[Admin]

✩ ✩ ✩ ✩ ✩
(wilson twins)

Une idée, fugace, mais précieuse. Comme la réponse à la question de l’univers. Quelque chose à ne surtout pas oublier. C’était la raison pour laquelle Julian courrait à travers les couloirs de la cité, la main levée et l’autre se grattant la barbe du jeudi. Pour retenir jusqu’à être arrivé à destination. Il emprunta un téléporteur, resta perplexe devant la carte de la cité qui s’affichait alors devant lui. C’était bien beau, tiens, de mettre une carte, mais s’il n’y avait aucune indication supplémentaire, elle était un peu inutile. Il tordit la bouche, se pencha un peu en avant – il faudrait qu’il pense à piquer les lunettes de vue de son jumeau au passage. Toucha finalement l’écran de sa main levée – celle qui devait lui rappeler cette chose qu’il ne devait surtout pas oublier. C’était urgent. Comme la fois où ils s’étaient échoués sur cet îlot au milieu du zoo de Sydney, avec son frère. Ils avaient joué aux cartes, parlé et là, bim, bam, boum. Non, aucune explosion, juste l’idée du siècle ; celle que, la prochaine fois, ils n’oublieraient pas le fouet d’Indiana. L’aventurier, pas le chien. Il aurait été étrange de voir un chien avec un fouet – quoique, ça devait se faire dans certaines cultures, mais c’était Jake le pro des cultures, pas lui. Lui, c’était Julian. Les pro des plantes, du dessin et du latin. « Arma cedant togae, » lâcha-t-il alors au milieu du couloir. Plusieurs paire d’yeux se retournèrent sur lui. Julian sourit aux demoiselles, esquissa un regard viril aux damoisaux et il continua son chemin. Jusqu’au mess. Sauf que vu l’heure, midi trente, son frère ne devait pas y être. Parce que son frère, il était réglé comme une montre et il ne se rendait au mess qu’une fois que sa barbe le grattait – hors, sa barbe ne pouvait pas encore le gratter car c’était celle du jeudi. Julian amortissa donc un demi-tour avant de rejoindre son jumeau. Dans un labo – mais il ne fallait plus lui demander lequel car l’aîné potentiel des Wilson zieutait maintenant la barbe de son frère. Ah, il était peut-être dans le faux. C’était peut-être la barbe du vendredi. Il n’était plus sûr de rien, maintenant. « Hey Jake. » Jake, le nom de son frère. Enfin, surnom, car en vérité, il s’appelait Jacob. Il s’approcha du jumeau, baissa la main avant de s’arrêter. Ah, oui ! Sa main ! « Dif tor heh smusma, frater ! » Nom de code – ou pas vraiment, Julian n’avait pas une aussi bonne mémoire. « Les Klingons n’ont pas de lunettes ! » Réponse à la question du mardi. « Ils n’ont pas d’oreilles pour faire tenir les branches. » Explication cohérente et logique. Bim, bam, boum, Julian avait encore frappé.

[◮ DOSSIERS :]

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(wilson twins)

Une idée, fugace, mais précieuse. Comme la réponse à la question de l’univers. Quelque chose à ne surtout pas oublier. C’était la raison pour laquelle Julian courrait à travers les couloirs de la cité, la main levée et l’autre se grattant la barbe du jeudi. Pour retenir jusqu’à être arrivé à destination. Il emprunta un téléporteur, resta perplexe devant la carte de la cité qui s’affichait alors devant lui. C’était bien beau, tiens, de mettre une carte, mais s’il n’y avait aucune indication supplémentaire, elle était un peu inutile. Il tordit la bouche, se pencha un peu en avant – il faudrait qu’il pense à piquer les lunettes de vue de son jumeau au passage. Toucha finalement l’écran de sa main levée – celle qui devait lui rappeler cette chose qu’il ne devait surtout pas oublier. C’était urgent. Comme la fois où ils s’étaient échoués sur cet îlot au milieu du zoo de Sydney, avec son frère. Ils avaient joué aux cartes, parlé et là, bim, bam, boum. Non, aucune explosion, juste l’idée du siècle ; celle que, la prochaine fois, ils n’oublieraient pas le fouet d’Indiana. L’aventurier, pas le chien. Il aurait été étrange de voir un chien avec un fouet – quoique, ça devait se faire dans certaines cultures, mais c’était Jake le pro des cultures, pas lui. Lui, c’était Julian. Les pro des plantes, du dessin et du latin. « Arma cedant togae, » lâcha-t-il alors au milieu du couloir. Plusieurs paire d’yeux se retournèrent sur lui. Julian sourit aux demoiselles, esquissa un regard viril aux damoisaux et il continua son chemin. Jusqu’au mess. Sauf que vu l’heure, midi trente, son frère ne devait pas y être. Parce que son frère, il était réglé comme une montre et il ne se rendait au mess qu’une fois que sa barbe le grattait – hors, sa barbe ne pouvait pas encore le gratter car c’était celle du jeudi. Julian amortissa donc un demi-tour avant de rejoindre son jumeau. Dans un labo – mais il ne fallait plus lui demander lequel car l’aîné potentiel des Wilson zieutait maintenant la barbe de son frère. Ah, il était peut-être dans le faux. C’était peut-être la barbe du vendredi. Il n’était plus sûr de rien, maintenant. « Hey Jake. » Jake, le nom de son frère. Enfin, surnom, car en vérité, il s’appelait Jacob. Il s’approcha du jumeau, baissa la main avant de s’arrêter. Ah, oui ! Sa main ! « Dif tor heh smusma, frater ! » Nom de code – ou pas vraiment, Julian n’avait pas une aussi bonne mémoire. « Les Klingons n’ont pas de lunettes ! » Réponse à la question du mardi. « Ils n’ont pas d’oreilles pour faire tenir les branches. » Explication cohérente et logique. Bim, bam, boum, Julian avait encore frappé.

[◮ Y.O. :]

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(wilson twins)

Une idée, fugace, mais précieuse. Comme la réponse à la question de l’univers. Quelque chose à ne surtout pas oublier. C’était la raison pour laquelle Julian courrait à travers les couloirs de la cité, la main levée et l’autre se grattant la barbe du jeudi. Pour retenir jusqu’à être arrivé à destination. Il emprunta un téléporteur, resta perplexe devant la carte de la cité qui s’affichait alors devant lui. C’était bien beau, tiens, de mettre une carte, mais s’il n’y avait aucune indication supplémentaire, elle était un peu inutile. Il tordit la bouche, se pencha un peu en avant – il faudrait qu’il pense à piquer les lunettes de vue de son jumeau au passage. Toucha finalement l’écran de sa main levée – celle qui devait lui rappeler cette chose qu’il ne devait surtout pas oublier. C’était urgent. Comme la fois où ils s’étaient échoués sur cet îlot au milieu du zoo de Sydney, avec son frère. Ils avaient joué aux cartes, parlé et là, bim, bam, boum. Non, aucune explosion, juste l’idée du siècle ; celle que, la prochaine fois, ils n’oublieraient pas le fouet d’Indiana. L’aventurier, pas le chien. Il aurait été étrange de voir un chien avec un fouet – quoique, ça devait se faire dans certaines cultures, mais c’était Jake le pro des cultures, pas lui. Lui, c’était Julian. Les pro des plantes, du dessin et du latin. « Arma cedant togae, » lâcha-t-il alors au milieu du couloir. Plusieurs paire d’yeux se retournèrent sur lui. Julian sourit aux demoiselles, esquissa un regard viril aux damoisaux et il continua son chemin. Jusqu’au mess. Sauf que vu l’heure, midi trente, son frère ne devait pas y être. Parce que son frère, il était réglé comme une montre et il ne se rendait au mess qu’une fois que sa barbe le grattait – hors, sa barbe ne pouvait pas encore le gratter car c’était celle du jeudi. Julian amortissa donc un demi-tour avant de rejoindre son jumeau. Dans un labo – mais il ne fallait plus lui demander lequel car l’aîné potentiel des Wilson zieutait maintenant la barbe de son frère. Ah, il était peut-être dans le faux. C’était peut-être la barbe du vendredi. Il n’était plus sûr de rien, maintenant. « Hey Jake. » Jake, le nom de son frère. Enfin, surnom, car en vérité, il s’appelait Jacob. Il s’approcha du jumeau, baissa la main avant de s’arrêter. Ah, oui ! Sa main ! « Dif tor heh smusma, frater ! » Nom de code – ou pas vraiment, Julian n’avait pas une aussi bonne mémoire. « Les Klingons n’ont pas de lunettes ! » Réponse à la question du mardi. « Ils n’ont pas d’oreilles pour faire tenir les branches. » Explication cohérente et logique. Bim, bam, boum, Julian avait encore frappé.

[◮ HERE :]

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(wilson twins)

Une idée, fugace, mais précieuse. Comme la réponse à la question de l’univers. Quelque chose à ne surtout pas oublier. C’était la raison pour laquelle Julian courrait à travers les couloirs de la cité, la main levée et l’autre se grattant la barbe du jeudi. Pour retenir jusqu’à être arrivé à destination. Il emprunta un téléporteur, resta perplexe devant la carte de la cité qui s’affichait alors devant lui. C’était bien beau, tiens, de mettre une carte, mais s’il n’y avait aucune indication supplémentaire, elle était un peu inutile. Il tordit la bouche, se pencha un peu en avant – il faudrait qu’il pense à piquer les lunettes de vue de son jumeau au passage. Toucha finalement l’écran de sa main levée – celle qui devait lui rappeler cette chose qu’il ne devait surtout pas oublier. C’était urgent. Comme la fois où ils s’étaient échoués sur cet îlot au milieu du zoo de Sydney, avec son frère. Ils avaient joué aux cartes, parlé et là, bim, bam, boum. Non, aucune explosion, juste l’idée du siècle ; celle que, la prochaine fois, ils n’oublieraient pas le fouet d’Indiana. L’aventurier, pas le chien. Il aurait été étrange de voir un chien avec un fouet – quoique, ça devait se faire dans certaines cultures, mais c’était Jake le pro des cultures, pas lui. Lui, c’était Julian. Les pro des plantes, du dessin et du latin. « Arma cedant togae, » lâcha-t-il alors au milieu du couloir. Plusieurs paire d’yeux se retournèrent sur lui. Julian sourit aux demoiselles, esquissa un regard viril aux damoisaux et il continua son chemin. Jusqu’au mess. Sauf que vu l’heure, midi trente, son frère ne devait pas y être. Parce que son frère, il était réglé comme une montre et il ne se rendait au mess qu’une fois que sa barbe le grattait – hors, sa barbe ne pouvait pas encore le gratter car c’était celle du jeudi. Julian amortissa donc un demi-tour avant de rejoindre son jumeau. Dans un labo – mais il ne fallait plus lui demander lequel car l’aîné potentiel des Wilson zieutait maintenant la barbe de son frère. Ah, il était peut-être dans le faux. C’était peut-être la barbe du vendredi. Il n’était plus sûr de rien, maintenant. « Hey Jake. » Jake, le nom de son frère. Enfin, surnom, car en vérité, il s’appelait Jacob. Il s’approcha du jumeau, baissa la main avant de s’arrêter. Ah, oui ! Sa main ! « Dif tor heh smusma, frater ! » Nom de code – ou pas vraiment, Julian n’avait pas une aussi bonne mémoire. « Les Klingons n’ont pas de lunettes ! » Réponse à la question du mardi. « Ils n’ont pas d’oreilles pour faire tenir les branches. » Explication cohérente et logique. Bim, bam, boum, Julian avait encore frappé.

[◮ JOB :]

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(wilson twins)

Une idée, fugace, mais précieuse. Comme la réponse à la question de l’univers. Quelque chose à ne surtout pas oublier. C’était la raison pour laquelle Julian courrait à travers les couloirs de la cité, la main levée et l’autre se grattant la barbe du jeudi. Pour retenir jusqu’à être arrivé à destination. Il emprunta un téléporteur, resta perplexe devant la carte de la cité qui s’affichait alors devant lui. C’était bien beau, tiens, de mettre une carte, mais s’il n’y avait aucune indication supplémentaire, elle était un peu inutile. Il tordit la bouche, se pencha un peu en avant – il faudrait qu’il pense à piquer les lunettes de vue de son jumeau au passage. Toucha finalement l’écran de sa main levée – celle qui devait lui rappeler cette chose qu’il ne devait surtout pas oublier. C’était urgent. Comme la fois où ils s’étaient échoués sur cet îlot au milieu du zoo de Sydney, avec son frère. Ils avaient joué aux cartes, parlé et là, bim, bam, boum. Non, aucune explosion, juste l’idée du siècle ; celle que, la prochaine fois, ils n’oublieraient pas le fouet d’Indiana. L’aventurier, pas le chien. Il aurait été étrange de voir un chien avec un fouet – quoique, ça devait se faire dans certaines cultures, mais c’était Jake le pro des cultures, pas lui. Lui, c’était Julian. Les pro des plantes, du dessin et du latin. « Arma cedant togae, » lâcha-t-il alors au milieu du couloir. Plusieurs paire d’yeux se retournèrent sur lui. Julian sourit aux demoiselles, esquissa un regard viril aux damoisaux et il continua son chemin. Jusqu’au mess. Sauf que vu l’heure, midi trente, son frère ne devait pas y être. Parce que son frère, il était réglé comme une montre et il ne se rendait au mess qu’une fois que sa barbe le grattait – hors, sa barbe ne pouvait pas encore le gratter car c’était celle du jeudi. Julian amortissa donc un demi-tour avant de rejoindre son jumeau. Dans un labo – mais il ne fallait plus lui demander lequel car l’aîné potentiel des Wilson zieutait maintenant la barbe de son frère. Ah, il était peut-être dans le faux. C’était peut-être la barbe du vendredi. Il n’était plus sûr de rien, maintenant. « Hey Jake. » Jake, le nom de son frère. Enfin, surnom, car en vérité, il s’appelait Jacob. Il s’approcha du jumeau, baissa la main avant de s’arrêter. Ah, oui ! Sa main ! « Dif tor heh smusma, frater ! » Nom de code – ou pas vraiment, Julian n’avait pas une aussi bonne mémoire. « Les Klingons n’ont pas de lunettes ! » Réponse à la question du mardi. « Ils n’ont pas d’oreilles pour faire tenir les branches. » Explication cohérente et logique. Bim, bam, boum, Julian avait encore frappé.

[◮ COMPTES :]

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(wilson twins)

Une idée, fugace, mais précieuse. Comme la réponse à la question de l’univers. Quelque chose à ne surtout pas oublier. C’était la raison pour laquelle Julian courrait à travers les couloirs de la cité, la main levée et l’autre se grattant la barbe du jeudi. Pour retenir jusqu’à être arrivé à destination. Il emprunta un téléporteur, resta perplexe devant la carte de la cité qui s’affichait alors devant lui. C’était bien beau, tiens, de mettre une carte, mais s’il n’y avait aucune indication supplémentaire, elle était un peu inutile. Il tordit la bouche, se pencha un peu en avant – il faudrait qu’il pense à piquer les lunettes de vue de son jumeau au passage. Toucha finalement l’écran de sa main levée – celle qui devait lui rappeler cette chose qu’il ne devait surtout pas oublier. C’était urgent. Comme la fois où ils s’étaient échoués sur cet îlot au milieu du zoo de Sydney, avec son frère. Ils avaient joué aux cartes, parlé et là, bim, bam, boum. Non, aucune explosion, juste l’idée du siècle ; celle que, la prochaine fois, ils n’oublieraient pas le fouet d’Indiana. L’aventurier, pas le chien. Il aurait été étrange de voir un chien avec un fouet – quoique, ça devait se faire dans certaines cultures, mais c’était Jake le pro des cultures, pas lui. Lui, c’était Julian. Les pro des plantes, du dessin et du latin. « Arma cedant togae, » lâcha-t-il alors au milieu du couloir. Plusieurs paire d’yeux se retournèrent sur lui. Julian sourit aux demoiselles, esquissa un regard viril aux damoisaux et il continua son chemin. Jusqu’au mess. Sauf que vu l’heure, midi trente, son frère ne devait pas y être. Parce que son frère, il était réglé comme une montre et il ne se rendait au mess qu’une fois que sa barbe le grattait – hors, sa barbe ne pouvait pas encore le gratter car c’était celle du jeudi. Julian amortissa donc un demi-tour avant de rejoindre son jumeau. Dans un labo – mais il ne fallait plus lui demander lequel car l’aîné potentiel des Wilson zieutait maintenant la barbe de son frère. Ah, il était peut-être dans le faux. C’était peut-être la barbe du vendredi. Il n’était plus sûr de rien, maintenant. « Hey Jake. » Jake, le nom de son frère. Enfin, surnom, car en vérité, il s’appelait Jacob. Il s’approcha du jumeau, baissa la main avant de s’arrêter. Ah, oui ! Sa main ! « Dif tor heh smusma, frater ! » Nom de code – ou pas vraiment, Julian n’avait pas une aussi bonne mémoire. « Les Klingons n’ont pas de lunettes ! » Réponse à la question du mardi. « Ils n’ont pas d’oreilles pour faire tenir les branches. » Explication cohérente et logique. Bim, bam, boum, Julian avait encore frappé.

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(wilson twins)

Une idée, fugace, mais précieuse. Comme la réponse à la question de l’univers. Quelque chose à ne surtout pas oublier. C’était la raison pour laquelle Julian courrait à travers les couloirs de la cité, la main levée et l’autre se grattant la barbe du jeudi. Pour retenir jusqu’à être arrivé à destination. Il emprunta un téléporteur, resta perplexe devant la carte de la cité qui s’affichait alors devant lui. C’était bien beau, tiens, de mettre une carte, mais s’il n’y avait aucune indication supplémentaire, elle était un peu inutile. Il tordit la bouche, se pencha un peu en avant – il faudrait qu’il pense à piquer les lunettes de vue de son jumeau au passage. Toucha finalement l’écran de sa main levée – celle qui devait lui rappeler cette chose qu’il ne devait surtout pas oublier. C’était urgent. Comme la fois où ils s’étaient échoués sur cet îlot au milieu du zoo de Sydney, avec son frère. Ils avaient joué aux cartes, parlé et là, bim, bam, boum. Non, aucune explosion, juste l’idée du siècle ; celle que, la prochaine fois, ils n’oublieraient pas le fouet d’Indiana. L’aventurier, pas le chien. Il aurait été étrange de voir un chien avec un fouet – quoique, ça devait se faire dans certaines cultures, mais c’était Jake le pro des cultures, pas lui. Lui, c’était Julian. Les pro des plantes, du dessin et du latin. « Arma cedant togae, » lâcha-t-il alors au milieu du couloir. Plusieurs paire d’yeux se retournèrent sur lui. Julian sourit aux demoiselles, esquissa un regard viril aux damoisaux et il continua son chemin. Jusqu’au mess. Sauf que vu l’heure, midi trente, son frère ne devait pas y être. Parce que son frère, il était réglé comme une montre et il ne se rendait au mess qu’une fois que sa barbe le grattait – hors, sa barbe ne pouvait pas encore le gratter car c’était celle du jeudi. Julian amortissa donc un demi-tour avant de rejoindre son jumeau. Dans un labo – mais il ne fallait plus lui demander lequel car l’aîné potentiel des Wilson zieutait maintenant la barbe de son frère. Ah, il était peut-être dans le faux. C’était peut-être la barbe du vendredi. Il n’était plus sûr de rien, maintenant. « Hey Jake. » Jake, le nom de son frère. Enfin, surnom, car en vérité, il s’appelait Jacob. Il s’approcha du jumeau, baissa la main avant de s’arrêter. Ah, oui ! Sa main ! « Dif tor heh smusma, frater ! » Nom de code – ou pas vraiment, Julian n’avait pas une aussi bonne mémoire. « Les Klingons n’ont pas de lunettes ! » Réponse à la question du mardi. « Ils n’ont pas d’oreilles pour faire tenir les branches. » Explication cohérente et logique. Bim, bam, boum, Julian avait encore frappé.