[Admin]

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take our rhythm to new heights
feel the heat of passion, baby
light up the night

Rafael recula légèrement, retira ses lunettes pour se pincer le nez. Ses yeux fatiguaient ; il ne parvenait plus à rester concentré sur son microscope aussi longtemps. Se redressant afin de soulager son dos – vraiment, il ne faisait pas bon de vieillir – le médecin en profita pour lever les yeux de son appareil. L’infirmerie était calme mais il savait que ce n’était qu’une surface, qu’une période, et que celle-ci ne durerait, hélas, pas. L’attaque dont avait été victime la Cité et qui avait causé plusieurs morts avait ébranlé une partie du personnel – et il fallait la coupler avec la destruction du Dédale. Les blessés avaient été nombreux, et Rafael avait rejoint l’équipe d’infirmiers afin de soigner les plus graves blessés d’urgence. Après tout, il était urgentiste. Il avait enchaîné les gardes, nuit et jour, jusqu’à ce que les choses se tassent. Mais tout le personnel d’Atlantis était sur le qui-vive et chacun s’attendait à devoir préparer l’infirmerie à chaque mission. Rafael le premier. « Docteur Medicis ? » Il détourna les yeux de l’horloge, jusque-là inconscient de l’avoir fixée aussi longtemps sans pour autant être capable de donner l’heure qu’il était et posa son regard brun sur Steven, l’infirmier fraîchement débarqué. « Le Docteur Tavares demande si vous avez les résultats sur les tests menés sur la toxine que SGA-7 a prélevé sur P5X-589 ? » L’italien cligna des yeux avant d’acquiescer et se tourna vers son bureau. Il grimaça en remarquant combien il avait laissé la paperasse s’accumuler au fil des dernières semaines. Enfin, il dénicha le dossier désiré et, après l’avoir brandi comme un trophée, il le tendit à l’infirmerie qui le remercia et s’en alla avec un sourire. Rafael soupira, quitta sa chaise et parcourut les rues de l’infirmerie. Sa garde se terminait dans une heure trente. Ce qui lui laissait largement le temps de continuer son observation sur l’évolution de la toxine que les botanistes lui avaient refilé, persuadés qu’elle pouvait guérir des maladies infectieuses importantes. Mais ses yeux fatigués lui conseillaient de ne pas le faire avant de s’être enquérit de la santé des malades présents dans l’infirmerie. Il regardait les dossiers médicaux, s’assurait que tous les blessés allaient mieux avant d’apercevoir un jeune lieutenant s’approcher, salement amoché au niveau de l’arcade sourcilière droite. « Entraînement de combat un peu trop corsé. » Rafael secoua la tête, laissa un petit rire lui échapper avant de prendre le matériel et de faire signe au lieutenant de s’installer sur un lit proche. Malgré lui, le médecin espérait que ce blessé ne serait pas le dernier avant la fin de sa garde.

[◮ DOSSIERS :]

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Rafael recula légèrement, retira ses lunettes pour se pincer le nez. Ses yeux fatiguaient ; il ne parvenait plus à rester concentré sur son microscope aussi longtemps. Se redressant afin de soulager son dos – vraiment, il ne faisait pas bon de vieillir – le médecin en profita pour lever les yeux de son appareil. L’infirmerie était calme mais il savait que ce n’était qu’une surface, qu’une période, et que celle-ci ne durerait, hélas, pas. L’attaque dont avait été victime la Cité et qui avait causé plusieurs morts avait ébranlé une partie du personnel – et il fallait la coupler avec la destruction du Dédale. Les blessés avaient été nombreux, et Rafael avait rejoint l’équipe d’infirmiers afin de soigner les plus graves blessés d’urgence. Après tout, il était urgentiste. Il avait enchaîné les gardes, nuit et jour, jusqu’à ce que les choses se tassent. Mais tout le personnel d’Atlantis était sur le qui-vive et chacun s’attendait à devoir préparer l’infirmerie à chaque mission. Rafael le premier. « Docteur Medicis ? » Il détourna les yeux de l’horloge, jusque-là inconscient de l’avoir fixée aussi longtemps sans pour autant être capable de donner l’heure qu’il était et posa son regard brun sur Steven, l’infirmier fraîchement débarqué. « Le Docteur Tavares demande si vous avez les résultats sur les tests menés sur la toxine que SGA-7 a prélevé sur P5X-589 ? » L’italien cligna des yeux avant d’acquiescer et se tourna vers son bureau. Il grimaça en remarquant combien il avait laissé la paperasse s’accumuler au fil des dernières semaines. Enfin, il dénicha le dossier désiré et, après l’avoir brandi comme un trophée, il le tendit à l’infirmerie qui le remercia et s’en alla avec un sourire. Rafael soupira, quitta sa chaise et parcourut les rues de l’infirmerie. Sa garde se terminait dans une heure trente. Ce qui lui laissait largement le temps de continuer son observation sur l’évolution de la toxine que les botanistes lui avaient refilé, persuadés qu’elle pouvait guérir des maladies infectieuses importantes. Mais ses yeux fatigués lui conseillaient de ne pas le faire avant de s’être enquérit de la santé des malades présents dans l’infirmerie. Il regardait les dossiers médicaux, s’assurait que tous les blessés allaient mieux avant d’apercevoir un jeune lieutenant s’approcher, salement amoché au niveau de l’arcade sourcilière droite. « Entraînement de combat un peu trop corsé. » Rafael secoua la tête, laissa un petit rire lui échapper avant de prendre le matériel et de faire signe au lieutenant de s’installer sur un lit proche. Malgré lui, le médecin espérait que ce blessé ne serait pas le dernier avant la fin de sa garde.

[◮ HERE :]

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Rafael recula légèrement, retira ses lunettes pour se pincer le nez. Ses yeux fatiguaient ; il ne parvenait plus à rester concentré sur son microscope aussi longtemps. Se redressant afin de soulager son dos – vraiment, il ne faisait pas bon de vieillir – le médecin en profita pour lever les yeux de son appareil. L’infirmerie était calme mais il savait que ce n’était qu’une surface, qu’une période, et que celle-ci ne durerait, hélas, pas. L’attaque dont avait été victime la Cité et qui avait causé plusieurs morts avait ébranlé une partie du personnel – et il fallait la coupler avec la destruction du Dédale. Les blessés avaient été nombreux, et Rafael avait rejoint l’équipe d’infirmiers afin de soigner les plus graves blessés d’urgence. Après tout, il était urgentiste. Il avait enchaîné les gardes, nuit et jour, jusqu’à ce que les choses se tassent. Mais tout le personnel d’Atlantis était sur le qui-vive et chacun s’attendait à devoir préparer l’infirmerie à chaque mission. Rafael le premier. « Docteur Medicis ? » Il détourna les yeux de l’horloge, jusque-là inconscient de l’avoir fixée aussi longtemps sans pour autant être capable de donner l’heure qu’il était et posa son regard brun sur Steven, l’infirmier fraîchement débarqué. « Le Docteur Tavares demande si vous avez les résultats sur les tests menés sur la toxine que SGA-7 a prélevé sur P5X-589 ? » L’italien cligna des yeux avant d’acquiescer et se tourna vers son bureau. Il grimaça en remarquant combien il avait laissé la paperasse s’accumuler au fil des dernières semaines. Enfin, il dénicha le dossier désiré et, après l’avoir brandi comme un trophée, il le tendit à l’infirmerie qui le remercia et s’en alla avec un sourire. Rafael soupira, quitta sa chaise et parcourut les rues de l’infirmerie. Sa garde se terminait dans une heure trente. Ce qui lui laissait largement le temps de continuer son observation sur l’évolution de la toxine que les botanistes lui avaient refilé, persuadés qu’elle pouvait guérir des maladies infectieuses importantes. Mais ses yeux fatigués lui conseillaient de ne pas le faire avant de s’être enquérit de la santé des malades présents dans l’infirmerie. Il regardait les dossiers médicaux, s’assurait que tous les blessés allaient mieux avant d’apercevoir un jeune lieutenant s’approcher, salement amoché au niveau de l’arcade sourcilière droite. « Entraînement de combat un peu trop corsé. » Rafael secoua la tête, laissa un petit rire lui échapper avant de prendre le matériel et de faire signe au lieutenant de s’installer sur un lit proche. Malgré lui, le médecin espérait que ce blessé ne serait pas le dernier avant la fin de sa garde.

[◮ JOB :]

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Rafael recula légèrement, retira ses lunettes pour se pincer le nez. Ses yeux fatiguaient ; il ne parvenait plus à rester concentré sur son microscope aussi longtemps. Se redressant afin de soulager son dos – vraiment, il ne faisait pas bon de vieillir – le médecin en profita pour lever les yeux de son appareil. L’infirmerie était calme mais il savait que ce n’était qu’une surface, qu’une période, et que celle-ci ne durerait, hélas, pas. L’attaque dont avait été victime la Cité et qui avait causé plusieurs morts avait ébranlé une partie du personnel – et il fallait la coupler avec la destruction du Dédale. Les blessés avaient été nombreux, et Rafael avait rejoint l’équipe d’infirmiers afin de soigner les plus graves blessés d’urgence. Après tout, il était urgentiste. Il avait enchaîné les gardes, nuit et jour, jusqu’à ce que les choses se tassent. Mais tout le personnel d’Atlantis était sur le qui-vive et chacun s’attendait à devoir préparer l’infirmerie à chaque mission. Rafael le premier. « Docteur Medicis ? » Il détourna les yeux de l’horloge, jusque-là inconscient de l’avoir fixée aussi longtemps sans pour autant être capable de donner l’heure qu’il était et posa son regard brun sur Steven, l’infirmier fraîchement débarqué. « Le Docteur Tavares demande si vous avez les résultats sur les tests menés sur la toxine que SGA-7 a prélevé sur P5X-589 ? » L’italien cligna des yeux avant d’acquiescer et se tourna vers son bureau. Il grimaça en remarquant combien il avait laissé la paperasse s’accumuler au fil des dernières semaines. Enfin, il dénicha le dossier désiré et, après l’avoir brandi comme un trophée, il le tendit à l’infirmerie qui le remercia et s’en alla avec un sourire. Rafael soupira, quitta sa chaise et parcourut les rues de l’infirmerie. Sa garde se terminait dans une heure trente. Ce qui lui laissait largement le temps de continuer son observation sur l’évolution de la toxine que les botanistes lui avaient refilé, persuadés qu’elle pouvait guérir des maladies infectieuses importantes. Mais ses yeux fatigués lui conseillaient de ne pas le faire avant de s’être enquérit de la santé des malades présents dans l’infirmerie. Il regardait les dossiers médicaux, s’assurait que tous les blessés allaient mieux avant d’apercevoir un jeune lieutenant s’approcher, salement amoché au niveau de l’arcade sourcilière droite. « Entraînement de combat un peu trop corsé. » Rafael secoua la tête, laissa un petit rire lui échapper avant de prendre le matériel et de faire signe au lieutenant de s’installer sur un lit proche. Malgré lui, le médecin espérait que ce blessé ne serait pas le dernier avant la fin de sa garde.

[◮ COMPTES :]

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Rafael recula légèrement, retira ses lunettes pour se pincer le nez. Ses yeux fatiguaient ; il ne parvenait plus à rester concentré sur son microscope aussi longtemps. Se redressant afin de soulager son dos – vraiment, il ne faisait pas bon de vieillir – le médecin en profita pour lever les yeux de son appareil. L’infirmerie était calme mais il savait que ce n’était qu’une surface, qu’une période, et que celle-ci ne durerait, hélas, pas. L’attaque dont avait été victime la Cité et qui avait causé plusieurs morts avait ébranlé une partie du personnel – et il fallait la coupler avec la destruction du Dédale. Les blessés avaient été nombreux, et Rafael avait rejoint l’équipe d’infirmiers afin de soigner les plus graves blessés d’urgence. Après tout, il était urgentiste. Il avait enchaîné les gardes, nuit et jour, jusqu’à ce que les choses se tassent. Mais tout le personnel d’Atlantis était sur le qui-vive et chacun s’attendait à devoir préparer l’infirmerie à chaque mission. Rafael le premier. « Docteur Medicis ? » Il détourna les yeux de l’horloge, jusque-là inconscient de l’avoir fixée aussi longtemps sans pour autant être capable de donner l’heure qu’il était et posa son regard brun sur Steven, l’infirmier fraîchement débarqué. « Le Docteur Tavares demande si vous avez les résultats sur les tests menés sur la toxine que SGA-7 a prélevé sur P5X-589 ? » L’italien cligna des yeux avant d’acquiescer et se tourna vers son bureau. Il grimaça en remarquant combien il avait laissé la paperasse s’accumuler au fil des dernières semaines. Enfin, il dénicha le dossier désiré et, après l’avoir brandi comme un trophée, il le tendit à l’infirmerie qui le remercia et s’en alla avec un sourire. Rafael soupira, quitta sa chaise et parcourut les rues de l’infirmerie. Sa garde se terminait dans une heure trente. Ce qui lui laissait largement le temps de continuer son observation sur l’évolution de la toxine que les botanistes lui avaient refilé, persuadés qu’elle pouvait guérir des maladies infectieuses importantes. Mais ses yeux fatigués lui conseillaient de ne pas le faire avant de s’être enquérit de la santé des malades présents dans l’infirmerie. Il regardait les dossiers médicaux, s’assurait que tous les blessés allaient mieux avant d’apercevoir un jeune lieutenant s’approcher, salement amoché au niveau de l’arcade sourcilière droite. « Entraînement de combat un peu trop corsé. » Rafael secoua la tête, laissa un petit rire lui échapper avant de prendre le matériel et de faire signe au lieutenant de s’installer sur un lit proche. Malgré lui, le médecin espérait que ce blessé ne serait pas le dernier avant la fin de sa garde.

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Rafael recula légèrement, retira ses lunettes pour se pincer le nez. Ses yeux fatiguaient ; il ne parvenait plus à rester concentré sur son microscope aussi longtemps. Se redressant afin de soulager son dos – vraiment, il ne faisait pas bon de vieillir – le médecin en profita pour lever les yeux de son appareil. L’infirmerie était calme mais il savait que ce n’était qu’une surface, qu’une période, et que celle-ci ne durerait, hélas, pas. L’attaque dont avait été victime la Cité et qui avait causé plusieurs morts avait ébranlé une partie du personnel – et il fallait la coupler avec la destruction du Dédale. Les blessés avaient été nombreux, et Rafael avait rejoint l’équipe d’infirmiers afin de soigner les plus graves blessés d’urgence. Après tout, il était urgentiste. Il avait enchaîné les gardes, nuit et jour, jusqu’à ce que les choses se tassent. Mais tout le personnel d’Atlantis était sur le qui-vive et chacun s’attendait à devoir préparer l’infirmerie à chaque mission. Rafael le premier. « Docteur Medicis ? » Il détourna les yeux de l’horloge, jusque-là inconscient de l’avoir fixée aussi longtemps sans pour autant être capable de donner l’heure qu’il était et posa son regard brun sur Steven, l’infirmier fraîchement débarqué. « Le Docteur Tavares demande si vous avez les résultats sur les tests menés sur la toxine que SGA-7 a prélevé sur P5X-589 ? » L’italien cligna des yeux avant d’acquiescer et se tourna vers son bureau. Il grimaça en remarquant combien il avait laissé la paperasse s’accumuler au fil des dernières semaines. Enfin, il dénicha le dossier désiré et, après l’avoir brandi comme un trophée, il le tendit à l’infirmerie qui le remercia et s’en alla avec un sourire. Rafael soupira, quitta sa chaise et parcourut les rues de l’infirmerie. Sa garde se terminait dans une heure trente. Ce qui lui laissait largement le temps de continuer son observation sur l’évolution de la toxine que les botanistes lui avaient refilé, persuadés qu’elle pouvait guérir des maladies infectieuses importantes. Mais ses yeux fatigués lui conseillaient de ne pas le faire avant de s’être enquérit de la santé des malades présents dans l’infirmerie. Il regardait les dossiers médicaux, s’assurait que tous les blessés allaient mieux avant d’apercevoir un jeune lieutenant s’approcher, salement amoché au niveau de l’arcade sourcilière droite. « Entraînement de combat un peu trop corsé. » Rafael secoua la tête, laissa un petit rire lui échapper avant de prendre le matériel et de faire signe au lieutenant de s’installer sur un lit proche. Malgré lui, le médecin espérait que ce blessé ne serait pas le dernier avant la fin de sa garde.