[Admin]

Thav'ak regardait le plafond gris au dessus de sa tête. Mains derrière le crâne, pieds sur la table devant lui, il se balançait sur sa chaise. Depuis trois jours qu'ils étaient arrivés sur Terre, Kan et lui n'avait pas vu la lumière du soleil. Rien qu'à rester là, il avait l'impression d'être devenu blanc comme un cul. Il ne comprenait pas vraiment pourquoi ils n'avaient pas le droit de sortir du complexe militaire, pourtant le général leur avait dit qu'il fallait attendre encore un peu avant de pouvoir leur donner l'autorisation d'aller en extérieur. Ils n'étaient pas sur la cité et les terriens n'aimaient pas trop les étrangers. Le mercenaire s'était contenté de hausser les épaules. C'était pas de sa faute si les militaires ne disaient pas aux habitants de la Terre qu'il y avait d'autres planètes dans la galaxie qui étaient habitées et habitables.

Alors ça faisait trois jours qu'ils étaient là à s'ennuyer ferme en attendant qu'on leur dise qu'ils avaient le droit de prendre l'air. Sauf que depuis trois jours, ça cogitait sévère dans le crâne de notre homme. D'un coup il avait arrêté de se balancé, les quatre pieds de sa chaise se retrouvant à nouveau à toucher le sol. Regardant autour de lui, il arpenta la pièce où ont les avait mis… Il avait eu le temps d'observer pas mal de choses, notamment au niveau du comportement des hommes part ici. Le mercenaire s'était planté devant l'unique miroir de la pièce, commençant à prendre les postures des militaires. Dos droit, regard franc mais attentif, il se mit à faire le salue militaire. Repos. Garde à vous ! C'était plutôt pas mal. La seule chose qui n'allait pas, c'était sa tenue vestimentaire… Arf. Sitôt il allait voir dans une armoire. A leur disposition ce qui ressemblait à des uniformes. Thav n'avait pas daigner mettre le sien mais maintenant qu'il y pensait, il se disait que c'était peut-être pas une mauvaise chose. Il se décida alors à se changer, troquant les habits de mercenaire pour un t-shirt noir et un treillis kaki. A nouveau il se regardant dans le miroir, refaisant les même posture que tout à l'heure. Ça avait déjà beaucoup plu de gueule. Après ça, il se tourna vers son acolyte du jour.

_ Tu sais quoi ? Aujourd'hui on sort, lança-t-il à l'adresse de son comparse.

Il lui lança les affaires à la tête en lui disant d'enfiler là. Après il fallait encore sortir de la pièce tout en sachant qu'il y avait deux hommes pour la garder. Il faudrait prétexter qu'il voulait aller aux toilettes… ou mieux se laver. Thav avait déjà vu comment était les installations puisque le premier jour il avait fallut faire un tour à l'infirmerie et se décrasser un coup. Mais il fallait encore trouver comment ils allaient pouvoir fausser compagnie à leurs gardiens… Avec un peu de chance ils y auraient du monde dans le vestiaire des hommes. Tout commençait à ce dessiner dans l'esprit du mercenaire. Voilà qui s'annonçait comme une bonne petite aventure !

[◮ DOSSIERS :]

Thav'ak regardait le plafond gris au dessus de sa tête. Mains derrière le crâne, pieds sur la table devant lui, il se balançait sur sa chaise. Depuis trois jours qu'ils étaient arrivés sur Terre, Kan et lui n'avait pas vu la lumière du soleil. Rien qu'à rester là, il avait l'impression d'être devenu blanc comme un cul. Il ne comprenait pas vraiment pourquoi ils n'avaient pas le droit de sortir du complexe militaire, pourtant le général leur avait dit qu'il fallait attendre encore un peu avant de pouvoir leur donner l'autorisation d'aller en extérieur. Ils n'étaient pas sur la cité et les terriens n'aimaient pas trop les étrangers. Le mercenaire s'était contenté de hausser les épaules. C'était pas de sa faute si les militaires ne disaient pas aux habitants de la Terre qu'il y avait d'autres planètes dans la galaxie qui étaient habitées et habitables.

Alors ça faisait trois jours qu'ils étaient là à s'ennuyer ferme en attendant qu'on leur dise qu'ils avaient le droit de prendre l'air. Sauf que depuis trois jours, ça cogitait sévère dans le crâne de notre homme. D'un coup il avait arrêté de se balancé, les quatre pieds de sa chaise se retrouvant à nouveau à toucher le sol. Regardant autour de lui, il arpenta la pièce où ont les avait mis… Il avait eu le temps d'observer pas mal de choses, notamment au niveau du comportement des hommes part ici. Le mercenaire s'était planté devant l'unique miroir de la pièce, commençant à prendre les postures des militaires. Dos droit, regard franc mais attentif, il se mit à faire le salue militaire. Repos. Garde à vous ! C'était plutôt pas mal. La seule chose qui n'allait pas, c'était sa tenue vestimentaire… Arf. Sitôt il allait voir dans une armoire. A leur disposition ce qui ressemblait à des uniformes. Thav n'avait pas daigner mettre le sien mais maintenant qu'il y pensait, il se disait que c'était peut-être pas une mauvaise chose. Il se décida alors à se changer, troquant les habits de mercenaire pour un t-shirt noir et un treillis kaki. A nouveau il se regardant dans le miroir, refaisant les même posture que tout à l'heure. Ça avait déjà beaucoup plu de gueule. Après ça, il se tourna vers son acolyte du jour.

_ Tu sais quoi ? Aujourd'hui on sort, lança-t-il à l'adresse de son comparse.

Il lui lança les affaires à la tête en lui disant d'enfiler là. Après il fallait encore sortir de la pièce tout en sachant qu'il y avait deux hommes pour la garder. Il faudrait prétexter qu'il voulait aller aux toilettes… ou mieux se laver. Thav avait déjà vu comment était les installations puisque le premier jour il avait fallut faire un tour à l'infirmerie et se décrasser un coup. Mais il fallait encore trouver comment ils allaient pouvoir fausser compagnie à leurs gardiens… Avec un peu de chance ils y auraient du monde dans le vestiaire des hommes. Tout commençait à ce dessiner dans l'esprit du mercenaire. Voilà qui s'annonçait comme une bonne petite aventure !

[◮ Y.O. :]

Thav'ak regardait le plafond gris au dessus de sa tête. Mains derrière le crâne, pieds sur la table devant lui, il se balançait sur sa chaise. Depuis trois jours qu'ils étaient arrivés sur Terre, Kan et lui n'avait pas vu la lumière du soleil. Rien qu'à rester là, il avait l'impression d'être devenu blanc comme un cul. Il ne comprenait pas vraiment pourquoi ils n'avaient pas le droit de sortir du complexe militaire, pourtant le général leur avait dit qu'il fallait attendre encore un peu avant de pouvoir leur donner l'autorisation d'aller en extérieur. Ils n'étaient pas sur la cité et les terriens n'aimaient pas trop les étrangers. Le mercenaire s'était contenté de hausser les épaules. C'était pas de sa faute si les militaires ne disaient pas aux habitants de la Terre qu'il y avait d'autres planètes dans la galaxie qui étaient habitées et habitables.

Alors ça faisait trois jours qu'ils étaient là à s'ennuyer ferme en attendant qu'on leur dise qu'ils avaient le droit de prendre l'air. Sauf que depuis trois jours, ça cogitait sévère dans le crâne de notre homme. D'un coup il avait arrêté de se balancé, les quatre pieds de sa chaise se retrouvant à nouveau à toucher le sol. Regardant autour de lui, il arpenta la pièce où ont les avait mis… Il avait eu le temps d'observer pas mal de choses, notamment au niveau du comportement des hommes part ici. Le mercenaire s'était planté devant l'unique miroir de la pièce, commençant à prendre les postures des militaires. Dos droit, regard franc mais attentif, il se mit à faire le salue militaire. Repos. Garde à vous ! C'était plutôt pas mal. La seule chose qui n'allait pas, c'était sa tenue vestimentaire… Arf. Sitôt il allait voir dans une armoire. A leur disposition ce qui ressemblait à des uniformes. Thav n'avait pas daigner mettre le sien mais maintenant qu'il y pensait, il se disait que c'était peut-être pas une mauvaise chose. Il se décida alors à se changer, troquant les habits de mercenaire pour un t-shirt noir et un treillis kaki. A nouveau il se regardant dans le miroir, refaisant les même posture que tout à l'heure. Ça avait déjà beaucoup plu de gueule. Après ça, il se tourna vers son acolyte du jour.

_ Tu sais quoi ? Aujourd'hui on sort, lança-t-il à l'adresse de son comparse.

Il lui lança les affaires à la tête en lui disant d'enfiler là. Après il fallait encore sortir de la pièce tout en sachant qu'il y avait deux hommes pour la garder. Il faudrait prétexter qu'il voulait aller aux toilettes… ou mieux se laver. Thav avait déjà vu comment était les installations puisque le premier jour il avait fallut faire un tour à l'infirmerie et se décrasser un coup. Mais il fallait encore trouver comment ils allaient pouvoir fausser compagnie à leurs gardiens… Avec un peu de chance ils y auraient du monde dans le vestiaire des hommes. Tout commençait à ce dessiner dans l'esprit du mercenaire. Voilà qui s'annonçait comme une bonne petite aventure !

[◮ HERE :]

Thav'ak regardait le plafond gris au dessus de sa tête. Mains derrière le crâne, pieds sur la table devant lui, il se balançait sur sa chaise. Depuis trois jours qu'ils étaient arrivés sur Terre, Kan et lui n'avait pas vu la lumière du soleil. Rien qu'à rester là, il avait l'impression d'être devenu blanc comme un cul. Il ne comprenait pas vraiment pourquoi ils n'avaient pas le droit de sortir du complexe militaire, pourtant le général leur avait dit qu'il fallait attendre encore un peu avant de pouvoir leur donner l'autorisation d'aller en extérieur. Ils n'étaient pas sur la cité et les terriens n'aimaient pas trop les étrangers. Le mercenaire s'était contenté de hausser les épaules. C'était pas de sa faute si les militaires ne disaient pas aux habitants de la Terre qu'il y avait d'autres planètes dans la galaxie qui étaient habitées et habitables.

Alors ça faisait trois jours qu'ils étaient là à s'ennuyer ferme en attendant qu'on leur dise qu'ils avaient le droit de prendre l'air. Sauf que depuis trois jours, ça cogitait sévère dans le crâne de notre homme. D'un coup il avait arrêté de se balancé, les quatre pieds de sa chaise se retrouvant à nouveau à toucher le sol. Regardant autour de lui, il arpenta la pièce où ont les avait mis… Il avait eu le temps d'observer pas mal de choses, notamment au niveau du comportement des hommes part ici. Le mercenaire s'était planté devant l'unique miroir de la pièce, commençant à prendre les postures des militaires. Dos droit, regard franc mais attentif, il se mit à faire le salue militaire. Repos. Garde à vous ! C'était plutôt pas mal. La seule chose qui n'allait pas, c'était sa tenue vestimentaire… Arf. Sitôt il allait voir dans une armoire. A leur disposition ce qui ressemblait à des uniformes. Thav n'avait pas daigner mettre le sien mais maintenant qu'il y pensait, il se disait que c'était peut-être pas une mauvaise chose. Il se décida alors à se changer, troquant les habits de mercenaire pour un t-shirt noir et un treillis kaki. A nouveau il se regardant dans le miroir, refaisant les même posture que tout à l'heure. Ça avait déjà beaucoup plu de gueule. Après ça, il se tourna vers son acolyte du jour.

_ Tu sais quoi ? Aujourd'hui on sort, lança-t-il à l'adresse de son comparse.

Il lui lança les affaires à la tête en lui disant d'enfiler là. Après il fallait encore sortir de la pièce tout en sachant qu'il y avait deux hommes pour la garder. Il faudrait prétexter qu'il voulait aller aux toilettes… ou mieux se laver. Thav avait déjà vu comment était les installations puisque le premier jour il avait fallut faire un tour à l'infirmerie et se décrasser un coup. Mais il fallait encore trouver comment ils allaient pouvoir fausser compagnie à leurs gardiens… Avec un peu de chance ils y auraient du monde dans le vestiaire des hommes. Tout commençait à ce dessiner dans l'esprit du mercenaire. Voilà qui s'annonçait comme une bonne petite aventure !

[◮ JOB :]

Thav'ak regardait le plafond gris au dessus de sa tête. Mains derrière le crâne, pieds sur la table devant lui, il se balançait sur sa chaise. Depuis trois jours qu'ils étaient arrivés sur Terre, Kan et lui n'avait pas vu la lumière du soleil. Rien qu'à rester là, il avait l'impression d'être devenu blanc comme un cul. Il ne comprenait pas vraiment pourquoi ils n'avaient pas le droit de sortir du complexe militaire, pourtant le général leur avait dit qu'il fallait attendre encore un peu avant de pouvoir leur donner l'autorisation d'aller en extérieur. Ils n'étaient pas sur la cité et les terriens n'aimaient pas trop les étrangers. Le mercenaire s'était contenté de hausser les épaules. C'était pas de sa faute si les militaires ne disaient pas aux habitants de la Terre qu'il y avait d'autres planètes dans la galaxie qui étaient habitées et habitables.

Alors ça faisait trois jours qu'ils étaient là à s'ennuyer ferme en attendant qu'on leur dise qu'ils avaient le droit de prendre l'air. Sauf que depuis trois jours, ça cogitait sévère dans le crâne de notre homme. D'un coup il avait arrêté de se balancé, les quatre pieds de sa chaise se retrouvant à nouveau à toucher le sol. Regardant autour de lui, il arpenta la pièce où ont les avait mis… Il avait eu le temps d'observer pas mal de choses, notamment au niveau du comportement des hommes part ici. Le mercenaire s'était planté devant l'unique miroir de la pièce, commençant à prendre les postures des militaires. Dos droit, regard franc mais attentif, il se mit à faire le salue militaire. Repos. Garde à vous ! C'était plutôt pas mal. La seule chose qui n'allait pas, c'était sa tenue vestimentaire… Arf. Sitôt il allait voir dans une armoire. A leur disposition ce qui ressemblait à des uniformes. Thav n'avait pas daigner mettre le sien mais maintenant qu'il y pensait, il se disait que c'était peut-être pas une mauvaise chose. Il se décida alors à se changer, troquant les habits de mercenaire pour un t-shirt noir et un treillis kaki. A nouveau il se regardant dans le miroir, refaisant les même posture que tout à l'heure. Ça avait déjà beaucoup plu de gueule. Après ça, il se tourna vers son acolyte du jour.

_ Tu sais quoi ? Aujourd'hui on sort, lança-t-il à l'adresse de son comparse.

Il lui lança les affaires à la tête en lui disant d'enfiler là. Après il fallait encore sortir de la pièce tout en sachant qu'il y avait deux hommes pour la garder. Il faudrait prétexter qu'il voulait aller aux toilettes… ou mieux se laver. Thav avait déjà vu comment était les installations puisque le premier jour il avait fallut faire un tour à l'infirmerie et se décrasser un coup. Mais il fallait encore trouver comment ils allaient pouvoir fausser compagnie à leurs gardiens… Avec un peu de chance ils y auraient du monde dans le vestiaire des hommes. Tout commençait à ce dessiner dans l'esprit du mercenaire. Voilà qui s'annonçait comme une bonne petite aventure !

[◮ COMPTES :]

Thav'ak regardait le plafond gris au dessus de sa tête. Mains derrière le crâne, pieds sur la table devant lui, il se balançait sur sa chaise. Depuis trois jours qu'ils étaient arrivés sur Terre, Kan et lui n'avait pas vu la lumière du soleil. Rien qu'à rester là, il avait l'impression d'être devenu blanc comme un cul. Il ne comprenait pas vraiment pourquoi ils n'avaient pas le droit de sortir du complexe militaire, pourtant le général leur avait dit qu'il fallait attendre encore un peu avant de pouvoir leur donner l'autorisation d'aller en extérieur. Ils n'étaient pas sur la cité et les terriens n'aimaient pas trop les étrangers. Le mercenaire s'était contenté de hausser les épaules. C'était pas de sa faute si les militaires ne disaient pas aux habitants de la Terre qu'il y avait d'autres planètes dans la galaxie qui étaient habitées et habitables.

Alors ça faisait trois jours qu'ils étaient là à s'ennuyer ferme en attendant qu'on leur dise qu'ils avaient le droit de prendre l'air. Sauf que depuis trois jours, ça cogitait sévère dans le crâne de notre homme. D'un coup il avait arrêté de se balancé, les quatre pieds de sa chaise se retrouvant à nouveau à toucher le sol. Regardant autour de lui, il arpenta la pièce où ont les avait mis… Il avait eu le temps d'observer pas mal de choses, notamment au niveau du comportement des hommes part ici. Le mercenaire s'était planté devant l'unique miroir de la pièce, commençant à prendre les postures des militaires. Dos droit, regard franc mais attentif, il se mit à faire le salue militaire. Repos. Garde à vous ! C'était plutôt pas mal. La seule chose qui n'allait pas, c'était sa tenue vestimentaire… Arf. Sitôt il allait voir dans une armoire. A leur disposition ce qui ressemblait à des uniformes. Thav n'avait pas daigner mettre le sien mais maintenant qu'il y pensait, il se disait que c'était peut-être pas une mauvaise chose. Il se décida alors à se changer, troquant les habits de mercenaire pour un t-shirt noir et un treillis kaki. A nouveau il se regardant dans le miroir, refaisant les même posture que tout à l'heure. Ça avait déjà beaucoup plu de gueule. Après ça, il se tourna vers son acolyte du jour.

_ Tu sais quoi ? Aujourd'hui on sort, lança-t-il à l'adresse de son comparse.

Il lui lança les affaires à la tête en lui disant d'enfiler là. Après il fallait encore sortir de la pièce tout en sachant qu'il y avait deux hommes pour la garder. Il faudrait prétexter qu'il voulait aller aux toilettes… ou mieux se laver. Thav avait déjà vu comment était les installations puisque le premier jour il avait fallut faire un tour à l'infirmerie et se décrasser un coup. Mais il fallait encore trouver comment ils allaient pouvoir fausser compagnie à leurs gardiens… Avec un peu de chance ils y auraient du monde dans le vestiaire des hommes. Tout commençait à ce dessiner dans l'esprit du mercenaire. Voilà qui s'annonçait comme une bonne petite aventure !

Thav'ak regardait le plafond gris au dessus de sa tête. Mains derrière le crâne, pieds sur la table devant lui, il se balançait sur sa chaise. Depuis trois jours qu'ils étaient arrivés sur Terre, Kan et lui n'avait pas vu la lumière du soleil. Rien qu'à rester là, il avait l'impression d'être devenu blanc comme un cul. Il ne comprenait pas vraiment pourquoi ils n'avaient pas le droit de sortir du complexe militaire, pourtant le général leur avait dit qu'il fallait attendre encore un peu avant de pouvoir leur donner l'autorisation d'aller en extérieur. Ils n'étaient pas sur la cité et les terriens n'aimaient pas trop les étrangers. Le mercenaire s'était contenté de hausser les épaules. C'était pas de sa faute si les militaires ne disaient pas aux habitants de la Terre qu'il y avait d'autres planètes dans la galaxie qui étaient habitées et habitables.

Alors ça faisait trois jours qu'ils étaient là à s'ennuyer ferme en attendant qu'on leur dise qu'ils avaient le droit de prendre l'air. Sauf que depuis trois jours, ça cogitait sévère dans le crâne de notre homme. D'un coup il avait arrêté de se balancé, les quatre pieds de sa chaise se retrouvant à nouveau à toucher le sol. Regardant autour de lui, il arpenta la pièce où ont les avait mis… Il avait eu le temps d'observer pas mal de choses, notamment au niveau du comportement des hommes part ici. Le mercenaire s'était planté devant l'unique miroir de la pièce, commençant à prendre les postures des militaires. Dos droit, regard franc mais attentif, il se mit à faire le salue militaire. Repos. Garde à vous ! C'était plutôt pas mal. La seule chose qui n'allait pas, c'était sa tenue vestimentaire… Arf. Sitôt il allait voir dans une armoire. A leur disposition ce qui ressemblait à des uniformes. Thav n'avait pas daigner mettre le sien mais maintenant qu'il y pensait, il se disait que c'était peut-être pas une mauvaise chose. Il se décida alors à se changer, troquant les habits de mercenaire pour un t-shirt noir et un treillis kaki. A nouveau il se regardant dans le miroir, refaisant les même posture que tout à l'heure. Ça avait déjà beaucoup plu de gueule. Après ça, il se tourna vers son acolyte du jour.

_ Tu sais quoi ? Aujourd'hui on sort, lança-t-il à l'adresse de son comparse.

Il lui lança les affaires à la tête en lui disant d'enfiler là. Après il fallait encore sortir de la pièce tout en sachant qu'il y avait deux hommes pour la garder. Il faudrait prétexter qu'il voulait aller aux toilettes… ou mieux se laver. Thav avait déjà vu comment était les installations puisque le premier jour il avait fallut faire un tour à l'infirmerie et se décrasser un coup. Mais il fallait encore trouver comment ils allaient pouvoir fausser compagnie à leurs gardiens… Avec un peu de chance ils y auraient du monde dans le vestiaire des hommes. Tout commençait à ce dessiner dans l'esprit du mercenaire. Voilà qui s'annonçait comme une bonne petite aventure !

[Admin]

Fasciné, le jeune guérisseur, les yeux plissés et le nez collé contre le verre froid, observait les petits animaux faire des allers et retours dans le bac. On lui avait dit qu’il s’agissait d’un à quoi rieume et que ces petites bestioles rouges et jaunes étaient des poissons. Il n’avait pas entièrement suivi les explications, mais il avait compris qu’il était plutôt mal vu de les sortir de leur habitat naturel – il s’y était essayé le premier jour mais le poisson avait rapidement cessé de bouger et Thav’ak l’avait jeté à la poubelle avec nonchalance avant qu’un militaire ne s’aperçoive du crime. Le mercenaire était un maître, pour ça et Kanavu était bien soulagé d’être en sa compagnie sur cette planète lointaine où tout était si différent de son Archipel – et même d’Atlantis. Ils n’avaient pas vraiment eu l’occasion de visiter la planète, mais rien que dans les couloirs de cet étrange château, Kanavu avait noté la présence de beaucoup de femmes et il s’était sentit rougir à plus d’une reprise. Si son maître apprenait ça, il était bon pour le bagne et pour faire la poussière pendant des mois. Alors il passait ses journées le nez aplati contre l’à quoi rieume, posant parfois quelques questions existentielles à son comparse mercenaire. L’un des poissons remontait à la surface et Kanavu leva la main avant de la plonger dans l’eau froide. L’animal fuit aussitôt et le guérisseur esquissa une moue. « Mais, n’aie pas peur, je vais pas te manger. Tu n’es pas assez gros pour m’apporter l’énergie nécessaire pour quoique ce soit. » Mais il avait beau remué les doigts dans tous les sens, rien à faire, le poisson restait terré au fond de son bocal. Une idée traversait l’esprit de Kanavu ; comment était composée la constitution des poissons et serait-il capable d’exercer son don sur eux ? Il se leva, plongeant sa main toujours un peu plus loin dans l’eau mais son compagnon de route et de chambrée l’empêcha d’attraper le poisson. Ah ? Ah. Le mercenaire était vêtu comme tous les autres habitants de ce château et le style était bien différent du sien. Malgré lui, Kanavu ne put retenir un léger rire. « Ça fait tout drôle de te voir là-dedans. T’as pas l’air… On dirait pas toi. » Il attrapa tant bien que mal les vêtements jetés à sa figure, tirant son bras trempé de l’à quoi rieume pour se changer.

Il cogna contre la porte jusqu’à ce qu’un garde ouvre et il eut un grand sourire. « L’eau des poissons ne nous convient pas pour nous laver. » Et comme pour appuyer ses dires, il leur montra son bras encore mouillé, le secouant sous leurs nez. « Serait-il possible de nous rendre jusqu’au point d’eau ? » Les deux militaires échangèrent un regard et Kanavu en profita pour se tourner vers son camarade, le pouce levé. Tout roulait. La permission leur fut donnée et Kanavu déambula dans les couloirs, se tenant aussi droit que possible pour prendre l’allure des autres. Au final, ce château-là n’était pas bien différent de l’Archipel. Dans les douches, Kanavu se tourna vers Thav’ak, un doigt grattant sa tempe avec perplexité. « Et maintenant, on fait quoi ? » Parce qu’il avait bien compris que la décision n’avait pas été accordée par le Chef du château et il ne voyait pas vraiment en quoi se laver allait les aider à quitter l’enceinte de ce dernier.

[◮ DOSSIERS :]

Fasciné, le jeune guérisseur, les yeux plissés et le nez collé contre le verre froid, observait les petits animaux faire des allers et retours dans le bac. On lui avait dit qu’il s’agissait d’un à quoi rieume et que ces petites bestioles rouges et jaunes étaient des poissons. Il n’avait pas entièrement suivi les explications, mais il avait compris qu’il était plutôt mal vu de les sortir de leur habitat naturel – il s’y était essayé le premier jour mais le poisson avait rapidement cessé de bouger et Thav’ak l’avait jeté à la poubelle avec nonchalance avant qu’un militaire ne s’aperçoive du crime. Le mercenaire était un maître, pour ça et Kanavu était bien soulagé d’être en sa compagnie sur cette planète lointaine où tout était si différent de son Archipel – et même d’Atlantis. Ils n’avaient pas vraiment eu l’occasion de visiter la planète, mais rien que dans les couloirs de cet étrange château, Kanavu avait noté la présence de beaucoup de femmes et il s’était sentit rougir à plus d’une reprise. Si son maître apprenait ça, il était bon pour le bagne et pour faire la poussière pendant des mois. Alors il passait ses journées le nez aplati contre l’à quoi rieume, posant parfois quelques questions existentielles à son comparse mercenaire. L’un des poissons remontait à la surface et Kanavu leva la main avant de la plonger dans l’eau froide. L’animal fuit aussitôt et le guérisseur esquissa une moue. « Mais, n’aie pas peur, je vais pas te manger. Tu n’es pas assez gros pour m’apporter l’énergie nécessaire pour quoique ce soit. » Mais il avait beau remué les doigts dans tous les sens, rien à faire, le poisson restait terré au fond de son bocal. Une idée traversait l’esprit de Kanavu ; comment était composée la constitution des poissons et serait-il capable d’exercer son don sur eux ? Il se leva, plongeant sa main toujours un peu plus loin dans l’eau mais son compagnon de route et de chambrée l’empêcha d’attraper le poisson. Ah ? Ah. Le mercenaire était vêtu comme tous les autres habitants de ce château et le style était bien différent du sien. Malgré lui, Kanavu ne put retenir un léger rire. « Ça fait tout drôle de te voir là-dedans. T’as pas l’air… On dirait pas toi. » Il attrapa tant bien que mal les vêtements jetés à sa figure, tirant son bras trempé de l’à quoi rieume pour se changer.

Il cogna contre la porte jusqu’à ce qu’un garde ouvre et il eut un grand sourire. « L’eau des poissons ne nous convient pas pour nous laver. » Et comme pour appuyer ses dires, il leur montra son bras encore mouillé, le secouant sous leurs nez. « Serait-il possible de nous rendre jusqu’au point d’eau ? » Les deux militaires échangèrent un regard et Kanavu en profita pour se tourner vers son camarade, le pouce levé. Tout roulait. La permission leur fut donnée et Kanavu déambula dans les couloirs, se tenant aussi droit que possible pour prendre l’allure des autres. Au final, ce château-là n’était pas bien différent de l’Archipel. Dans les douches, Kanavu se tourna vers Thav’ak, un doigt grattant sa tempe avec perplexité. « Et maintenant, on fait quoi ? » Parce qu’il avait bien compris que la décision n’avait pas été accordée par le Chef du château et il ne voyait pas vraiment en quoi se laver allait les aider à quitter l’enceinte de ce dernier.

[◮ HERE :]

Fasciné, le jeune guérisseur, les yeux plissés et le nez collé contre le verre froid, observait les petits animaux faire des allers et retours dans le bac. On lui avait dit qu’il s’agissait d’un à quoi rieume et que ces petites bestioles rouges et jaunes étaient des poissons. Il n’avait pas entièrement suivi les explications, mais il avait compris qu’il était plutôt mal vu de les sortir de leur habitat naturel – il s’y était essayé le premier jour mais le poisson avait rapidement cessé de bouger et Thav’ak l’avait jeté à la poubelle avec nonchalance avant qu’un militaire ne s’aperçoive du crime. Le mercenaire était un maître, pour ça et Kanavu était bien soulagé d’être en sa compagnie sur cette planète lointaine où tout était si différent de son Archipel – et même d’Atlantis. Ils n’avaient pas vraiment eu l’occasion de visiter la planète, mais rien que dans les couloirs de cet étrange château, Kanavu avait noté la présence de beaucoup de femmes et il s’était sentit rougir à plus d’une reprise. Si son maître apprenait ça, il était bon pour le bagne et pour faire la poussière pendant des mois. Alors il passait ses journées le nez aplati contre l’à quoi rieume, posant parfois quelques questions existentielles à son comparse mercenaire. L’un des poissons remontait à la surface et Kanavu leva la main avant de la plonger dans l’eau froide. L’animal fuit aussitôt et le guérisseur esquissa une moue. « Mais, n’aie pas peur, je vais pas te manger. Tu n’es pas assez gros pour m’apporter l’énergie nécessaire pour quoique ce soit. » Mais il avait beau remué les doigts dans tous les sens, rien à faire, le poisson restait terré au fond de son bocal. Une idée traversait l’esprit de Kanavu ; comment était composée la constitution des poissons et serait-il capable d’exercer son don sur eux ? Il se leva, plongeant sa main toujours un peu plus loin dans l’eau mais son compagnon de route et de chambrée l’empêcha d’attraper le poisson. Ah ? Ah. Le mercenaire était vêtu comme tous les autres habitants de ce château et le style était bien différent du sien. Malgré lui, Kanavu ne put retenir un léger rire. « Ça fait tout drôle de te voir là-dedans. T’as pas l’air… On dirait pas toi. » Il attrapa tant bien que mal les vêtements jetés à sa figure, tirant son bras trempé de l’à quoi rieume pour se changer.

Il cogna contre la porte jusqu’à ce qu’un garde ouvre et il eut un grand sourire. « L’eau des poissons ne nous convient pas pour nous laver. » Et comme pour appuyer ses dires, il leur montra son bras encore mouillé, le secouant sous leurs nez. « Serait-il possible de nous rendre jusqu’au point d’eau ? » Les deux militaires échangèrent un regard et Kanavu en profita pour se tourner vers son camarade, le pouce levé. Tout roulait. La permission leur fut donnée et Kanavu déambula dans les couloirs, se tenant aussi droit que possible pour prendre l’allure des autres. Au final, ce château-là n’était pas bien différent de l’Archipel. Dans les douches, Kanavu se tourna vers Thav’ak, un doigt grattant sa tempe avec perplexité. « Et maintenant, on fait quoi ? » Parce qu’il avait bien compris que la décision n’avait pas été accordée par le Chef du château et il ne voyait pas vraiment en quoi se laver allait les aider à quitter l’enceinte de ce dernier.

[◮ JOB :]

Fasciné, le jeune guérisseur, les yeux plissés et le nez collé contre le verre froid, observait les petits animaux faire des allers et retours dans le bac. On lui avait dit qu’il s’agissait d’un à quoi rieume et que ces petites bestioles rouges et jaunes étaient des poissons. Il n’avait pas entièrement suivi les explications, mais il avait compris qu’il était plutôt mal vu de les sortir de leur habitat naturel – il s’y était essayé le premier jour mais le poisson avait rapidement cessé de bouger et Thav’ak l’avait jeté à la poubelle avec nonchalance avant qu’un militaire ne s’aperçoive du crime. Le mercenaire était un maître, pour ça et Kanavu était bien soulagé d’être en sa compagnie sur cette planète lointaine où tout était si différent de son Archipel – et même d’Atlantis. Ils n’avaient pas vraiment eu l’occasion de visiter la planète, mais rien que dans les couloirs de cet étrange château, Kanavu avait noté la présence de beaucoup de femmes et il s’était sentit rougir à plus d’une reprise. Si son maître apprenait ça, il était bon pour le bagne et pour faire la poussière pendant des mois. Alors il passait ses journées le nez aplati contre l’à quoi rieume, posant parfois quelques questions existentielles à son comparse mercenaire. L’un des poissons remontait à la surface et Kanavu leva la main avant de la plonger dans l’eau froide. L’animal fuit aussitôt et le guérisseur esquissa une moue. « Mais, n’aie pas peur, je vais pas te manger. Tu n’es pas assez gros pour m’apporter l’énergie nécessaire pour quoique ce soit. » Mais il avait beau remué les doigts dans tous les sens, rien à faire, le poisson restait terré au fond de son bocal. Une idée traversait l’esprit de Kanavu ; comment était composée la constitution des poissons et serait-il capable d’exercer son don sur eux ? Il se leva, plongeant sa main toujours un peu plus loin dans l’eau mais son compagnon de route et de chambrée l’empêcha d’attraper le poisson. Ah ? Ah. Le mercenaire était vêtu comme tous les autres habitants de ce château et le style était bien différent du sien. Malgré lui, Kanavu ne put retenir un léger rire. « Ça fait tout drôle de te voir là-dedans. T’as pas l’air… On dirait pas toi. » Il attrapa tant bien que mal les vêtements jetés à sa figure, tirant son bras trempé de l’à quoi rieume pour se changer.

Il cogna contre la porte jusqu’à ce qu’un garde ouvre et il eut un grand sourire. « L’eau des poissons ne nous convient pas pour nous laver. » Et comme pour appuyer ses dires, il leur montra son bras encore mouillé, le secouant sous leurs nez. « Serait-il possible de nous rendre jusqu’au point d’eau ? » Les deux militaires échangèrent un regard et Kanavu en profita pour se tourner vers son camarade, le pouce levé. Tout roulait. La permission leur fut donnée et Kanavu déambula dans les couloirs, se tenant aussi droit que possible pour prendre l’allure des autres. Au final, ce château-là n’était pas bien différent de l’Archipel. Dans les douches, Kanavu se tourna vers Thav’ak, un doigt grattant sa tempe avec perplexité. « Et maintenant, on fait quoi ? » Parce qu’il avait bien compris que la décision n’avait pas été accordée par le Chef du château et il ne voyait pas vraiment en quoi se laver allait les aider à quitter l’enceinte de ce dernier.

[◮ COMPTES :]

Fasciné, le jeune guérisseur, les yeux plissés et le nez collé contre le verre froid, observait les petits animaux faire des allers et retours dans le bac. On lui avait dit qu’il s’agissait d’un à quoi rieume et que ces petites bestioles rouges et jaunes étaient des poissons. Il n’avait pas entièrement suivi les explications, mais il avait compris qu’il était plutôt mal vu de les sortir de leur habitat naturel – il s’y était essayé le premier jour mais le poisson avait rapidement cessé de bouger et Thav’ak l’avait jeté à la poubelle avec nonchalance avant qu’un militaire ne s’aperçoive du crime. Le mercenaire était un maître, pour ça et Kanavu était bien soulagé d’être en sa compagnie sur cette planète lointaine où tout était si différent de son Archipel – et même d’Atlantis. Ils n’avaient pas vraiment eu l’occasion de visiter la planète, mais rien que dans les couloirs de cet étrange château, Kanavu avait noté la présence de beaucoup de femmes et il s’était sentit rougir à plus d’une reprise. Si son maître apprenait ça, il était bon pour le bagne et pour faire la poussière pendant des mois. Alors il passait ses journées le nez aplati contre l’à quoi rieume, posant parfois quelques questions existentielles à son comparse mercenaire. L’un des poissons remontait à la surface et Kanavu leva la main avant de la plonger dans l’eau froide. L’animal fuit aussitôt et le guérisseur esquissa une moue. « Mais, n’aie pas peur, je vais pas te manger. Tu n’es pas assez gros pour m’apporter l’énergie nécessaire pour quoique ce soit. » Mais il avait beau remué les doigts dans tous les sens, rien à faire, le poisson restait terré au fond de son bocal. Une idée traversait l’esprit de Kanavu ; comment était composée la constitution des poissons et serait-il capable d’exercer son don sur eux ? Il se leva, plongeant sa main toujours un peu plus loin dans l’eau mais son compagnon de route et de chambrée l’empêcha d’attraper le poisson. Ah ? Ah. Le mercenaire était vêtu comme tous les autres habitants de ce château et le style était bien différent du sien. Malgré lui, Kanavu ne put retenir un léger rire. « Ça fait tout drôle de te voir là-dedans. T’as pas l’air… On dirait pas toi. » Il attrapa tant bien que mal les vêtements jetés à sa figure, tirant son bras trempé de l’à quoi rieume pour se changer.

Il cogna contre la porte jusqu’à ce qu’un garde ouvre et il eut un grand sourire. « L’eau des poissons ne nous convient pas pour nous laver. » Et comme pour appuyer ses dires, il leur montra son bras encore mouillé, le secouant sous leurs nez. « Serait-il possible de nous rendre jusqu’au point d’eau ? » Les deux militaires échangèrent un regard et Kanavu en profita pour se tourner vers son camarade, le pouce levé. Tout roulait. La permission leur fut donnée et Kanavu déambula dans les couloirs, se tenant aussi droit que possible pour prendre l’allure des autres. Au final, ce château-là n’était pas bien différent de l’Archipel. Dans les douches, Kanavu se tourna vers Thav’ak, un doigt grattant sa tempe avec perplexité. « Et maintenant, on fait quoi ? » Parce qu’il avait bien compris que la décision n’avait pas été accordée par le Chef du château et il ne voyait pas vraiment en quoi se laver allait les aider à quitter l’enceinte de ce dernier.

Fasciné, le jeune guérisseur, les yeux plissés et le nez collé contre le verre froid, observait les petits animaux faire des allers et retours dans le bac. On lui avait dit qu’il s’agissait d’un à quoi rieume et que ces petites bestioles rouges et jaunes étaient des poissons. Il n’avait pas entièrement suivi les explications, mais il avait compris qu’il était plutôt mal vu de les sortir de leur habitat naturel – il s’y était essayé le premier jour mais le poisson avait rapidement cessé de bouger et Thav’ak l’avait jeté à la poubelle avec nonchalance avant qu’un militaire ne s’aperçoive du crime. Le mercenaire était un maître, pour ça et Kanavu était bien soulagé d’être en sa compagnie sur cette planète lointaine où tout était si différent de son Archipel – et même d’Atlantis. Ils n’avaient pas vraiment eu l’occasion de visiter la planète, mais rien que dans les couloirs de cet étrange château, Kanavu avait noté la présence de beaucoup de femmes et il s’était sentit rougir à plus d’une reprise. Si son maître apprenait ça, il était bon pour le bagne et pour faire la poussière pendant des mois. Alors il passait ses journées le nez aplati contre l’à quoi rieume, posant parfois quelques questions existentielles à son comparse mercenaire. L’un des poissons remontait à la surface et Kanavu leva la main avant de la plonger dans l’eau froide. L’animal fuit aussitôt et le guérisseur esquissa une moue. « Mais, n’aie pas peur, je vais pas te manger. Tu n’es pas assez gros pour m’apporter l’énergie nécessaire pour quoique ce soit. » Mais il avait beau remué les doigts dans tous les sens, rien à faire, le poisson restait terré au fond de son bocal. Une idée traversait l’esprit de Kanavu ; comment était composée la constitution des poissons et serait-il capable d’exercer son don sur eux ? Il se leva, plongeant sa main toujours un peu plus loin dans l’eau mais son compagnon de route et de chambrée l’empêcha d’attraper le poisson. Ah ? Ah. Le mercenaire était vêtu comme tous les autres habitants de ce château et le style était bien différent du sien. Malgré lui, Kanavu ne put retenir un léger rire. « Ça fait tout drôle de te voir là-dedans. T’as pas l’air… On dirait pas toi. » Il attrapa tant bien que mal les vêtements jetés à sa figure, tirant son bras trempé de l’à quoi rieume pour se changer.

Il cogna contre la porte jusqu’à ce qu’un garde ouvre et il eut un grand sourire. « L’eau des poissons ne nous convient pas pour nous laver. » Et comme pour appuyer ses dires, il leur montra son bras encore mouillé, le secouant sous leurs nez. « Serait-il possible de nous rendre jusqu’au point d’eau ? » Les deux militaires échangèrent un regard et Kanavu en profita pour se tourner vers son camarade, le pouce levé. Tout roulait. La permission leur fut donnée et Kanavu déambula dans les couloirs, se tenant aussi droit que possible pour prendre l’allure des autres. Au final, ce château-là n’était pas bien différent de l’Archipel. Dans les douches, Kanavu se tourna vers Thav’ak, un doigt grattant sa tempe avec perplexité. « Et maintenant, on fait quoi ? » Parce qu’il avait bien compris que la décision n’avait pas été accordée par le Chef du château et il ne voyait pas vraiment en quoi se laver allait les aider à quitter l’enceinte de ce dernier.

[Admin]

Thav'ak avait cogité milles fois son plan, cherchant la moindre faille de son côté et du côté de celui des terriens. Le complexe militaire était certes bien protéger pour quelqu'un d'extérieur, mais il était finalement assez facile de le quitter quand on notait le fonctionnement des militaires de la base. Le mercenaire avaient posé quelques questions à l'air stupide pour des terriens mais les réponses lui avaient été très utile pour mettre en place leur évasion de là. Restait maintenant à savoir s'il avait eu raison ou bien s'il s'était platement trompé et dans ce cas là… ils risquaient de ne plus pouvoir tenter quoi que ce soit la prochaine fois. Les deux natifs de la galaxie n'avaient le droit qu'à un coup.

Vêtus comme des terriens, les pégasiens allaient attaquer la première phase du plan à savoir faire faux bon à leurs gardes. Pour ça le mercenaire avait eu une idée qu'il était sur le point mettre en marche. Kanavu jouait pour l'heure parfaitement son rôle tandis que Thav gardait un air profondément neutre tout en acquiesçant aux dires de son camarade. Il fallait continuer à se faire plus bête qu'ils ne l'étaient et pour ça le jeune soigneur savait y faire. Kan avait un talent qu'il ne devait même pas soupçonner. Rapidement ils se retrouvèrent dans les douches du complexe militaires. Kan demanda alors ce qu'il fallait faire.
_ On va changer nos tenues et piquer celles d'autres soldats. Et si j'ai bien compris, il doit y avoir un autre point d'accès à cet endroit, dit-il en observant les vestiaires.  
Suite à quoi, cherchant des casiers mal fermé, Thav trouva de quoi faire en chipant de nouvelles tenues qui avait cette fois l'air d'appartenir à des soldats lambda. L'avantage avec les terriens, ils avaient à cœur que tous leurs guerriers se ressembles.
_ Fais comme moi, on va prendre ces affaires et passer par les douches, il doit y avoir aussi un vestiaire de l'autre côté je crois. Mais à mon avis, faut pas qu'on passe pas les douches en étant habillé. C'est comme sur Atlantis, on va prendre les serviettes là et on mettra les affaires enveloppées dans une autre. Normalement ça devrait passer. Et puis de toute façon pour eux on est bizarre, donc si on se comportement normalement, ça devrait passer.

Sitôt Thav s'empressa de se déshabiller pour mettre la suite de son plan à exécution. Soigneusement, il enveloppa la tenue des soldats dans une serviette blanche et s'enroula une autre serviette autour de sa taille, vérifiant que Kan faisait la même chose que lui. Les deux hommes allaient se jouer de la rigueur des militaires terriens pour les prendre à leur propre jeu de stratégie.
_ T'es prêt ? Demanda le mercenaire en regardant son camarade, prêt à l'aider au besoin car ils n'avaient pas beaucoup de temps devant eux avant que leurs gardes se rendent compte qu'ils leur avaient faussé compagnie.
Restait donc encore à quitter cet endroit, regarder le couloir, atteindre l’ascenseur, s'arrêter à un certain étage et finir le reste via un escalier dérobé sur lequel il avait déjà posé des questions stupides aux quels on avait bien entendu répondu.

[◮ DOSSIERS :]

Thav'ak avait cogité milles fois son plan, cherchant la moindre faille de son côté et du côté de celui des terriens. Le complexe militaire était certes bien protéger pour quelqu'un d'extérieur, mais il était finalement assez facile de le quitter quand on notait le fonctionnement des militaires de la base. Le mercenaire avaient posé quelques questions à l'air stupide pour des terriens mais les réponses lui avaient été très utile pour mettre en place leur évasion de là. Restait maintenant à savoir s'il avait eu raison ou bien s'il s'était platement trompé et dans ce cas là… ils risquaient de ne plus pouvoir tenter quoi que ce soit la prochaine fois. Les deux natifs de la galaxie n'avaient le droit qu'à un coup.

Vêtus comme des terriens, les pégasiens allaient attaquer la première phase du plan à savoir faire faux bon à leurs gardes. Pour ça le mercenaire avait eu une idée qu'il était sur le point mettre en marche. Kanavu jouait pour l'heure parfaitement son rôle tandis que Thav gardait un air profondément neutre tout en acquiesçant aux dires de son camarade. Il fallait continuer à se faire plus bête qu'ils ne l'étaient et pour ça le jeune soigneur savait y faire. Kan avait un talent qu'il ne devait même pas soupçonner. Rapidement ils se retrouvèrent dans les douches du complexe militaires. Kan demanda alors ce qu'il fallait faire.
_ On va changer nos tenues et piquer celles d'autres soldats. Et si j'ai bien compris, il doit y avoir un autre point d'accès à cet endroit, dit-il en observant les vestiaires.  
Suite à quoi, cherchant des casiers mal fermé, Thav trouva de quoi faire en chipant de nouvelles tenues qui avait cette fois l'air d'appartenir à des soldats lambda. L'avantage avec les terriens, ils avaient à cœur que tous leurs guerriers se ressembles.
_ Fais comme moi, on va prendre ces affaires et passer par les douches, il doit y avoir aussi un vestiaire de l'autre côté je crois. Mais à mon avis, faut pas qu'on passe pas les douches en étant habillé. C'est comme sur Atlantis, on va prendre les serviettes là et on mettra les affaires enveloppées dans une autre. Normalement ça devrait passer. Et puis de toute façon pour eux on est bizarre, donc si on se comportement normalement, ça devrait passer.

Sitôt Thav s'empressa de se déshabiller pour mettre la suite de son plan à exécution. Soigneusement, il enveloppa la tenue des soldats dans une serviette blanche et s'enroula une autre serviette autour de sa taille, vérifiant que Kan faisait la même chose que lui. Les deux hommes allaient se jouer de la rigueur des militaires terriens pour les prendre à leur propre jeu de stratégie.
_ T'es prêt ? Demanda le mercenaire en regardant son camarade, prêt à l'aider au besoin car ils n'avaient pas beaucoup de temps devant eux avant que leurs gardes se rendent compte qu'ils leur avaient faussé compagnie.
Restait donc encore à quitter cet endroit, regarder le couloir, atteindre l’ascenseur, s'arrêter à un certain étage et finir le reste via un escalier dérobé sur lequel il avait déjà posé des questions stupides aux quels on avait bien entendu répondu.

[◮ Y.O. :]

Thav'ak avait cogité milles fois son plan, cherchant la moindre faille de son côté et du côté de celui des terriens. Le complexe militaire était certes bien protéger pour quelqu'un d'extérieur, mais il était finalement assez facile de le quitter quand on notait le fonctionnement des militaires de la base. Le mercenaire avaient posé quelques questions à l'air stupide pour des terriens mais les réponses lui avaient été très utile pour mettre en place leur évasion de là. Restait maintenant à savoir s'il avait eu raison ou bien s'il s'était platement trompé et dans ce cas là… ils risquaient de ne plus pouvoir tenter quoi que ce soit la prochaine fois. Les deux natifs de la galaxie n'avaient le droit qu'à un coup.

Vêtus comme des terriens, les pégasiens allaient attaquer la première phase du plan à savoir faire faux bon à leurs gardes. Pour ça le mercenaire avait eu une idée qu'il était sur le point mettre en marche. Kanavu jouait pour l'heure parfaitement son rôle tandis que Thav gardait un air profondément neutre tout en acquiesçant aux dires de son camarade. Il fallait continuer à se faire plus bête qu'ils ne l'étaient et pour ça le jeune soigneur savait y faire. Kan avait un talent qu'il ne devait même pas soupçonner. Rapidement ils se retrouvèrent dans les douches du complexe militaires. Kan demanda alors ce qu'il fallait faire.
_ On va changer nos tenues et piquer celles d'autres soldats. Et si j'ai bien compris, il doit y avoir un autre point d'accès à cet endroit, dit-il en observant les vestiaires.  
Suite à quoi, cherchant des casiers mal fermé, Thav trouva de quoi faire en chipant de nouvelles tenues qui avait cette fois l'air d'appartenir à des soldats lambda. L'avantage avec les terriens, ils avaient à cœur que tous leurs guerriers se ressembles.
_ Fais comme moi, on va prendre ces affaires et passer par les douches, il doit y avoir aussi un vestiaire de l'autre côté je crois. Mais à mon avis, faut pas qu'on passe pas les douches en étant habillé. C'est comme sur Atlantis, on va prendre les serviettes là et on mettra les affaires enveloppées dans une autre. Normalement ça devrait passer. Et puis de toute façon pour eux on est bizarre, donc si on se comportement normalement, ça devrait passer.

Sitôt Thav s'empressa de se déshabiller pour mettre la suite de son plan à exécution. Soigneusement, il enveloppa la tenue des soldats dans une serviette blanche et s'enroula une autre serviette autour de sa taille, vérifiant que Kan faisait la même chose que lui. Les deux hommes allaient se jouer de la rigueur des militaires terriens pour les prendre à leur propre jeu de stratégie.
_ T'es prêt ? Demanda le mercenaire en regardant son camarade, prêt à l'aider au besoin car ils n'avaient pas beaucoup de temps devant eux avant que leurs gardes se rendent compte qu'ils leur avaient faussé compagnie.
Restait donc encore à quitter cet endroit, regarder le couloir, atteindre l’ascenseur, s'arrêter à un certain étage et finir le reste via un escalier dérobé sur lequel il avait déjà posé des questions stupides aux quels on avait bien entendu répondu.

[◮ HERE :]

Thav'ak avait cogité milles fois son plan, cherchant la moindre faille de son côté et du côté de celui des terriens. Le complexe militaire était certes bien protéger pour quelqu'un d'extérieur, mais il était finalement assez facile de le quitter quand on notait le fonctionnement des militaires de la base. Le mercenaire avaient posé quelques questions à l'air stupide pour des terriens mais les réponses lui avaient été très utile pour mettre en place leur évasion de là. Restait maintenant à savoir s'il avait eu raison ou bien s'il s'était platement trompé et dans ce cas là… ils risquaient de ne plus pouvoir tenter quoi que ce soit la prochaine fois. Les deux natifs de la galaxie n'avaient le droit qu'à un coup.

Vêtus comme des terriens, les pégasiens allaient attaquer la première phase du plan à savoir faire faux bon à leurs gardes. Pour ça le mercenaire avait eu une idée qu'il était sur le point mettre en marche. Kanavu jouait pour l'heure parfaitement son rôle tandis que Thav gardait un air profondément neutre tout en acquiesçant aux dires de son camarade. Il fallait continuer à se faire plus bête qu'ils ne l'étaient et pour ça le jeune soigneur savait y faire. Kan avait un talent qu'il ne devait même pas soupçonner. Rapidement ils se retrouvèrent dans les douches du complexe militaires. Kan demanda alors ce qu'il fallait faire.
_ On va changer nos tenues et piquer celles d'autres soldats. Et si j'ai bien compris, il doit y avoir un autre point d'accès à cet endroit, dit-il en observant les vestiaires.  
Suite à quoi, cherchant des casiers mal fermé, Thav trouva de quoi faire en chipant de nouvelles tenues qui avait cette fois l'air d'appartenir à des soldats lambda. L'avantage avec les terriens, ils avaient à cœur que tous leurs guerriers se ressembles.
_ Fais comme moi, on va prendre ces affaires et passer par les douches, il doit y avoir aussi un vestiaire de l'autre côté je crois. Mais à mon avis, faut pas qu'on passe pas les douches en étant habillé. C'est comme sur Atlantis, on va prendre les serviettes là et on mettra les affaires enveloppées dans une autre. Normalement ça devrait passer. Et puis de toute façon pour eux on est bizarre, donc si on se comportement normalement, ça devrait passer.

Sitôt Thav s'empressa de se déshabiller pour mettre la suite de son plan à exécution. Soigneusement, il enveloppa la tenue des soldats dans une serviette blanche et s'enroula une autre serviette autour de sa taille, vérifiant que Kan faisait la même chose que lui. Les deux hommes allaient se jouer de la rigueur des militaires terriens pour les prendre à leur propre jeu de stratégie.
_ T'es prêt ? Demanda le mercenaire en regardant son camarade, prêt à l'aider au besoin car ils n'avaient pas beaucoup de temps devant eux avant que leurs gardes se rendent compte qu'ils leur avaient faussé compagnie.
Restait donc encore à quitter cet endroit, regarder le couloir, atteindre l’ascenseur, s'arrêter à un certain étage et finir le reste via un escalier dérobé sur lequel il avait déjà posé des questions stupides aux quels on avait bien entendu répondu.

[◮ JOB :]

Thav'ak avait cogité milles fois son plan, cherchant la moindre faille de son côté et du côté de celui des terriens. Le complexe militaire était certes bien protéger pour quelqu'un d'extérieur, mais il était finalement assez facile de le quitter quand on notait le fonctionnement des militaires de la base. Le mercenaire avaient posé quelques questions à l'air stupide pour des terriens mais les réponses lui avaient été très utile pour mettre en place leur évasion de là. Restait maintenant à savoir s'il avait eu raison ou bien s'il s'était platement trompé et dans ce cas là… ils risquaient de ne plus pouvoir tenter quoi que ce soit la prochaine fois. Les deux natifs de la galaxie n'avaient le droit qu'à un coup.

Vêtus comme des terriens, les pégasiens allaient attaquer la première phase du plan à savoir faire faux bon à leurs gardes. Pour ça le mercenaire avait eu une idée qu'il était sur le point mettre en marche. Kanavu jouait pour l'heure parfaitement son rôle tandis que Thav gardait un air profondément neutre tout en acquiesçant aux dires de son camarade. Il fallait continuer à se faire plus bête qu'ils ne l'étaient et pour ça le jeune soigneur savait y faire. Kan avait un talent qu'il ne devait même pas soupçonner. Rapidement ils se retrouvèrent dans les douches du complexe militaires. Kan demanda alors ce qu'il fallait faire.
_ On va changer nos tenues et piquer celles d'autres soldats. Et si j'ai bien compris, il doit y avoir un autre point d'accès à cet endroit, dit-il en observant les vestiaires.  
Suite à quoi, cherchant des casiers mal fermé, Thav trouva de quoi faire en chipant de nouvelles tenues qui avait cette fois l'air d'appartenir à des soldats lambda. L'avantage avec les terriens, ils avaient à cœur que tous leurs guerriers se ressembles.
_ Fais comme moi, on va prendre ces affaires et passer par les douches, il doit y avoir aussi un vestiaire de l'autre côté je crois. Mais à mon avis, faut pas qu'on passe pas les douches en étant habillé. C'est comme sur Atlantis, on va prendre les serviettes là et on mettra les affaires enveloppées dans une autre. Normalement ça devrait passer. Et puis de toute façon pour eux on est bizarre, donc si on se comportement normalement, ça devrait passer.

Sitôt Thav s'empressa de se déshabiller pour mettre la suite de son plan à exécution. Soigneusement, il enveloppa la tenue des soldats dans une serviette blanche et s'enroula une autre serviette autour de sa taille, vérifiant que Kan faisait la même chose que lui. Les deux hommes allaient se jouer de la rigueur des militaires terriens pour les prendre à leur propre jeu de stratégie.
_ T'es prêt ? Demanda le mercenaire en regardant son camarade, prêt à l'aider au besoin car ils n'avaient pas beaucoup de temps devant eux avant que leurs gardes se rendent compte qu'ils leur avaient faussé compagnie.
Restait donc encore à quitter cet endroit, regarder le couloir, atteindre l’ascenseur, s'arrêter à un certain étage et finir le reste via un escalier dérobé sur lequel il avait déjà posé des questions stupides aux quels on avait bien entendu répondu.

[◮ COMPTES :]

Thav'ak avait cogité milles fois son plan, cherchant la moindre faille de son côté et du côté de celui des terriens. Le complexe militaire était certes bien protéger pour quelqu'un d'extérieur, mais il était finalement assez facile de le quitter quand on notait le fonctionnement des militaires de la base. Le mercenaire avaient posé quelques questions à l'air stupide pour des terriens mais les réponses lui avaient été très utile pour mettre en place leur évasion de là. Restait maintenant à savoir s'il avait eu raison ou bien s'il s'était platement trompé et dans ce cas là… ils risquaient de ne plus pouvoir tenter quoi que ce soit la prochaine fois. Les deux natifs de la galaxie n'avaient le droit qu'à un coup.

Vêtus comme des terriens, les pégasiens allaient attaquer la première phase du plan à savoir faire faux bon à leurs gardes. Pour ça le mercenaire avait eu une idée qu'il était sur le point mettre en marche. Kanavu jouait pour l'heure parfaitement son rôle tandis que Thav gardait un air profondément neutre tout en acquiesçant aux dires de son camarade. Il fallait continuer à se faire plus bête qu'ils ne l'étaient et pour ça le jeune soigneur savait y faire. Kan avait un talent qu'il ne devait même pas soupçonner. Rapidement ils se retrouvèrent dans les douches du complexe militaires. Kan demanda alors ce qu'il fallait faire.
_ On va changer nos tenues et piquer celles d'autres soldats. Et si j'ai bien compris, il doit y avoir un autre point d'accès à cet endroit, dit-il en observant les vestiaires.  
Suite à quoi, cherchant des casiers mal fermé, Thav trouva de quoi faire en chipant de nouvelles tenues qui avait cette fois l'air d'appartenir à des soldats lambda. L'avantage avec les terriens, ils avaient à cœur que tous leurs guerriers se ressembles.
_ Fais comme moi, on va prendre ces affaires et passer par les douches, il doit y avoir aussi un vestiaire de l'autre côté je crois. Mais à mon avis, faut pas qu'on passe pas les douches en étant habillé. C'est comme sur Atlantis, on va prendre les serviettes là et on mettra les affaires enveloppées dans une autre. Normalement ça devrait passer. Et puis de toute façon pour eux on est bizarre, donc si on se comportement normalement, ça devrait passer.

Sitôt Thav s'empressa de se déshabiller pour mettre la suite de son plan à exécution. Soigneusement, il enveloppa la tenue des soldats dans une serviette blanche et s'enroula une autre serviette autour de sa taille, vérifiant que Kan faisait la même chose que lui. Les deux hommes allaient se jouer de la rigueur des militaires terriens pour les prendre à leur propre jeu de stratégie.
_ T'es prêt ? Demanda le mercenaire en regardant son camarade, prêt à l'aider au besoin car ils n'avaient pas beaucoup de temps devant eux avant que leurs gardes se rendent compte qu'ils leur avaient faussé compagnie.
Restait donc encore à quitter cet endroit, regarder le couloir, atteindre l’ascenseur, s'arrêter à un certain étage et finir le reste via un escalier dérobé sur lequel il avait déjà posé des questions stupides aux quels on avait bien entendu répondu.

Thav'ak avait cogité milles fois son plan, cherchant la moindre faille de son côté et du côté de celui des terriens. Le complexe militaire était certes bien protéger pour quelqu'un d'extérieur, mais il était finalement assez facile de le quitter quand on notait le fonctionnement des militaires de la base. Le mercenaire avaient posé quelques questions à l'air stupide pour des terriens mais les réponses lui avaient été très utile pour mettre en place leur évasion de là. Restait maintenant à savoir s'il avait eu raison ou bien s'il s'était platement trompé et dans ce cas là… ils risquaient de ne plus pouvoir tenter quoi que ce soit la prochaine fois. Les deux natifs de la galaxie n'avaient le droit qu'à un coup.

Vêtus comme des terriens, les pégasiens allaient attaquer la première phase du plan à savoir faire faux bon à leurs gardes. Pour ça le mercenaire avait eu une idée qu'il était sur le point mettre en marche. Kanavu jouait pour l'heure parfaitement son rôle tandis que Thav gardait un air profondément neutre tout en acquiesçant aux dires de son camarade. Il fallait continuer à se faire plus bête qu'ils ne l'étaient et pour ça le jeune soigneur savait y faire. Kan avait un talent qu'il ne devait même pas soupçonner. Rapidement ils se retrouvèrent dans les douches du complexe militaires. Kan demanda alors ce qu'il fallait faire.
_ On va changer nos tenues et piquer celles d'autres soldats. Et si j'ai bien compris, il doit y avoir un autre point d'accès à cet endroit, dit-il en observant les vestiaires.  
Suite à quoi, cherchant des casiers mal fermé, Thav trouva de quoi faire en chipant de nouvelles tenues qui avait cette fois l'air d'appartenir à des soldats lambda. L'avantage avec les terriens, ils avaient à cœur que tous leurs guerriers se ressembles.
_ Fais comme moi, on va prendre ces affaires et passer par les douches, il doit y avoir aussi un vestiaire de l'autre côté je crois. Mais à mon avis, faut pas qu'on passe pas les douches en étant habillé. C'est comme sur Atlantis, on va prendre les serviettes là et on mettra les affaires enveloppées dans une autre. Normalement ça devrait passer. Et puis de toute façon pour eux on est bizarre, donc si on se comportement normalement, ça devrait passer.

Sitôt Thav s'empressa de se déshabiller pour mettre la suite de son plan à exécution. Soigneusement, il enveloppa la tenue des soldats dans une serviette blanche et s'enroula une autre serviette autour de sa taille, vérifiant que Kan faisait la même chose que lui. Les deux hommes allaient se jouer de la rigueur des militaires terriens pour les prendre à leur propre jeu de stratégie.
_ T'es prêt ? Demanda le mercenaire en regardant son camarade, prêt à l'aider au besoin car ils n'avaient pas beaucoup de temps devant eux avant que leurs gardes se rendent compte qu'ils leur avaient faussé compagnie.
Restait donc encore à quitter cet endroit, regarder le couloir, atteindre l’ascenseur, s'arrêter à un certain étage et finir le reste via un escalier dérobé sur lequel il avait déjà posé des questions stupides aux quels on avait bien entendu répondu.