◮ Le Sergent Li serait victime d'effets secondaires d'une boisson consommée sur P9F-357 ; il se baladerait en effet avec un balai en bois et apprendrait à plusieurs membres du personnel qu'il est, nous citons, "leur père". ◮ Il est hautement conseillé de ne pas tenter de tenir une conversation avec le Dr Esperanza ; celle-ci se serait mise à parler le Klingon après une soirée Star Trek et aurait tendance à agir comme eux. ◮ Une enveloppe a été créée afin de côtiser tous ensemble pour permettre à la Cité de se payer un piano orientale. Même si ça n'existe pas, oui.
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Tous les groupes sont importants, veillez à essayer de les équilibrer. Quelques ennemis ne seraient pas de trop...
Les possibilités de jeux sont nombreuses pour les humanoïdes en dehors d'Atlantis, tous ne sont pas obligés de rejoindre la Cité pour jouer ou s'intégrer correctement.
( NOM COMPLET ) Marnie Jean Hayes - toute la fierté qui dégorge du patronyme prend aux tripes, plusieurs générations d'hommes et de femmes solides ayant survécu aux aléas du temps pour marquer le lignage. Les histoires sont racontées avec malice, le sourire pérenne accroché aux lippes. Avec un prénom pareil, les autres minots ne se sont pas montrés magnanimes mais ce qui autrefois constituait une faiblesse est, temps faisant, devenu une force. Aujourd'hui sa répartie taille des rictus embarrassés sur les visages pédants. Jean, on l'appelle aussi "Tulipe", un surnom qui colle à la peau et qui ne part malheureusement pas au lavage. Choix quelque peu surprenant lorsqu'on se rend compte qu'elle est bien loin de la fleur délicate. ( ÂGE - DATE DE NAISSANCE ) vingt huit années au compteur, d'une vie qu'elle escompte user jusqu'à la dernière corde. Lyrisme abandonné aux poètes, la jeune femme sait exactement où est-ce qu'elle fout les pieds. Cela fait plusieurs années que la maturité a salué sa fibre insouciante pour lui filer du plomb aussi bien dans la cervelle que dans les molaires. L'apsara brune a vu le jour à Maysville, dans le Kentucky. Fief des républicains irréductibles, des barbecues champêtres et des santiags portées avec l'élégance rurale aussi viorne que dépassée. Pour ceux et celles qui veulent s'y risquer : lui souhaiter bon anniversaire ne peut que lui tirer un grognement primitif, le 4 juillet est jour de fête nationale. Quoiqu'il arrive, elle aura de quoi tester ses capacités en picole.( NATIONALITE ) américaine, stars et stripes gravé dans le cœur, jusqu'à la couche la plus profonde. Si l'exotisme s'est distillé dans les veines à travers les migrants latinos venus de l'autre côté de la frontière, sa carte et ses valeurs sont yankees. ( STATUT CIVIL ) l'amour n'est pas une variable constante, dans son parcours. Carriériste sur les bords et fichtrement butée, trouver quelqu'un qui partage sa vision du monde est une mission périlleuse qu'elle n'arrive pas à accomplir. Indépendante, Jean enchaine les histoires sans importance, s'éloignant le plus possible des stéréotypes du couple véhiculés par les médias. De toute façon, elle n'a pas le temps pour ces conneries.Ceci dit, elle n'est pas pour autant réfractaire à la maison aux volets bleus entourée d'une clôture.( PROFESSION - SPÉCIALITÉ ) Tout d'abord, si tous les Hayes ont toujours été conscients de ses capacités ( petite déjà, elle réparait le système d'injection du tracteur en deux temps trois mouvements sans demander d'aide à personne), ça n'était pas le cas de certains de ses professeurs qui lui ont souvent offert des laïus au sujet de ses résultats en dents de scie. Il faut bien avouer que ,la plupart du temps, elle s'ennuyait ferme et ne rêvait que d'entendre la sonnerie annonçant la fin des cours pour aller se perdre dans le vieux hangar où son oncle Bill bidouillait des vieilles caisses. Contre toute attente et à la surprise générale, à la fin du lycée, c'est le MIT qui la recruta. Sa participation aux projets locaux et ses petites inventions avaient réussi à ne pas passer inaperçu. Rendue là, elle n'a pas fait preuve de plus de stabilité, intégrant le département du génie mécanique, elle fit des caramboles et se retrouva en génie électrique et informatique avant de finir en génie des matériaux. Sa ligne directrice était de ne pas "se faire chier" et si elle adhérait au motto "Mens et Manus", elle devait bien reconnaître qu'elle excellait un peu partout où elle foutait ses paluches. Si elle écartait l'appellation arbitraire de "génie", elle acceptait volontiers les compliments sur son travail acharné. Après cinq années à chauffer les bancs universitaires, elle considéra l'idée d'intégrer la NASA. Elle finit dans la défense du territoire et des ambitions politiques en s'illustrant dans la marine en tant que technicienne de maintenance (vecteur et moteur), bichonnant les aéronefs, pendant un an et demi. Un matin, une opportunité s'est présentée à elle et elle l'a saisi. Depuis, elle s'est spécialisée ,après avoir intégré Cheyenne Mountain et un programme de recherche confidentiel, en mécanique extra-terrestre. Le fait est qu'à ce jour toutes les heures d'étude enchainées ne l'empêchent pas de rencontrer des casse-tête, surtout lorsque le génie extraterrestre se révèle nettement plus complexe que de la simple "tuyauterie". En résumé : elle fait partie de la marine, technicienne (spé mécanique extra-terrestre). ( GROUPE ) terriens/atlantes ( DATE D'ARRIVEE SUR ATLANTIS ) depuis 2015, autrement dit : suffisamment de temps pour comprendre comment fonctionnent les choses dans le coin.( GENE ATA ) visiblement, oui. Il semblerait que l'on puisse compter les Alteran parmi ses ascendants. La belle affaire, si vous voulez son avis. Cela lui permet, au mieux, de pouvoir utiliser quelques babioles représentatives de leur ancienne technologie.
( THIS IS WHO I AM ) Peu prolixe, Jean préfère largement le silence aux conversations creuses. Cependant, elle se tient aux antipodes de l'ermite dont les seuls alliés seraient ses gadgets. Disons qu'en dehors des directives hiérarchiques, la jeune femme est socialement sélective ; Son oncle a été témoin de l'émergence des premiers programmes SG, lui aussi en tant que technicien. Cela dit, elle ne l'a appris que récemment. Ce dernier fut son mentor et, elle n'a pas peur de dire qu'il est le seul à l'avoir aidé à cultiver son intelligence. ; Enfant unique, partager n'est pas un verbe qu'elle avait autrefois l'habitude de conjuguer, elle a appris à le faire en choisissant, à la fin de ses études universitaires, de servir son pays plutôt que de s'illustrer en macheuse de chewing-gum émérite dans le coin perdu dans lequel elle est née. Elle aurait pu choisir n'importe quel parcours : elle a choisi de suivre les traces de son oncle. Au grand dam de sa mère qui, présentement encore, lui en veut beaucoup ; A première vue, Jean est loin d'inspirer la peur à quiconque fomenterait l'envie de poser la main sur elle. Sa formation ayant inclus un entrainement au combat rapproché, elle sait comment envoyer quelqu'un au tapis. Il est évident qu'elle a passé nettement moins de temps à bander ses biceps qu'à se muscler la cervelle. Toutefois, elle fait une dangereuse intolérance aux trouducs, sachez donc qu'un coup de clé à molette peut très vite arriver. La dentelle est moins attractive que la brique, de son avis; Elle essaye d'être aux faits des dernières avancées dans son domaine mais également scientifiques. Orgueilleuse, elle refuse qu'un tiers en sache plus qu'elle, un travers que beaucoup lui reconnaissent avec amusement. Première à débattre, dernière à reconnaître ses limites: soldat assumé qui tient sa position. La bestiole possède toutefois un sérieux problème avec l'autorité quand la finitude lui parait loin d'être équitable. Elle prend son mal en patience et tente de trouver une faille au système; Son langage est bien plus fleuri que les robes qu'elle portait lorsqu'elle était petite. Des invectives lancées avec verve, des noms d'oiseaux balancés comme des couteaux, des éclats de rire gras : la simplicité ; sans le vouloir, Jean n'est qu'un énième cliché ambulant : mue par un patriotisme ferme et une curiosité sans bornes, certaines de ses réactions sont bien loin d'être imprévisibles ; Elle se montre humble , se reconnait facilement dans la description du soldat répondant à des ordres, se prête au jeu. Cela étant dit, autodérision mise de côté, elle se révèle teigneuse quand les rôles s'inversent. D'ailleurs, elle fait en sorte qu'ils le fassent souvent ;Sa présence dans la cité ne fut pas plus une surprise pour elle qui voulait quitter la base souterraine pour voir un peu à quoi ressemblait la vie sur un bâtiment alien. ( L'ENTRETIEN ) Courage •Réflexion • Négociation • Survie (essayer par tous les moyens de comprendre les tenants et les aboutissants puis, agir avec audace s'il le faut pour s'assurer une survie).
Comment avez-vous rejoint le programme Porte des Etoiles ? Par le mérite et rien d'autre. Parce qu'elle a un parcours irréprochable que très peu peuvent se targuer d'avoir eu. Si souvent, son pragmatisme la pousse à attendre que ses comparses lui prouvent, de manière irréfutable, qu'ils ne sont pas là pour se tourner les pouces ou par simple piston (elle a failli le croire lorsqu'elle a appris que son oncle Bill représentait limite une légende dans le milieu), elle reconnaît volontiers les signes d'intelligence lorsqu'ils se présentent à elle. Lorsque l'on regarde au delà du tableau, la peinture se craquèle quelque peu sur les bordures. Jean s'est remise en question lorsqu'elle a appris que le fait qu'ils l'aient contacté était en partie lié au petit mot glissé par son oncle. Le poste était à pourvoir et il semblait que ses qualifications méritaient considération. Sceptique, au début, l'entretien s'est déroulé sans encombres pour finalement résulter sur une embauche. Elle ne sait pas combien de personnes étaient en lice pour la place qu'elle a finalement décroché. Tout ce dont elle est sûre, c'est qu'au moment où ils lui ont demandé de signer un contrat de confidentialité, elle était déjà certaine d'accepter leur proposition. Putain, comment décliner une offre pareille ? Après avoir regardé tous les films de science-fiction disponibles , elle s'était imaginée les meilleurs et les pires scenarii possibles, se délectant déjà du boulot qu'elle allait accomplir. Pour le moment, chaque jour ne ressemble pas à la veille. Elle arrive à s'épanouir.
Sur le terrain, vous êtes face à un nouveau peuple, vous ignorez ses intentions, que faîtes-vous ? C'est peut-être à des moments comme ceux-là qu'on fait la connaissance du côté timbré de la personnalité biaisée de Jean. Trente six mille possibilités s'offrent dont la plus primale : l'instinct de fuite. Si l'on arrive à appréhender une situation et les dangers qui lui sont consécutifs, la meilleure solution serait de choisir l'indolence et l'immobilité. Bras allongés le long du corps, le regard baissé: la queue entre les jambes. Fonction du peuple auquel on fait face, sauvage ou légèrement évolué, fonction des armes sauvages ou légèrement évoluées (et par là, on pense à faisceaux d'énergie et balles contre flèches et lances) - se mettre à l'abri, éviter les impacts, dernière mesure: prier. Le problème avec Jean, c'est qu'elle risque de réfléchir à s'en drainer la cervelle pour arriver à la conclusion que de toute façon : foutue pour foutue. Elle tente le dialogue - en essayant de n'offenser personne (chose difficile étant donné que les gros mots font sa ponctuation). Elle analyse par l'observation et passe à l'action. Dernier recours, à l'évidence. Leur proposer une écoute de " We Are The World" de Micheal Jackson ou chantonner Kumbaya. De toute façon, dans une équipe, il y a toujours les gros bras, la cervelle, l'alien, le diplomate. Il y en a bien un qui réussira à désamorcer la situation ou à servir de bouclier en cas de caillassage. Après le courage et la réflexion, la survie. C'est soit embrasser l'adage "Survivre aujourd'hui pour mourir demain" ou lancer "Maintenant j'ai une mitraillette how how how" réplique de John McClane dans Piège de cristal.
Choisir entre ces quatre mots Armes • Technologie • Culture • Défense (un peu de tout, en fonction des conjectures, le but étant quand même de rester en vie le plus longtemps possible en sauvant le plus de monde ).
Comment s'est déroulé votre premier passage à travers la Porte ? Un étourdissement, une seule nanoseconde, un clignement de paupières. Elle est passée de la Cheyenne Mountain à la Cité, sans qu'il n'y ait froissement de tissu. "Prodigieux, maintenant on retourne au boulot".Elle ne l'avouera jamais mais elle a trouvé ça mieux que toutes les attractions de Disney Land réunies.
Vous êtes, avec votre équipe, sur une planète inhabitée et vous avez pour mission de prélever des échantillons de plantes extrêmement importants pour contrecarrer un virus qui s'est propagé sur la Cité. Seulement, une fois sur place, vous apercevez une patrouille wraith, que faîtes-vous ? Elle leur récite un poème, à l'évidence.
Avez-vous déjà été sur le terrain ? Pour le moment, "aller sur le terrain" fait encore partie de sa to do list. L'occasion ne s'est pas encore présentée. Le fait que la cité soit à San Francisco lui a facilité la tâche. Ceci dit, elle apprécierait si à l'avenir, on pouvait faire appelle à elle pour des missions de terrain. Pas qu'elle s'ennuie, non mais la perspective de poser les pieds sur une autre planète, située dans une galaxie à la George Lucas lui semble bien plus excitante que passer sa journée le nez dans des pipelines. Bien évidemment, elle a abandonné l'idée d'une promenade de santé sur l'Etoile noire depuis qu'un astrophysicien lui a stipulé qu'elle n'existait que dans l'univers Star Wars. La barbe.
Quelles ont été vos premières impressions en arrivant sur Atlantis Si intérieurement ses organes ont esquissé les premiers pas d'une Lambada rythmée, d'apparence, elle a conservé une certaine placidité. Seul son regard d'opaline luisant aurait pu la fourvoyer. Jean a tout de suite su que la providence devait avoir joué un rôle important, menant ses pas vers ce bâtiment pétri de mystère qu'elle se ferait un plaisir de découvrir au quotidien. Quelque chose , une vague impression , lui certifia qu'elle y ferait face à des défis et qu'elle ne regretterait jamais son choix. Ceci dit, elle est parfaitement conscience que l'Atlantis est bien loin d'être comparable au nuage bisounours et qu'il va lui falloir un certain temps pour s'accommoder des espèces extra-terrestres qui en foulent le sol, comme il lui sera difficile de comprendre les Wraith et leurs délires expansionnistes.
behind the scene:
( PSEUDO, PRENOM) sibley, suz. ( ÂGE ) xx ans( PAYS ) gaule( ACTIVITE GENERALE ) 5/7 fonction examens ( INVENTE OU SCENARIO ) inventé ( DOUBLE COMPTE ) pas encore( DOUBLON DE PSEUDO ) non ( UN PETIT MOT ) ce forum m'a vendu du rêve dès que j'ai vu son sujet, seulement, je suis tellement rouillée question SG (il va me falloir un peu de temps pour me remettre dans le bain) - d'ailleurs, si certains recherchent des liens( CREDITS IMAGE ) idk
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Dernière édition par Jean Hayes le Lun 8 Mai - 12:55, édité 26 fois
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Sujet: Re: (less is more) - Jean. Dim 7 Mai - 19:19
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MAYSVILLE,KY « Carole organise une fête, près du vieux pont. Il y aura de quoi se mettre des mines » - il y aura du monde, trop de monde et beaucoup d’adolescents soumis à la suprématie hormonale qui passeront la moitié de la soirée à essayer de se frayer un chemin jusqu’à sa petite culotte. La perspective de devoir expliquer les bases de la physique ou même celles de la chimie à un plouc dégénéré ne l’enchante guère et invoque une envie de s’enfermer à double tours dans sa chambre pour n’en ressortir qu’au moment où son lycée accueillera des individus plus évolués. Elle considère néanmoins l’idée, le dilemme n’en est pas un. Elle sait qu’elle ne veut pas y aller mais, pour son image, notamment cette « réputation » incontournable qui suit tout élève comme une ombre maléfique ,qui elle aurait bien besoin d’être lustrée, elle pourrait considérer l'effort. Après avoir collé une gifle au capitaine de l’équipe de foot pour lui avoir demandé : « de lui ramoner le tuyau », elle ferait mieux de se montrer plus sociable que les apparences ne laissent penser. Certains l’ont déjà affublé de l’étiquette ‘Lesbienne’ et d’autres de ‘Psychopathe’, la grande majorité masculine n’abandonne pas pour autant la quête du Saint Graal. D’après Gaby Pozzi, la binoclarde qui tient le journal de Maysville High, un classement des filles les plus « tringlables » circulerait à travers les murs de l’établissement et, il semblerait de source sûre, que son nom en fasse partie. Génial, vraiment, quelle ascension sociale fulgurante : l’excellente mathématicienne, physicienne et mécanicienne qu’elle est se retrouve associée à une pratique profondément sexiste, à la misogynie aussi irréfutable que dégueulasse. Elle préférerait être reconnue pour la machine à propulsion sans carburant sur laquelle elle s’acharne depuis plusieurs mois et qu’elle compte présenter au prochain concours d’invention organisé par l’État, plutôt que par le physique hérité qu’elle arbore. La génétique échappe malheureusement à l’étudiant médiocre qui admet encore la théorie de l’homoncule. Quant à ceux qui ne recherchent qu’à noircir leur tableau de chasse, elle ne leur dédie qu’un vif mépris. « Laisse-moi y réfléchir » - finit-elle par répondre, c’est tout vu : sa machine remporte la manche. Oncle Bill sera fier d'elle lorsqu'elle remportera le concours.
CAMBRIDGE, MA.
« La demoiselle au deuxième rang aurait-elle la science infuse ? » - immobile, elle s’interdit de lever les yeux au ciel, tout d’abord parce qu’elle refuse de lui offrir une occasion de lui aboyer dessus, ensuite parce qu’elle préfère tenir sa langue, la réplique qu’elle tait mériterait une motion de censure dont l’existence même devrait être prohibée. Elle ne ferait que prouver au connard qui la fixe, avec son costume ringard et ses lunettes de fouine, qu’elle descend d’un australopithèque qui n’aurait pas réussi à s’élever au rang d’homo sapiens. Jean se mord la langue et espère qu’un de ses camarades décidera d’intervenir pour orienter l’attention générale sur lui. Peine perdue, le professeur en mécanique appliquée au bâtiment, soutient son regard et semble attendre qu’une réplique fuse d’entre ses lèvres qu’elle garde résolument scellées. « Déclinez votre identité que je sache à quel genre j’ai affaire » - plop, ses radars à discrimination s’affolent. « Jean Hayes, professeur. Genre féminin, pour ceux et celles qui en doutent » - consciente d’être loin de briller par son intelligence, sa réplique a au moins la qualité de faire rire la galerie, elle pourrait profiter du brouhaha général pour insulter l’illustre de tous les noms. Ou, juste rester là, à attendre que la sentence s’abatte. Mais, il faut dire que l’humiliation publique n’est pas volée. Rien ne l’ennuie plus que la thermodynamique des édifices, que la domotique, que les surveillances et les devis. Qui aurait pensé que la célèbre M.I.T ne ferait gage que de longues journées rythmées par les platitudes savantes ? « Si vous vous ennuyez autant, vous n'avez qu'à quitter le décor, je suis certain que personne ici ne remarquera votre absence » - é-vi-demment. (…) En génie électrique et informatique, elle se rend compte qu’il existe malheureusement une constante : la limite intellectuelle des professeurs qui lui font face. Puis, celle des élèves qui l’entourent. Enfin, la sienne qu’elle rêverait d’abroger. Elle finit par le faire. Et trouve sa place dans le corps des marins. SAN FRANCISCO,CA
« Tu sais parfaitement que je n’attends que ça, pouvoir pointer sur le terrain et faire exactement ce que bien des tocards ont déjà réussi à faire : visiter de la nation extra-terrestre » et par tocards elle veut dire tous les scientifiques de pacotille et autres figurants militaires qui prennent la place qui lui revient – de droit ? - lors des missions de reconnaissance. « T’as l’amertume qui dégouline dans les coins, Jean » - fait remarquer son collègue, la voix étouffée notamment parce que sa tête est fourrée dans les boyaux d’un Jumper. «Ah, tu trouves ? » l’ironie suinte, elle aussi, des coins dont il parle ; elle sort de l’habitacle où elle triturait les commandes pour venir lui flanquer un coup dans le mollet gauche. Un cri de douleur retentit, il s’extirpe pour mieux lui faire face ; ils ont tous deux le visage maculé de cambouis. De vrais cochons. Ils travaillaient déjà ensemble lorsqu’ils réparaient des véhicules sur la base de Cheyenne, aujourd’hui, ils rempilent , dans les mêmes schèmes pour se chamailler toute la journée. Ils aspirent à plus, personne ne peut leur en vouloir. Surtout lorsqu’on sait les diplômes qu’ils ont décroché, ce que renferment leurs crânes et ce dont ils sont véritablement capables. Des capacités qu’ils n’affichent par sur leurs fronts mais qui sont indubitables lorsqu’elles sont exprimées. « Change de discours, ton vieux 45 tours commence sérieusement à être rayé » - le majeur qu’elle agite aussitôt sous ses mirettes lui tire un rire tonitruant. « A quoi bon participer à l’effort, si on n’est même pas amenés à en apprécier la récolte ? J’aimerais bien piloter un de mes Jumper et faire comme tous ces membres d’équipe » - elle sait vaguement ce qu’ils font mais, elle veut le faire, elle aussi. Elle n’est pas pilote mais technicienne, même pas ingénieur alors qu’elle pourrait l’être. Elle pourrait être tout ce qu’ils voudraient. Un « ils » dont elle n’arrive pas à déterminer les constituants. Auquel ,pourtant, elle répond par les actes. « On pourrait pas en revenir au sujet initial, s’il te plait ? » - demande le grand brun. « Si tu veux » - grogne-t-elle, décidant de retourner à son poste. De quoi parlaient-ils, déjà ?
Dernière édition par Jean Hayes le Lun 8 Mai - 16:07, édité 6 fois
Admin ◮ Génie
M. Rodney McKay
◮ DOSSIERS : 2205 ◮ Y.O. : 54 ◮ HERE : cité d'atlantis ◮ JOB : sauver le monde ◮ COMPTES : evan, alex, julian, harikee, kanavu, liara, rafael
TO DO LIST
(need to be thinked one more time)
You don't know what terrifies me, do you? Yes, I'm not a big fan of whales, of course. Nor Wraith. Nor diseases, but that's not what I'm talkin' about. I'm scared of loosing you. Because you're wonderful, you're great. Because when you look at me, I feel like I'm invincible. You're the only one that really sees me, who knows me. You're the greatest thing that could ever happened to me. You make me a better person, probably a better genius though it's complicated. And then, I think that there's so many guys better than me. Better for you. And I can't help but be terrified that one day, you're just going to run away with some guy like Ronon. That's how much I love you.
Sujet: Re: (less is more) - Jean. Dim 7 Mai - 20:35
Bienvenuuue
T'inquiète, SG, on l'a dans la peau Si t'as la moindre question, n'hésite pas surtout
Et très bon choix d'avatar
Invité
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Sujet: Re: (less is more) - Jean. Dim 7 Mai - 21:28
je suis bien d'accord c'est l'enfance. je pense que je vais venir taper l'incruste dans ta boîte mp sous peu en tout cas, merci pour ce bel accueil. (mckay )
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Sujet: Re: (less is more) - Jean. Dim 7 Mai - 21:47
Je t'y attends de pieds ferme Et puis faudra qu'on se trouve un lien, la p'tite Jean sera peut-être la seule militaire que Rodney ne traitera pas de décérébrée (oupas, on peut s'attendre à tout, avec lui )
Sujet: Re: (less is more) - Jean. Dim 7 Mai - 22:43
Bienvenue ! Sympa le choix d'avatar
Invité
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Sujet: Re: (less is more) - Jean. Lun 8 Mai - 12:46
mckay, avec plaisir pour le lien. Il est comme ça, meredith. comme ils n'évoluent pas dans les mêmes domaines, il se peut qu'il se montre pédant avec ma mécanicienne ronon, les meilleurs sont là. merci, je te retourne le compliment
Sujet: Re: (less is more) - Jean. Lun 8 Mai - 17:20
◮ Sacré fiche et sacré perso ! J'ai hâte de la voir en rp
◮ C'est avec plaisir que je t'annonce que ta fiche est à présent validée ! Je t'invite à aller poster ta fiche de liens & RPs. Tu peux également participer à la vie du forum en floodant et en votant toutes les deux heures sur les tops sites du forum. Et si jamais l'univers Stargate n'est pas ta tasse de thé, tu peux aller le découvrir grâce à une section spéciale mise en place à cette effet ! ◮ Nous te souhaitons un bon jeu et une bonne continuation !