parfaitement. Il chercha alors et se mit à chantonner American Idiot de Green Day. Allez savoir pourquoi James lui avait inspirer cette chanson...ou c'était la pensé de son père. Adam attendait de voir si James allait trouver. Les autres eux l'avaient, et étaient mort de rire.