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(de'el & evan)

Evan passa la main devant le boîtier et, aussitôt, la porte coulissa. Du coin de l’œil, il surveillait De’el, s’attendant presque à voir ce dernier tressaillir. Mais voilà un moment, maintenant, que le jeune pégasien avait cessé de réagir de la sorte – normal après deux ans passés sur la Cité. Le militaire invita le jeune homme à passer le premier avant de le suivre sur la baie, le télescope sous le bras. « Ce soir, nous allons observer les étoiles ! » Evan sourit, largement, avant de pointer le ciel constellé du doigt et de déposer l’objet sur son trépied. Il avait également prévu deux toiles et de la peinture car il sentait que l’inspiration ne serait pas bien loin – comme souvent lorsqu’il prenait le temps d’admirer la vue offerte par la cité des Anciens. Depuis qu’il avait découvert, et sauvé, De’el, le Lieutenant-Colonel s’était fait un devoir d’être celui qui lui apprendrait un maximum de coutumes terriennes et de choses de la vie. Il devenait un enseignant auprès de celui qui était, petit à petit, devenu son protégé – et les atlantes ne manquaient pas une occasion pour le souligner et le charrier. Et s’il avait pensé qu’après deux ans, il aurait survolé tous les sujets, c’était lors d’une conversation sur la météo à venir avec le Docteur Tourgueniev que l’idée lui était venue. Limpide et presque évidente. Certes, il se doutait qu’il aurait du mal à lui expliquer les constellations puisqu’il n’y connaissait strictement rien en constellations pégasiennes, mais il pourrait au moins tenter de lui faire imaginer à quoi pouvait bien ressembler le ciel de la Voie Lactée, vu de la Terre. « Ceci est un télescope. On s’en sert pour observer les étoiles et les autres phénomènes qui ont lieu dans l’espace. Enfin, pour certains, il faut un télescope plus gros. » Il fronça les sourcils avant de déplier l’objet. « Tu vois ça ? C’est une lentille. Elle fonctionne comme la loupe. Tu mets ton œil vers l’extrémité la plus fine et grâce à un effet d’optique et de grossissement, le ciel paraît tout proche. » Joignant le geste à la parole, il se baissa, ferma un œil pour coller l’autre à l’extrémité. Le ciel de Pégase lui apparut aussitôt, sombre et scintillant à la fois. Déjà, les premières idées d’une toile lui venaient à l’esprit. Il s’éloigna d’un pas. « Tiens, tu veux essayer ? » Après tout, ils étaient là pour ça.

[◮ DOSSIERS :]

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(de'el & evan)

Evan passa la main devant le boîtier et, aussitôt, la porte coulissa. Du coin de l’œil, il surveillait De’el, s’attendant presque à voir ce dernier tressaillir. Mais voilà un moment, maintenant, que le jeune pégasien avait cessé de réagir de la sorte – normal après deux ans passés sur la Cité. Le militaire invita le jeune homme à passer le premier avant de le suivre sur la baie, le télescope sous le bras. « Ce soir, nous allons observer les étoiles ! » Evan sourit, largement, avant de pointer le ciel constellé du doigt et de déposer l’objet sur son trépied. Il avait également prévu deux toiles et de la peinture car il sentait que l’inspiration ne serait pas bien loin – comme souvent lorsqu’il prenait le temps d’admirer la vue offerte par la cité des Anciens. Depuis qu’il avait découvert, et sauvé, De’el, le Lieutenant-Colonel s’était fait un devoir d’être celui qui lui apprendrait un maximum de coutumes terriennes et de choses de la vie. Il devenait un enseignant auprès de celui qui était, petit à petit, devenu son protégé – et les atlantes ne manquaient pas une occasion pour le souligner et le charrier. Et s’il avait pensé qu’après deux ans, il aurait survolé tous les sujets, c’était lors d’une conversation sur la météo à venir avec le Docteur Tourgueniev que l’idée lui était venue. Limpide et presque évidente. Certes, il se doutait qu’il aurait du mal à lui expliquer les constellations puisqu’il n’y connaissait strictement rien en constellations pégasiennes, mais il pourrait au moins tenter de lui faire imaginer à quoi pouvait bien ressembler le ciel de la Voie Lactée, vu de la Terre. « Ceci est un télescope. On s’en sert pour observer les étoiles et les autres phénomènes qui ont lieu dans l’espace. Enfin, pour certains, il faut un télescope plus gros. » Il fronça les sourcils avant de déplier l’objet. « Tu vois ça ? C’est une lentille. Elle fonctionne comme la loupe. Tu mets ton œil vers l’extrémité la plus fine et grâce à un effet d’optique et de grossissement, le ciel paraît tout proche. » Joignant le geste à la parole, il se baissa, ferma un œil pour coller l’autre à l’extrémité. Le ciel de Pégase lui apparut aussitôt, sombre et scintillant à la fois. Déjà, les premières idées d’une toile lui venaient à l’esprit. Il s’éloigna d’un pas. « Tiens, tu veux essayer ? » Après tout, ils étaient là pour ça.

[◮ Y.O. :]

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(de'el & evan)

Evan passa la main devant le boîtier et, aussitôt, la porte coulissa. Du coin de l’œil, il surveillait De’el, s’attendant presque à voir ce dernier tressaillir. Mais voilà un moment, maintenant, que le jeune pégasien avait cessé de réagir de la sorte – normal après deux ans passés sur la Cité. Le militaire invita le jeune homme à passer le premier avant de le suivre sur la baie, le télescope sous le bras. « Ce soir, nous allons observer les étoiles ! » Evan sourit, largement, avant de pointer le ciel constellé du doigt et de déposer l’objet sur son trépied. Il avait également prévu deux toiles et de la peinture car il sentait que l’inspiration ne serait pas bien loin – comme souvent lorsqu’il prenait le temps d’admirer la vue offerte par la cité des Anciens. Depuis qu’il avait découvert, et sauvé, De’el, le Lieutenant-Colonel s’était fait un devoir d’être celui qui lui apprendrait un maximum de coutumes terriennes et de choses de la vie. Il devenait un enseignant auprès de celui qui était, petit à petit, devenu son protégé – et les atlantes ne manquaient pas une occasion pour le souligner et le charrier. Et s’il avait pensé qu’après deux ans, il aurait survolé tous les sujets, c’était lors d’une conversation sur la météo à venir avec le Docteur Tourgueniev que l’idée lui était venue. Limpide et presque évidente. Certes, il se doutait qu’il aurait du mal à lui expliquer les constellations puisqu’il n’y connaissait strictement rien en constellations pégasiennes, mais il pourrait au moins tenter de lui faire imaginer à quoi pouvait bien ressembler le ciel de la Voie Lactée, vu de la Terre. « Ceci est un télescope. On s’en sert pour observer les étoiles et les autres phénomènes qui ont lieu dans l’espace. Enfin, pour certains, il faut un télescope plus gros. » Il fronça les sourcils avant de déplier l’objet. « Tu vois ça ? C’est une lentille. Elle fonctionne comme la loupe. Tu mets ton œil vers l’extrémité la plus fine et grâce à un effet d’optique et de grossissement, le ciel paraît tout proche. » Joignant le geste à la parole, il se baissa, ferma un œil pour coller l’autre à l’extrémité. Le ciel de Pégase lui apparut aussitôt, sombre et scintillant à la fois. Déjà, les premières idées d’une toile lui venaient à l’esprit. Il s’éloigna d’un pas. « Tiens, tu veux essayer ? » Après tout, ils étaient là pour ça.

[◮ HERE :]

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(de'el & evan)

Evan passa la main devant le boîtier et, aussitôt, la porte coulissa. Du coin de l’œil, il surveillait De’el, s’attendant presque à voir ce dernier tressaillir. Mais voilà un moment, maintenant, que le jeune pégasien avait cessé de réagir de la sorte – normal après deux ans passés sur la Cité. Le militaire invita le jeune homme à passer le premier avant de le suivre sur la baie, le télescope sous le bras. « Ce soir, nous allons observer les étoiles ! » Evan sourit, largement, avant de pointer le ciel constellé du doigt et de déposer l’objet sur son trépied. Il avait également prévu deux toiles et de la peinture car il sentait que l’inspiration ne serait pas bien loin – comme souvent lorsqu’il prenait le temps d’admirer la vue offerte par la cité des Anciens. Depuis qu’il avait découvert, et sauvé, De’el, le Lieutenant-Colonel s’était fait un devoir d’être celui qui lui apprendrait un maximum de coutumes terriennes et de choses de la vie. Il devenait un enseignant auprès de celui qui était, petit à petit, devenu son protégé – et les atlantes ne manquaient pas une occasion pour le souligner et le charrier. Et s’il avait pensé qu’après deux ans, il aurait survolé tous les sujets, c’était lors d’une conversation sur la météo à venir avec le Docteur Tourgueniev que l’idée lui était venue. Limpide et presque évidente. Certes, il se doutait qu’il aurait du mal à lui expliquer les constellations puisqu’il n’y connaissait strictement rien en constellations pégasiennes, mais il pourrait au moins tenter de lui faire imaginer à quoi pouvait bien ressembler le ciel de la Voie Lactée, vu de la Terre. « Ceci est un télescope. On s’en sert pour observer les étoiles et les autres phénomènes qui ont lieu dans l’espace. Enfin, pour certains, il faut un télescope plus gros. » Il fronça les sourcils avant de déplier l’objet. « Tu vois ça ? C’est une lentille. Elle fonctionne comme la loupe. Tu mets ton œil vers l’extrémité la plus fine et grâce à un effet d’optique et de grossissement, le ciel paraît tout proche. » Joignant le geste à la parole, il se baissa, ferma un œil pour coller l’autre à l’extrémité. Le ciel de Pégase lui apparut aussitôt, sombre et scintillant à la fois. Déjà, les premières idées d’une toile lui venaient à l’esprit. Il s’éloigna d’un pas. « Tiens, tu veux essayer ? » Après tout, ils étaient là pour ça.

[◮ JOB :]

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(de'el & evan)

Evan passa la main devant le boîtier et, aussitôt, la porte coulissa. Du coin de l’œil, il surveillait De’el, s’attendant presque à voir ce dernier tressaillir. Mais voilà un moment, maintenant, que le jeune pégasien avait cessé de réagir de la sorte – normal après deux ans passés sur la Cité. Le militaire invita le jeune homme à passer le premier avant de le suivre sur la baie, le télescope sous le bras. « Ce soir, nous allons observer les étoiles ! » Evan sourit, largement, avant de pointer le ciel constellé du doigt et de déposer l’objet sur son trépied. Il avait également prévu deux toiles et de la peinture car il sentait que l’inspiration ne serait pas bien loin – comme souvent lorsqu’il prenait le temps d’admirer la vue offerte par la cité des Anciens. Depuis qu’il avait découvert, et sauvé, De’el, le Lieutenant-Colonel s’était fait un devoir d’être celui qui lui apprendrait un maximum de coutumes terriennes et de choses de la vie. Il devenait un enseignant auprès de celui qui était, petit à petit, devenu son protégé – et les atlantes ne manquaient pas une occasion pour le souligner et le charrier. Et s’il avait pensé qu’après deux ans, il aurait survolé tous les sujets, c’était lors d’une conversation sur la météo à venir avec le Docteur Tourgueniev que l’idée lui était venue. Limpide et presque évidente. Certes, il se doutait qu’il aurait du mal à lui expliquer les constellations puisqu’il n’y connaissait strictement rien en constellations pégasiennes, mais il pourrait au moins tenter de lui faire imaginer à quoi pouvait bien ressembler le ciel de la Voie Lactée, vu de la Terre. « Ceci est un télescope. On s’en sert pour observer les étoiles et les autres phénomènes qui ont lieu dans l’espace. Enfin, pour certains, il faut un télescope plus gros. » Il fronça les sourcils avant de déplier l’objet. « Tu vois ça ? C’est une lentille. Elle fonctionne comme la loupe. Tu mets ton œil vers l’extrémité la plus fine et grâce à un effet d’optique et de grossissement, le ciel paraît tout proche. » Joignant le geste à la parole, il se baissa, ferma un œil pour coller l’autre à l’extrémité. Le ciel de Pégase lui apparut aussitôt, sombre et scintillant à la fois. Déjà, les premières idées d’une toile lui venaient à l’esprit. Il s’éloigna d’un pas. « Tiens, tu veux essayer ? » Après tout, ils étaient là pour ça.

[◮ COMPTES :]

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Evan passa la main devant le boîtier et, aussitôt, la porte coulissa. Du coin de l’œil, il surveillait De’el, s’attendant presque à voir ce dernier tressaillir. Mais voilà un moment, maintenant, que le jeune pégasien avait cessé de réagir de la sorte – normal après deux ans passés sur la Cité. Le militaire invita le jeune homme à passer le premier avant de le suivre sur la baie, le télescope sous le bras. « Ce soir, nous allons observer les étoiles ! » Evan sourit, largement, avant de pointer le ciel constellé du doigt et de déposer l’objet sur son trépied. Il avait également prévu deux toiles et de la peinture car il sentait que l’inspiration ne serait pas bien loin – comme souvent lorsqu’il prenait le temps d’admirer la vue offerte par la cité des Anciens. Depuis qu’il avait découvert, et sauvé, De’el, le Lieutenant-Colonel s’était fait un devoir d’être celui qui lui apprendrait un maximum de coutumes terriennes et de choses de la vie. Il devenait un enseignant auprès de celui qui était, petit à petit, devenu son protégé – et les atlantes ne manquaient pas une occasion pour le souligner et le charrier. Et s’il avait pensé qu’après deux ans, il aurait survolé tous les sujets, c’était lors d’une conversation sur la météo à venir avec le Docteur Tourgueniev que l’idée lui était venue. Limpide et presque évidente. Certes, il se doutait qu’il aurait du mal à lui expliquer les constellations puisqu’il n’y connaissait strictement rien en constellations pégasiennes, mais il pourrait au moins tenter de lui faire imaginer à quoi pouvait bien ressembler le ciel de la Voie Lactée, vu de la Terre. « Ceci est un télescope. On s’en sert pour observer les étoiles et les autres phénomènes qui ont lieu dans l’espace. Enfin, pour certains, il faut un télescope plus gros. » Il fronça les sourcils avant de déplier l’objet. « Tu vois ça ? C’est une lentille. Elle fonctionne comme la loupe. Tu mets ton œil vers l’extrémité la plus fine et grâce à un effet d’optique et de grossissement, le ciel paraît tout proche. » Joignant le geste à la parole, il se baissa, ferma un œil pour coller l’autre à l’extrémité. Le ciel de Pégase lui apparut aussitôt, sombre et scintillant à la fois. Déjà, les premières idées d’une toile lui venaient à l’esprit. Il s’éloigna d’un pas. « Tiens, tu veux essayer ? » Après tout, ils étaient là pour ça.

✩ ✩ ✩ ✩ ✩
(de'el & evan)

Evan passa la main devant le boîtier et, aussitôt, la porte coulissa. Du coin de l’œil, il surveillait De’el, s’attendant presque à voir ce dernier tressaillir. Mais voilà un moment, maintenant, que le jeune pégasien avait cessé de réagir de la sorte – normal après deux ans passés sur la Cité. Le militaire invita le jeune homme à passer le premier avant de le suivre sur la baie, le télescope sous le bras. « Ce soir, nous allons observer les étoiles ! » Evan sourit, largement, avant de pointer le ciel constellé du doigt et de déposer l’objet sur son trépied. Il avait également prévu deux toiles et de la peinture car il sentait que l’inspiration ne serait pas bien loin – comme souvent lorsqu’il prenait le temps d’admirer la vue offerte par la cité des Anciens. Depuis qu’il avait découvert, et sauvé, De’el, le Lieutenant-Colonel s’était fait un devoir d’être celui qui lui apprendrait un maximum de coutumes terriennes et de choses de la vie. Il devenait un enseignant auprès de celui qui était, petit à petit, devenu son protégé – et les atlantes ne manquaient pas une occasion pour le souligner et le charrier. Et s’il avait pensé qu’après deux ans, il aurait survolé tous les sujets, c’était lors d’une conversation sur la météo à venir avec le Docteur Tourgueniev que l’idée lui était venue. Limpide et presque évidente. Certes, il se doutait qu’il aurait du mal à lui expliquer les constellations puisqu’il n’y connaissait strictement rien en constellations pégasiennes, mais il pourrait au moins tenter de lui faire imaginer à quoi pouvait bien ressembler le ciel de la Voie Lactée, vu de la Terre. « Ceci est un télescope. On s’en sert pour observer les étoiles et les autres phénomènes qui ont lieu dans l’espace. Enfin, pour certains, il faut un télescope plus gros. » Il fronça les sourcils avant de déplier l’objet. « Tu vois ça ? C’est une lentille. Elle fonctionne comme la loupe. Tu mets ton œil vers l’extrémité la plus fine et grâce à un effet d’optique et de grossissement, le ciel paraît tout proche. » Joignant le geste à la parole, il se baissa, ferma un œil pour coller l’autre à l’extrémité. Le ciel de Pégase lui apparut aussitôt, sombre et scintillant à la fois. Déjà, les premières idées d’une toile lui venaient à l’esprit. Il s’éloigna d’un pas. « Tiens, tu veux essayer ? » Après tout, ils étaient là pour ça.

[Joueur]

Deux ans c'était écoulé sur Atlantis depuis l'arriver de De'el. Le jeune sauvageons avait apprit à connaitre la grande majorité des gens d'ici. Il avait apprit à être plus sage, ou du moins plus calme. Comme sauvent en fin de semaine il n'avait rien à faire. Il passait le plus clair de son temps percher sur une des rembarre de la cité à regarder l'horizon. Cependant, ce soir là, Evan Lornes était venue le voir pour lui proposer une sortie et un truc amusant. De'el, toujours aussi curieux d'en savoir plus sur son ami et sur ses hobbys, l'avait donc suivit. Ils arrivèrent sur la baie choisit par l'homme et De'el le regarda. Il avait juste enfiler une grande veste en cuir par dessus un t-shirt noir militaire, et un pantalon gris foncé que la Cité lui avait donner comme étant son uniforme. Il avait depuis peu changé de coupe de cheveux et ce que les jumeaux l'avaient aider à faire avec lui allait plutôt bien, mais il restait avec une bouille de bébé et on avait presque du mal à le prendre au sérieux. Le jeune homme écouta alors ce que Evan lui disait. Il regarda le ciel. Chez lui les gens n'avaient pas besoin d'appareil pour regarder les étoiles. Il s'approcha une fois la place libre et se pencha. Il ferma les deux yeux car il n'avait pas tout comprit sur comment on faisait. Puis il ouvrit l'oeil qui donnait directement sur le ciel, et non celui qui était dans la lentille du télescope :

"Je vois rien du tout Evan. Les étoiles sont toujours pareil !"

De'el pouvait être un vrai enfant quand il s'y mettait. Mais il restait attachant et c'était une des raisons pour lesquelles lui et Evan était aussi proche. Malgré son côté combattant, De'el était encore un enfant, un être frêle et timide. Evan tentait de l'aider à devenir un homme. Un vrai. Il lui avait apprit beaucoup de choses mais certaines restaient encore tabou, car De'el ne se posait pas encore de questions à se sujet. Il redressa sa tête et fit :

"Ta machine est peut être cassé."

Non, elle n'était pas cassé, il ne savait pas s'en servir voilà tout. Mais Evan allait arranger ça. Il le savait, De'el était quelqu'un qu'il fallait prendre avec du calme et de la patience, car au fond c'était un enfant de 5 ans. Psychologiquement il n'était pas "finit" comme on dit sur Terre. Et ce fut certaines dut à ses années d'esclavages. D'ailleurs De'el se demandait si un jour il rêverait cette femme qui avait tenter de l'aider. Il se souvenait de son nom Harikee.

[◮ DOSSIERS :]

Deux ans c'était écoulé sur Atlantis depuis l'arriver de De'el. Le jeune sauvageons avait apprit à connaitre la grande majorité des gens d'ici. Il avait apprit à être plus sage, ou du moins plus calme. Comme sauvent en fin de semaine il n'avait rien à faire. Il passait le plus clair de son temps percher sur une des rembarre de la cité à regarder l'horizon. Cependant, ce soir là, Evan Lornes était venue le voir pour lui proposer une sortie et un truc amusant. De'el, toujours aussi curieux d'en savoir plus sur son ami et sur ses hobbys, l'avait donc suivit. Ils arrivèrent sur la baie choisit par l'homme et De'el le regarda. Il avait juste enfiler une grande veste en cuir par dessus un t-shirt noir militaire, et un pantalon gris foncé que la Cité lui avait donner comme étant son uniforme. Il avait depuis peu changé de coupe de cheveux et ce que les jumeaux l'avaient aider à faire avec lui allait plutôt bien, mais il restait avec une bouille de bébé et on avait presque du mal à le prendre au sérieux. Le jeune homme écouta alors ce que Evan lui disait. Il regarda le ciel. Chez lui les gens n'avaient pas besoin d'appareil pour regarder les étoiles. Il s'approcha une fois la place libre et se pencha. Il ferma les deux yeux car il n'avait pas tout comprit sur comment on faisait. Puis il ouvrit l'oeil qui donnait directement sur le ciel, et non celui qui était dans la lentille du télescope :

"Je vois rien du tout Evan. Les étoiles sont toujours pareil !"

De'el pouvait être un vrai enfant quand il s'y mettait. Mais il restait attachant et c'était une des raisons pour lesquelles lui et Evan était aussi proche. Malgré son côté combattant, De'el était encore un enfant, un être frêle et timide. Evan tentait de l'aider à devenir un homme. Un vrai. Il lui avait apprit beaucoup de choses mais certaines restaient encore tabou, car De'el ne se posait pas encore de questions à se sujet. Il redressa sa tête et fit :

"Ta machine est peut être cassé."

Non, elle n'était pas cassé, il ne savait pas s'en servir voilà tout. Mais Evan allait arranger ça. Il le savait, De'el était quelqu'un qu'il fallait prendre avec du calme et de la patience, car au fond c'était un enfant de 5 ans. Psychologiquement il n'était pas "finit" comme on dit sur Terre. Et ce fut certaines dut à ses années d'esclavages. D'ailleurs De'el se demandait si un jour il rêverait cette femme qui avait tenter de l'aider. Il se souvenait de son nom Harikee.

[◮ HERE :]

Deux ans c'était écoulé sur Atlantis depuis l'arriver de De'el. Le jeune sauvageons avait apprit à connaitre la grande majorité des gens d'ici. Il avait apprit à être plus sage, ou du moins plus calme. Comme sauvent en fin de semaine il n'avait rien à faire. Il passait le plus clair de son temps percher sur une des rembarre de la cité à regarder l'horizon. Cependant, ce soir là, Evan Lornes était venue le voir pour lui proposer une sortie et un truc amusant. De'el, toujours aussi curieux d'en savoir plus sur son ami et sur ses hobbys, l'avait donc suivit. Ils arrivèrent sur la baie choisit par l'homme et De'el le regarda. Il avait juste enfiler une grande veste en cuir par dessus un t-shirt noir militaire, et un pantalon gris foncé que la Cité lui avait donner comme étant son uniforme. Il avait depuis peu changé de coupe de cheveux et ce que les jumeaux l'avaient aider à faire avec lui allait plutôt bien, mais il restait avec une bouille de bébé et on avait presque du mal à le prendre au sérieux. Le jeune homme écouta alors ce que Evan lui disait. Il regarda le ciel. Chez lui les gens n'avaient pas besoin d'appareil pour regarder les étoiles. Il s'approcha une fois la place libre et se pencha. Il ferma les deux yeux car il n'avait pas tout comprit sur comment on faisait. Puis il ouvrit l'oeil qui donnait directement sur le ciel, et non celui qui était dans la lentille du télescope :

"Je vois rien du tout Evan. Les étoiles sont toujours pareil !"

De'el pouvait être un vrai enfant quand il s'y mettait. Mais il restait attachant et c'était une des raisons pour lesquelles lui et Evan était aussi proche. Malgré son côté combattant, De'el était encore un enfant, un être frêle et timide. Evan tentait de l'aider à devenir un homme. Un vrai. Il lui avait apprit beaucoup de choses mais certaines restaient encore tabou, car De'el ne se posait pas encore de questions à se sujet. Il redressa sa tête et fit :

"Ta machine est peut être cassé."

Non, elle n'était pas cassé, il ne savait pas s'en servir voilà tout. Mais Evan allait arranger ça. Il le savait, De'el était quelqu'un qu'il fallait prendre avec du calme et de la patience, car au fond c'était un enfant de 5 ans. Psychologiquement il n'était pas "finit" comme on dit sur Terre. Et ce fut certaines dut à ses années d'esclavages. D'ailleurs De'el se demandait si un jour il rêverait cette femme qui avait tenter de l'aider. Il se souvenait de son nom Harikee.

[◮ JOB :]

Deux ans c'était écoulé sur Atlantis depuis l'arriver de De'el. Le jeune sauvageons avait apprit à connaitre la grande majorité des gens d'ici. Il avait apprit à être plus sage, ou du moins plus calme. Comme sauvent en fin de semaine il n'avait rien à faire. Il passait le plus clair de son temps percher sur une des rembarre de la cité à regarder l'horizon. Cependant, ce soir là, Evan Lornes était venue le voir pour lui proposer une sortie et un truc amusant. De'el, toujours aussi curieux d'en savoir plus sur son ami et sur ses hobbys, l'avait donc suivit. Ils arrivèrent sur la baie choisit par l'homme et De'el le regarda. Il avait juste enfiler une grande veste en cuir par dessus un t-shirt noir militaire, et un pantalon gris foncé que la Cité lui avait donner comme étant son uniforme. Il avait depuis peu changé de coupe de cheveux et ce que les jumeaux l'avaient aider à faire avec lui allait plutôt bien, mais il restait avec une bouille de bébé et on avait presque du mal à le prendre au sérieux. Le jeune homme écouta alors ce que Evan lui disait. Il regarda le ciel. Chez lui les gens n'avaient pas besoin d'appareil pour regarder les étoiles. Il s'approcha une fois la place libre et se pencha. Il ferma les deux yeux car il n'avait pas tout comprit sur comment on faisait. Puis il ouvrit l'oeil qui donnait directement sur le ciel, et non celui qui était dans la lentille du télescope :

"Je vois rien du tout Evan. Les étoiles sont toujours pareil !"

De'el pouvait être un vrai enfant quand il s'y mettait. Mais il restait attachant et c'était une des raisons pour lesquelles lui et Evan était aussi proche. Malgré son côté combattant, De'el était encore un enfant, un être frêle et timide. Evan tentait de l'aider à devenir un homme. Un vrai. Il lui avait apprit beaucoup de choses mais certaines restaient encore tabou, car De'el ne se posait pas encore de questions à se sujet. Il redressa sa tête et fit :

"Ta machine est peut être cassé."

Non, elle n'était pas cassé, il ne savait pas s'en servir voilà tout. Mais Evan allait arranger ça. Il le savait, De'el était quelqu'un qu'il fallait prendre avec du calme et de la patience, car au fond c'était un enfant de 5 ans. Psychologiquement il n'était pas "finit" comme on dit sur Terre. Et ce fut certaines dut à ses années d'esclavages. D'ailleurs De'el se demandait si un jour il rêverait cette femme qui avait tenter de l'aider. Il se souvenait de son nom Harikee.

[◮ COMPTES :]

Deux ans c'était écoulé sur Atlantis depuis l'arriver de De'el. Le jeune sauvageons avait apprit à connaitre la grande majorité des gens d'ici. Il avait apprit à être plus sage, ou du moins plus calme. Comme sauvent en fin de semaine il n'avait rien à faire. Il passait le plus clair de son temps percher sur une des rembarre de la cité à regarder l'horizon. Cependant, ce soir là, Evan Lornes était venue le voir pour lui proposer une sortie et un truc amusant. De'el, toujours aussi curieux d'en savoir plus sur son ami et sur ses hobbys, l'avait donc suivit. Ils arrivèrent sur la baie choisit par l'homme et De'el le regarda. Il avait juste enfiler une grande veste en cuir par dessus un t-shirt noir militaire, et un pantalon gris foncé que la Cité lui avait donner comme étant son uniforme. Il avait depuis peu changé de coupe de cheveux et ce que les jumeaux l'avaient aider à faire avec lui allait plutôt bien, mais il restait avec une bouille de bébé et on avait presque du mal à le prendre au sérieux. Le jeune homme écouta alors ce que Evan lui disait. Il regarda le ciel. Chez lui les gens n'avaient pas besoin d'appareil pour regarder les étoiles. Il s'approcha une fois la place libre et se pencha. Il ferma les deux yeux car il n'avait pas tout comprit sur comment on faisait. Puis il ouvrit l'oeil qui donnait directement sur le ciel, et non celui qui était dans la lentille du télescope :

"Je vois rien du tout Evan. Les étoiles sont toujours pareil !"

De'el pouvait être un vrai enfant quand il s'y mettait. Mais il restait attachant et c'était une des raisons pour lesquelles lui et Evan était aussi proche. Malgré son côté combattant, De'el était encore un enfant, un être frêle et timide. Evan tentait de l'aider à devenir un homme. Un vrai. Il lui avait apprit beaucoup de choses mais certaines restaient encore tabou, car De'el ne se posait pas encore de questions à se sujet. Il redressa sa tête et fit :

"Ta machine est peut être cassé."

Non, elle n'était pas cassé, il ne savait pas s'en servir voilà tout. Mais Evan allait arranger ça. Il le savait, De'el était quelqu'un qu'il fallait prendre avec du calme et de la patience, car au fond c'était un enfant de 5 ans. Psychologiquement il n'était pas "finit" comme on dit sur Terre. Et ce fut certaines dut à ses années d'esclavages. D'ailleurs De'el se demandait si un jour il rêverait cette femme qui avait tenter de l'aider. Il se souvenait de son nom Harikee.

Deux ans c'était écoulé sur Atlantis depuis l'arriver de De'el. Le jeune sauvageons avait apprit à connaitre la grande majorité des gens d'ici. Il avait apprit à être plus sage, ou du moins plus calme. Comme sauvent en fin de semaine il n'avait rien à faire. Il passait le plus clair de son temps percher sur une des rembarre de la cité à regarder l'horizon. Cependant, ce soir là, Evan Lornes était venue le voir pour lui proposer une sortie et un truc amusant. De'el, toujours aussi curieux d'en savoir plus sur son ami et sur ses hobbys, l'avait donc suivit. Ils arrivèrent sur la baie choisit par l'homme et De'el le regarda. Il avait juste enfiler une grande veste en cuir par dessus un t-shirt noir militaire, et un pantalon gris foncé que la Cité lui avait donner comme étant son uniforme. Il avait depuis peu changé de coupe de cheveux et ce que les jumeaux l'avaient aider à faire avec lui allait plutôt bien, mais il restait avec une bouille de bébé et on avait presque du mal à le prendre au sérieux. Le jeune homme écouta alors ce que Evan lui disait. Il regarda le ciel. Chez lui les gens n'avaient pas besoin d'appareil pour regarder les étoiles. Il s'approcha une fois la place libre et se pencha. Il ferma les deux yeux car il n'avait pas tout comprit sur comment on faisait. Puis il ouvrit l'oeil qui donnait directement sur le ciel, et non celui qui était dans la lentille du télescope :

"Je vois rien du tout Evan. Les étoiles sont toujours pareil !"

De'el pouvait être un vrai enfant quand il s'y mettait. Mais il restait attachant et c'était une des raisons pour lesquelles lui et Evan était aussi proche. Malgré son côté combattant, De'el était encore un enfant, un être frêle et timide. Evan tentait de l'aider à devenir un homme. Un vrai. Il lui avait apprit beaucoup de choses mais certaines restaient encore tabou, car De'el ne se posait pas encore de questions à se sujet. Il redressa sa tête et fit :

"Ta machine est peut être cassé."

Non, elle n'était pas cassé, il ne savait pas s'en servir voilà tout. Mais Evan allait arranger ça. Il le savait, De'el était quelqu'un qu'il fallait prendre avec du calme et de la patience, car au fond c'était un enfant de 5 ans. Psychologiquement il n'était pas "finit" comme on dit sur Terre. Et ce fut certaines dut à ses années d'esclavages. D'ailleurs De'el se demandait si un jour il rêverait cette femme qui avait tenter de l'aider. Il se souvenait de son nom Harikee.

[Admin]

Comme il laissait sa place au jeune pégasien, Evan leva les yeux, les poings sur les hanches. De cette vue, le ciel étoilé ressemblait à celui qu’il distinguait depuis l’enfance. Des points, minuscules et lumineux, qui fascinaient et faisaient s’interroger le militaire. Il sourit aux ténèbres, conscient que même s’il était devenu adulte et s’il avait appris certaines choses au sujet des étoiles, il gardait cette âme d’enfant quand il était question d’étoiles. De’el l’apostropha et Evan baissa les yeux. La situation était caucase ; le pégasien avait un œil, fermé, collé à la lunette, et l’autre grand ouvert. S’il ne se permit pas de rire de l’erreur de son protégé, il ne perdit rien de son sourire avant de finalement s’approcher. « Tu as fermé le mauvais œil, De’el. » Et, posant une main rassurante sur l’épaule du jeune homme, il fit pivoter le télescope de façon à ce que la lunette se trouve en face de l’œil ouvert. « Ne bouge pas… Voilà. Ça devrait être mieux, maintenant. » Il eut un clin d’œil pour le jeune homme, avant de se dire qu’il ne le verrait peut-être pas. « Chez moi, j’avais l’habitude de monter sur le toit de mon immeuble avec ma sœur le week-end pour pouvoir regarder les étoiles. J’essayais de retenir le nom des constellations comme la Grande Ourse et de toujours repérer l’étoile du berger. Là d’où je viens, l’étoile du berger permet de toujours retrouver son chemin quand on est perdu. » De nouveau, il leva les yeux et inspira. « Je te les aurai bien présenté mais j’ai bien peur que tu en saches plus sur les constellations de Pégase que moi… » Il eut un pauvre sourire d’excuse avant de s’éloigner d’un pas pour installer une toile sur un trépied et de fouiller dans le sac qu’il avait pensé à prendre. Il en sortit un livre de documentation pour enfants sur l’espace, les étoiles et les planètes. « Je te promets qu’un jour, je t’emmènerai sur mon monde pour te montrer nos étoiles en vrai, mais en attendant… Tu peux les connaître grâce à ça. » Il le tendit au jeune homme. Il l’avait emprunté à sa sœur, vestige de l’enfance de ses neveux et nièces. Ceux-ci ayant bien grandit, ils n’en avaient plus utilité et sa petite sœur n’avait rechigné à se débarrasser un peu de ces vieux livres – pensant, en revanche, que cela indiquait qu’Evan pensait devenir père. Elle avait passé les jours suivant à l’appeler dans l’espoir de lui tirer les vers du nez avant que le militaire, amusé et agacé à la fois, ne lui rappelle qu’il n’avait personne dans sa vie et que pour avoir un enfant, il était beaucoup plus sage d’avoir une femme – ou du moins, une autre personne. Elle avait fini par capituler mais il savait que tous les livres pour enfant qu’il lui empruntait étaient autant de questions qu’elle s’efforçait de taire par ses lèvres pincées. « Tiens, tu vois ça, c’est la Grande Ourse. » Il avait ouvert le livre au hasard et désignait maintenant le schéma des étoiles, mis en valeur sur le livre par des traits reliant les points entre eux.

[◮ DOSSIERS :]

Comme il laissait sa place au jeune pégasien, Evan leva les yeux, les poings sur les hanches. De cette vue, le ciel étoilé ressemblait à celui qu’il distinguait depuis l’enfance. Des points, minuscules et lumineux, qui fascinaient et faisaient s’interroger le militaire. Il sourit aux ténèbres, conscient que même s’il était devenu adulte et s’il avait appris certaines choses au sujet des étoiles, il gardait cette âme d’enfant quand il était question d’étoiles. De’el l’apostropha et Evan baissa les yeux. La situation était caucase ; le pégasien avait un œil, fermé, collé à la lunette, et l’autre grand ouvert. S’il ne se permit pas de rire de l’erreur de son protégé, il ne perdit rien de son sourire avant de finalement s’approcher. « Tu as fermé le mauvais œil, De’el. » Et, posant une main rassurante sur l’épaule du jeune homme, il fit pivoter le télescope de façon à ce que la lunette se trouve en face de l’œil ouvert. « Ne bouge pas… Voilà. Ça devrait être mieux, maintenant. » Il eut un clin d’œil pour le jeune homme, avant de se dire qu’il ne le verrait peut-être pas. « Chez moi, j’avais l’habitude de monter sur le toit de mon immeuble avec ma sœur le week-end pour pouvoir regarder les étoiles. J’essayais de retenir le nom des constellations comme la Grande Ourse et de toujours repérer l’étoile du berger. Là d’où je viens, l’étoile du berger permet de toujours retrouver son chemin quand on est perdu. » De nouveau, il leva les yeux et inspira. « Je te les aurai bien présenté mais j’ai bien peur que tu en saches plus sur les constellations de Pégase que moi… » Il eut un pauvre sourire d’excuse avant de s’éloigner d’un pas pour installer une toile sur un trépied et de fouiller dans le sac qu’il avait pensé à prendre. Il en sortit un livre de documentation pour enfants sur l’espace, les étoiles et les planètes. « Je te promets qu’un jour, je t’emmènerai sur mon monde pour te montrer nos étoiles en vrai, mais en attendant… Tu peux les connaître grâce à ça. » Il le tendit au jeune homme. Il l’avait emprunté à sa sœur, vestige de l’enfance de ses neveux et nièces. Ceux-ci ayant bien grandit, ils n’en avaient plus utilité et sa petite sœur n’avait rechigné à se débarrasser un peu de ces vieux livres – pensant, en revanche, que cela indiquait qu’Evan pensait devenir père. Elle avait passé les jours suivant à l’appeler dans l’espoir de lui tirer les vers du nez avant que le militaire, amusé et agacé à la fois, ne lui rappelle qu’il n’avait personne dans sa vie et que pour avoir un enfant, il était beaucoup plus sage d’avoir une femme – ou du moins, une autre personne. Elle avait fini par capituler mais il savait que tous les livres pour enfant qu’il lui empruntait étaient autant de questions qu’elle s’efforçait de taire par ses lèvres pincées. « Tiens, tu vois ça, c’est la Grande Ourse. » Il avait ouvert le livre au hasard et désignait maintenant le schéma des étoiles, mis en valeur sur le livre par des traits reliant les points entre eux.

[◮ Y.O. :]

Comme il laissait sa place au jeune pégasien, Evan leva les yeux, les poings sur les hanches. De cette vue, le ciel étoilé ressemblait à celui qu’il distinguait depuis l’enfance. Des points, minuscules et lumineux, qui fascinaient et faisaient s’interroger le militaire. Il sourit aux ténèbres, conscient que même s’il était devenu adulte et s’il avait appris certaines choses au sujet des étoiles, il gardait cette âme d’enfant quand il était question d’étoiles. De’el l’apostropha et Evan baissa les yeux. La situation était caucase ; le pégasien avait un œil, fermé, collé à la lunette, et l’autre grand ouvert. S’il ne se permit pas de rire de l’erreur de son protégé, il ne perdit rien de son sourire avant de finalement s’approcher. « Tu as fermé le mauvais œil, De’el. » Et, posant une main rassurante sur l’épaule du jeune homme, il fit pivoter le télescope de façon à ce que la lunette se trouve en face de l’œil ouvert. « Ne bouge pas… Voilà. Ça devrait être mieux, maintenant. » Il eut un clin d’œil pour le jeune homme, avant de se dire qu’il ne le verrait peut-être pas. « Chez moi, j’avais l’habitude de monter sur le toit de mon immeuble avec ma sœur le week-end pour pouvoir regarder les étoiles. J’essayais de retenir le nom des constellations comme la Grande Ourse et de toujours repérer l’étoile du berger. Là d’où je viens, l’étoile du berger permet de toujours retrouver son chemin quand on est perdu. » De nouveau, il leva les yeux et inspira. « Je te les aurai bien présenté mais j’ai bien peur que tu en saches plus sur les constellations de Pégase que moi… » Il eut un pauvre sourire d’excuse avant de s’éloigner d’un pas pour installer une toile sur un trépied et de fouiller dans le sac qu’il avait pensé à prendre. Il en sortit un livre de documentation pour enfants sur l’espace, les étoiles et les planètes. « Je te promets qu’un jour, je t’emmènerai sur mon monde pour te montrer nos étoiles en vrai, mais en attendant… Tu peux les connaître grâce à ça. » Il le tendit au jeune homme. Il l’avait emprunté à sa sœur, vestige de l’enfance de ses neveux et nièces. Ceux-ci ayant bien grandit, ils n’en avaient plus utilité et sa petite sœur n’avait rechigné à se débarrasser un peu de ces vieux livres – pensant, en revanche, que cela indiquait qu’Evan pensait devenir père. Elle avait passé les jours suivant à l’appeler dans l’espoir de lui tirer les vers du nez avant que le militaire, amusé et agacé à la fois, ne lui rappelle qu’il n’avait personne dans sa vie et que pour avoir un enfant, il était beaucoup plus sage d’avoir une femme – ou du moins, une autre personne. Elle avait fini par capituler mais il savait que tous les livres pour enfant qu’il lui empruntait étaient autant de questions qu’elle s’efforçait de taire par ses lèvres pincées. « Tiens, tu vois ça, c’est la Grande Ourse. » Il avait ouvert le livre au hasard et désignait maintenant le schéma des étoiles, mis en valeur sur le livre par des traits reliant les points entre eux.

[◮ HERE :]

Comme il laissait sa place au jeune pégasien, Evan leva les yeux, les poings sur les hanches. De cette vue, le ciel étoilé ressemblait à celui qu’il distinguait depuis l’enfance. Des points, minuscules et lumineux, qui fascinaient et faisaient s’interroger le militaire. Il sourit aux ténèbres, conscient que même s’il était devenu adulte et s’il avait appris certaines choses au sujet des étoiles, il gardait cette âme d’enfant quand il était question d’étoiles. De’el l’apostropha et Evan baissa les yeux. La situation était caucase ; le pégasien avait un œil, fermé, collé à la lunette, et l’autre grand ouvert. S’il ne se permit pas de rire de l’erreur de son protégé, il ne perdit rien de son sourire avant de finalement s’approcher. « Tu as fermé le mauvais œil, De’el. » Et, posant une main rassurante sur l’épaule du jeune homme, il fit pivoter le télescope de façon à ce que la lunette se trouve en face de l’œil ouvert. « Ne bouge pas… Voilà. Ça devrait être mieux, maintenant. » Il eut un clin d’œil pour le jeune homme, avant de se dire qu’il ne le verrait peut-être pas. « Chez moi, j’avais l’habitude de monter sur le toit de mon immeuble avec ma sœur le week-end pour pouvoir regarder les étoiles. J’essayais de retenir le nom des constellations comme la Grande Ourse et de toujours repérer l’étoile du berger. Là d’où je viens, l’étoile du berger permet de toujours retrouver son chemin quand on est perdu. » De nouveau, il leva les yeux et inspira. « Je te les aurai bien présenté mais j’ai bien peur que tu en saches plus sur les constellations de Pégase que moi… » Il eut un pauvre sourire d’excuse avant de s’éloigner d’un pas pour installer une toile sur un trépied et de fouiller dans le sac qu’il avait pensé à prendre. Il en sortit un livre de documentation pour enfants sur l’espace, les étoiles et les planètes. « Je te promets qu’un jour, je t’emmènerai sur mon monde pour te montrer nos étoiles en vrai, mais en attendant… Tu peux les connaître grâce à ça. » Il le tendit au jeune homme. Il l’avait emprunté à sa sœur, vestige de l’enfance de ses neveux et nièces. Ceux-ci ayant bien grandit, ils n’en avaient plus utilité et sa petite sœur n’avait rechigné à se débarrasser un peu de ces vieux livres – pensant, en revanche, que cela indiquait qu’Evan pensait devenir père. Elle avait passé les jours suivant à l’appeler dans l’espoir de lui tirer les vers du nez avant que le militaire, amusé et agacé à la fois, ne lui rappelle qu’il n’avait personne dans sa vie et que pour avoir un enfant, il était beaucoup plus sage d’avoir une femme – ou du moins, une autre personne. Elle avait fini par capituler mais il savait que tous les livres pour enfant qu’il lui empruntait étaient autant de questions qu’elle s’efforçait de taire par ses lèvres pincées. « Tiens, tu vois ça, c’est la Grande Ourse. » Il avait ouvert le livre au hasard et désignait maintenant le schéma des étoiles, mis en valeur sur le livre par des traits reliant les points entre eux.

[◮ JOB :]

Comme il laissait sa place au jeune pégasien, Evan leva les yeux, les poings sur les hanches. De cette vue, le ciel étoilé ressemblait à celui qu’il distinguait depuis l’enfance. Des points, minuscules et lumineux, qui fascinaient et faisaient s’interroger le militaire. Il sourit aux ténèbres, conscient que même s’il était devenu adulte et s’il avait appris certaines choses au sujet des étoiles, il gardait cette âme d’enfant quand il était question d’étoiles. De’el l’apostropha et Evan baissa les yeux. La situation était caucase ; le pégasien avait un œil, fermé, collé à la lunette, et l’autre grand ouvert. S’il ne se permit pas de rire de l’erreur de son protégé, il ne perdit rien de son sourire avant de finalement s’approcher. « Tu as fermé le mauvais œil, De’el. » Et, posant une main rassurante sur l’épaule du jeune homme, il fit pivoter le télescope de façon à ce que la lunette se trouve en face de l’œil ouvert. « Ne bouge pas… Voilà. Ça devrait être mieux, maintenant. » Il eut un clin d’œil pour le jeune homme, avant de se dire qu’il ne le verrait peut-être pas. « Chez moi, j’avais l’habitude de monter sur le toit de mon immeuble avec ma sœur le week-end pour pouvoir regarder les étoiles. J’essayais de retenir le nom des constellations comme la Grande Ourse et de toujours repérer l’étoile du berger. Là d’où je viens, l’étoile du berger permet de toujours retrouver son chemin quand on est perdu. » De nouveau, il leva les yeux et inspira. « Je te les aurai bien présenté mais j’ai bien peur que tu en saches plus sur les constellations de Pégase que moi… » Il eut un pauvre sourire d’excuse avant de s’éloigner d’un pas pour installer une toile sur un trépied et de fouiller dans le sac qu’il avait pensé à prendre. Il en sortit un livre de documentation pour enfants sur l’espace, les étoiles et les planètes. « Je te promets qu’un jour, je t’emmènerai sur mon monde pour te montrer nos étoiles en vrai, mais en attendant… Tu peux les connaître grâce à ça. » Il le tendit au jeune homme. Il l’avait emprunté à sa sœur, vestige de l’enfance de ses neveux et nièces. Ceux-ci ayant bien grandit, ils n’en avaient plus utilité et sa petite sœur n’avait rechigné à se débarrasser un peu de ces vieux livres – pensant, en revanche, que cela indiquait qu’Evan pensait devenir père. Elle avait passé les jours suivant à l’appeler dans l’espoir de lui tirer les vers du nez avant que le militaire, amusé et agacé à la fois, ne lui rappelle qu’il n’avait personne dans sa vie et que pour avoir un enfant, il était beaucoup plus sage d’avoir une femme – ou du moins, une autre personne. Elle avait fini par capituler mais il savait que tous les livres pour enfant qu’il lui empruntait étaient autant de questions qu’elle s’efforçait de taire par ses lèvres pincées. « Tiens, tu vois ça, c’est la Grande Ourse. » Il avait ouvert le livre au hasard et désignait maintenant le schéma des étoiles, mis en valeur sur le livre par des traits reliant les points entre eux.

[◮ COMPTES :]

Comme il laissait sa place au jeune pégasien, Evan leva les yeux, les poings sur les hanches. De cette vue, le ciel étoilé ressemblait à celui qu’il distinguait depuis l’enfance. Des points, minuscules et lumineux, qui fascinaient et faisaient s’interroger le militaire. Il sourit aux ténèbres, conscient que même s’il était devenu adulte et s’il avait appris certaines choses au sujet des étoiles, il gardait cette âme d’enfant quand il était question d’étoiles. De’el l’apostropha et Evan baissa les yeux. La situation était caucase ; le pégasien avait un œil, fermé, collé à la lunette, et l’autre grand ouvert. S’il ne se permit pas de rire de l’erreur de son protégé, il ne perdit rien de son sourire avant de finalement s’approcher. « Tu as fermé le mauvais œil, De’el. » Et, posant une main rassurante sur l’épaule du jeune homme, il fit pivoter le télescope de façon à ce que la lunette se trouve en face de l’œil ouvert. « Ne bouge pas… Voilà. Ça devrait être mieux, maintenant. » Il eut un clin d’œil pour le jeune homme, avant de se dire qu’il ne le verrait peut-être pas. « Chez moi, j’avais l’habitude de monter sur le toit de mon immeuble avec ma sœur le week-end pour pouvoir regarder les étoiles. J’essayais de retenir le nom des constellations comme la Grande Ourse et de toujours repérer l’étoile du berger. Là d’où je viens, l’étoile du berger permet de toujours retrouver son chemin quand on est perdu. » De nouveau, il leva les yeux et inspira. « Je te les aurai bien présenté mais j’ai bien peur que tu en saches plus sur les constellations de Pégase que moi… » Il eut un pauvre sourire d’excuse avant de s’éloigner d’un pas pour installer une toile sur un trépied et de fouiller dans le sac qu’il avait pensé à prendre. Il en sortit un livre de documentation pour enfants sur l’espace, les étoiles et les planètes. « Je te promets qu’un jour, je t’emmènerai sur mon monde pour te montrer nos étoiles en vrai, mais en attendant… Tu peux les connaître grâce à ça. » Il le tendit au jeune homme. Il l’avait emprunté à sa sœur, vestige de l’enfance de ses neveux et nièces. Ceux-ci ayant bien grandit, ils n’en avaient plus utilité et sa petite sœur n’avait rechigné à se débarrasser un peu de ces vieux livres – pensant, en revanche, que cela indiquait qu’Evan pensait devenir père. Elle avait passé les jours suivant à l’appeler dans l’espoir de lui tirer les vers du nez avant que le militaire, amusé et agacé à la fois, ne lui rappelle qu’il n’avait personne dans sa vie et que pour avoir un enfant, il était beaucoup plus sage d’avoir une femme – ou du moins, une autre personne. Elle avait fini par capituler mais il savait que tous les livres pour enfant qu’il lui empruntait étaient autant de questions qu’elle s’efforçait de taire par ses lèvres pincées. « Tiens, tu vois ça, c’est la Grande Ourse. » Il avait ouvert le livre au hasard et désignait maintenant le schéma des étoiles, mis en valeur sur le livre par des traits reliant les points entre eux.

Comme il laissait sa place au jeune pégasien, Evan leva les yeux, les poings sur les hanches. De cette vue, le ciel étoilé ressemblait à celui qu’il distinguait depuis l’enfance. Des points, minuscules et lumineux, qui fascinaient et faisaient s’interroger le militaire. Il sourit aux ténèbres, conscient que même s’il était devenu adulte et s’il avait appris certaines choses au sujet des étoiles, il gardait cette âme d’enfant quand il était question d’étoiles. De’el l’apostropha et Evan baissa les yeux. La situation était caucase ; le pégasien avait un œil, fermé, collé à la lunette, et l’autre grand ouvert. S’il ne se permit pas de rire de l’erreur de son protégé, il ne perdit rien de son sourire avant de finalement s’approcher. « Tu as fermé le mauvais œil, De’el. » Et, posant une main rassurante sur l’épaule du jeune homme, il fit pivoter le télescope de façon à ce que la lunette se trouve en face de l’œil ouvert. « Ne bouge pas… Voilà. Ça devrait être mieux, maintenant. » Il eut un clin d’œil pour le jeune homme, avant de se dire qu’il ne le verrait peut-être pas. « Chez moi, j’avais l’habitude de monter sur le toit de mon immeuble avec ma sœur le week-end pour pouvoir regarder les étoiles. J’essayais de retenir le nom des constellations comme la Grande Ourse et de toujours repérer l’étoile du berger. Là d’où je viens, l’étoile du berger permet de toujours retrouver son chemin quand on est perdu. » De nouveau, il leva les yeux et inspira. « Je te les aurai bien présenté mais j’ai bien peur que tu en saches plus sur les constellations de Pégase que moi… » Il eut un pauvre sourire d’excuse avant de s’éloigner d’un pas pour installer une toile sur un trépied et de fouiller dans le sac qu’il avait pensé à prendre. Il en sortit un livre de documentation pour enfants sur l’espace, les étoiles et les planètes. « Je te promets qu’un jour, je t’emmènerai sur mon monde pour te montrer nos étoiles en vrai, mais en attendant… Tu peux les connaître grâce à ça. » Il le tendit au jeune homme. Il l’avait emprunté à sa sœur, vestige de l’enfance de ses neveux et nièces. Ceux-ci ayant bien grandit, ils n’en avaient plus utilité et sa petite sœur n’avait rechigné à se débarrasser un peu de ces vieux livres – pensant, en revanche, que cela indiquait qu’Evan pensait devenir père. Elle avait passé les jours suivant à l’appeler dans l’espoir de lui tirer les vers du nez avant que le militaire, amusé et agacé à la fois, ne lui rappelle qu’il n’avait personne dans sa vie et que pour avoir un enfant, il était beaucoup plus sage d’avoir une femme – ou du moins, une autre personne. Elle avait fini par capituler mais il savait que tous les livres pour enfant qu’il lui empruntait étaient autant de questions qu’elle s’efforçait de taire par ses lèvres pincées. « Tiens, tu vois ça, c’est la Grande Ourse. » Il avait ouvert le livre au hasard et désignait maintenant le schéma des étoiles, mis en valeur sur le livre par des traits reliant les points entre eux.

[Joueur]

De’el n’arrivait pas à voir les étoiles car il s’y prenait très mal. Evan vint le voir le sourire aux lèvres, afin de le décaler. En effet comme ça c’était bien mieux. Le jeune pégasien put apprécier le fait de voir les étoiles comme il ne les avait jamais vu. Il fut d’abord surprit, puis intrigué. Il regarda tout ça avec un regard d’enfant. Il écouta en même temps Evan lui parler des étoiles de la Terre, et de comment il faisait pour les regarder. De’el se stoppa de regarder les étoiles quelques instants, puis il fit à Evan :

« J’aimerais bien voir les étoiles de ton peuple. Je sais que mes parents nous racontaient beaucoup de choses aux sujets des étoiles et des ancêtres, mais je t’avoue que j’ai plus trop de souvenirs de tout ça. Peut être qu’un jour ça reviendra. En attendant, je peux te montrer l’étoile qui me guide. »

Il lui envoya un jolie sourire. Tout était un prétexte pour le partage entre Evan et De’el. Le jeune homme avait tout fait pour essayer de lui ressembler, mais c’était pas seulement ce qui était le plus important pour lui, il voulait le comprendre, alors il avait apprit à lire, et depuis un an maintenant il tentait de lire tout ce qui passait sous ses yeux afin d’être aussi fort que Evan. Il voulait comprendre de quoi le jeune homme lui parlait. Il était devenue le modèle de De’el. Le garçon regarda le livre que Evan lui tendit et il le prit dans les mains comme un don précieux. Il fit :

« Merci je prendrais grand soin de ce livre. »

Et illiquo il l’ouvrit. Il observait les étoiles et tentait de tout comprendre mais il y avait beaucoup de mot que De’el ne comprenait pas vraiment, il ne fit rien voir pourtant. Mais cela le découragea rapidement. Il écouta Evan lui montrer l’étoile nommer la grande Ours. De’el plissa les yeux et lui dit :

« Pourquoi donner un nom d’animal à une étoile ? Dans mon peuple, on nommait les étoiles comme nos ancêtres, à chaque fois que l’un d’eux nous quittait, une nouvelle étoile s’illuminait. Sur certaines planètes, tu ne peux pas voir les étoiles, mais il y a trois lunes. »

Il marqua une pause et reprit en regardant son ami qui avait sortie son matériel pour peindre :

« J’aime regarder les étoiles. Je me dis que je suis pas seul comme ça. Enfin maintenant je sais que je ne suis pas seul…Grace à toi. Merci Evan. »

C’était bien la première fois que De’el remerciait son ami comme ça. Il avait comprit l’importance de l’amitié en deux ans sur la cité. Et pourtant au début ce n’était pas gagner, comment voulez vous qu’un sauvageon s’adapte ici ? Et bah croyez le ou non, grâce à Lorne, De’el avait apprit bien plus vite et il avait aussi rapidement intégrer une équipe SG.

[hs : désolé c'est pas terrible :( ]

[◮ DOSSIERS :]

De’el n’arrivait pas à voir les étoiles car il s’y prenait très mal. Evan vint le voir le sourire aux lèvres, afin de le décaler. En effet comme ça c’était bien mieux. Le jeune pégasien put apprécier le fait de voir les étoiles comme il ne les avait jamais vu. Il fut d’abord surprit, puis intrigué. Il regarda tout ça avec un regard d’enfant. Il écouta en même temps Evan lui parler des étoiles de la Terre, et de comment il faisait pour les regarder. De’el se stoppa de regarder les étoiles quelques instants, puis il fit à Evan :

« J’aimerais bien voir les étoiles de ton peuple. Je sais que mes parents nous racontaient beaucoup de choses aux sujets des étoiles et des ancêtres, mais je t’avoue que j’ai plus trop de souvenirs de tout ça. Peut être qu’un jour ça reviendra. En attendant, je peux te montrer l’étoile qui me guide. »

Il lui envoya un jolie sourire. Tout était un prétexte pour le partage entre Evan et De’el. Le jeune homme avait tout fait pour essayer de lui ressembler, mais c’était pas seulement ce qui était le plus important pour lui, il voulait le comprendre, alors il avait apprit à lire, et depuis un an maintenant il tentait de lire tout ce qui passait sous ses yeux afin d’être aussi fort que Evan. Il voulait comprendre de quoi le jeune homme lui parlait. Il était devenue le modèle de De’el. Le garçon regarda le livre que Evan lui tendit et il le prit dans les mains comme un don précieux. Il fit :

« Merci je prendrais grand soin de ce livre. »

Et illiquo il l’ouvrit. Il observait les étoiles et tentait de tout comprendre mais il y avait beaucoup de mot que De’el ne comprenait pas vraiment, il ne fit rien voir pourtant. Mais cela le découragea rapidement. Il écouta Evan lui montrer l’étoile nommer la grande Ours. De’el plissa les yeux et lui dit :

« Pourquoi donner un nom d’animal à une étoile ? Dans mon peuple, on nommait les étoiles comme nos ancêtres, à chaque fois que l’un d’eux nous quittait, une nouvelle étoile s’illuminait. Sur certaines planètes, tu ne peux pas voir les étoiles, mais il y a trois lunes. »

Il marqua une pause et reprit en regardant son ami qui avait sortie son matériel pour peindre :

« J’aime regarder les étoiles. Je me dis que je suis pas seul comme ça. Enfin maintenant je sais que je ne suis pas seul…Grace à toi. Merci Evan. »

C’était bien la première fois que De’el remerciait son ami comme ça. Il avait comprit l’importance de l’amitié en deux ans sur la cité. Et pourtant au début ce n’était pas gagner, comment voulez vous qu’un sauvageon s’adapte ici ? Et bah croyez le ou non, grâce à Lorne, De’el avait apprit bien plus vite et il avait aussi rapidement intégrer une équipe SG.

[hs : désolé c'est pas terrible :( ]

[◮ HERE :]

De’el n’arrivait pas à voir les étoiles car il s’y prenait très mal. Evan vint le voir le sourire aux lèvres, afin de le décaler. En effet comme ça c’était bien mieux. Le jeune pégasien put apprécier le fait de voir les étoiles comme il ne les avait jamais vu. Il fut d’abord surprit, puis intrigué. Il regarda tout ça avec un regard d’enfant. Il écouta en même temps Evan lui parler des étoiles de la Terre, et de comment il faisait pour les regarder. De’el se stoppa de regarder les étoiles quelques instants, puis il fit à Evan :

« J’aimerais bien voir les étoiles de ton peuple. Je sais que mes parents nous racontaient beaucoup de choses aux sujets des étoiles et des ancêtres, mais je t’avoue que j’ai plus trop de souvenirs de tout ça. Peut être qu’un jour ça reviendra. En attendant, je peux te montrer l’étoile qui me guide. »

Il lui envoya un jolie sourire. Tout était un prétexte pour le partage entre Evan et De’el. Le jeune homme avait tout fait pour essayer de lui ressembler, mais c’était pas seulement ce qui était le plus important pour lui, il voulait le comprendre, alors il avait apprit à lire, et depuis un an maintenant il tentait de lire tout ce qui passait sous ses yeux afin d’être aussi fort que Evan. Il voulait comprendre de quoi le jeune homme lui parlait. Il était devenue le modèle de De’el. Le garçon regarda le livre que Evan lui tendit et il le prit dans les mains comme un don précieux. Il fit :

« Merci je prendrais grand soin de ce livre. »

Et illiquo il l’ouvrit. Il observait les étoiles et tentait de tout comprendre mais il y avait beaucoup de mot que De’el ne comprenait pas vraiment, il ne fit rien voir pourtant. Mais cela le découragea rapidement. Il écouta Evan lui montrer l’étoile nommer la grande Ours. De’el plissa les yeux et lui dit :

« Pourquoi donner un nom d’animal à une étoile ? Dans mon peuple, on nommait les étoiles comme nos ancêtres, à chaque fois que l’un d’eux nous quittait, une nouvelle étoile s’illuminait. Sur certaines planètes, tu ne peux pas voir les étoiles, mais il y a trois lunes. »

Il marqua une pause et reprit en regardant son ami qui avait sortie son matériel pour peindre :

« J’aime regarder les étoiles. Je me dis que je suis pas seul comme ça. Enfin maintenant je sais que je ne suis pas seul…Grace à toi. Merci Evan. »

C’était bien la première fois que De’el remerciait son ami comme ça. Il avait comprit l’importance de l’amitié en deux ans sur la cité. Et pourtant au début ce n’était pas gagner, comment voulez vous qu’un sauvageon s’adapte ici ? Et bah croyez le ou non, grâce à Lorne, De’el avait apprit bien plus vite et il avait aussi rapidement intégrer une équipe SG.

[hs : désolé c'est pas terrible :( ]

[◮ JOB :]

De’el n’arrivait pas à voir les étoiles car il s’y prenait très mal. Evan vint le voir le sourire aux lèvres, afin de le décaler. En effet comme ça c’était bien mieux. Le jeune pégasien put apprécier le fait de voir les étoiles comme il ne les avait jamais vu. Il fut d’abord surprit, puis intrigué. Il regarda tout ça avec un regard d’enfant. Il écouta en même temps Evan lui parler des étoiles de la Terre, et de comment il faisait pour les regarder. De’el se stoppa de regarder les étoiles quelques instants, puis il fit à Evan :

« J’aimerais bien voir les étoiles de ton peuple. Je sais que mes parents nous racontaient beaucoup de choses aux sujets des étoiles et des ancêtres, mais je t’avoue que j’ai plus trop de souvenirs de tout ça. Peut être qu’un jour ça reviendra. En attendant, je peux te montrer l’étoile qui me guide. »

Il lui envoya un jolie sourire. Tout était un prétexte pour le partage entre Evan et De’el. Le jeune homme avait tout fait pour essayer de lui ressembler, mais c’était pas seulement ce qui était le plus important pour lui, il voulait le comprendre, alors il avait apprit à lire, et depuis un an maintenant il tentait de lire tout ce qui passait sous ses yeux afin d’être aussi fort que Evan. Il voulait comprendre de quoi le jeune homme lui parlait. Il était devenue le modèle de De’el. Le garçon regarda le livre que Evan lui tendit et il le prit dans les mains comme un don précieux. Il fit :

« Merci je prendrais grand soin de ce livre. »

Et illiquo il l’ouvrit. Il observait les étoiles et tentait de tout comprendre mais il y avait beaucoup de mot que De’el ne comprenait pas vraiment, il ne fit rien voir pourtant. Mais cela le découragea rapidement. Il écouta Evan lui montrer l’étoile nommer la grande Ours. De’el plissa les yeux et lui dit :

« Pourquoi donner un nom d’animal à une étoile ? Dans mon peuple, on nommait les étoiles comme nos ancêtres, à chaque fois que l’un d’eux nous quittait, une nouvelle étoile s’illuminait. Sur certaines planètes, tu ne peux pas voir les étoiles, mais il y a trois lunes. »

Il marqua une pause et reprit en regardant son ami qui avait sortie son matériel pour peindre :

« J’aime regarder les étoiles. Je me dis que je suis pas seul comme ça. Enfin maintenant je sais que je ne suis pas seul…Grace à toi. Merci Evan. »

C’était bien la première fois que De’el remerciait son ami comme ça. Il avait comprit l’importance de l’amitié en deux ans sur la cité. Et pourtant au début ce n’était pas gagner, comment voulez vous qu’un sauvageon s’adapte ici ? Et bah croyez le ou non, grâce à Lorne, De’el avait apprit bien plus vite et il avait aussi rapidement intégrer une équipe SG.

[hs : désolé c'est pas terrible :( ]

[◮ COMPTES :]

De’el n’arrivait pas à voir les étoiles car il s’y prenait très mal. Evan vint le voir le sourire aux lèvres, afin de le décaler. En effet comme ça c’était bien mieux. Le jeune pégasien put apprécier le fait de voir les étoiles comme il ne les avait jamais vu. Il fut d’abord surprit, puis intrigué. Il regarda tout ça avec un regard d’enfant. Il écouta en même temps Evan lui parler des étoiles de la Terre, et de comment il faisait pour les regarder. De’el se stoppa de regarder les étoiles quelques instants, puis il fit à Evan :

« J’aimerais bien voir les étoiles de ton peuple. Je sais que mes parents nous racontaient beaucoup de choses aux sujets des étoiles et des ancêtres, mais je t’avoue que j’ai plus trop de souvenirs de tout ça. Peut être qu’un jour ça reviendra. En attendant, je peux te montrer l’étoile qui me guide. »

Il lui envoya un jolie sourire. Tout était un prétexte pour le partage entre Evan et De’el. Le jeune homme avait tout fait pour essayer de lui ressembler, mais c’était pas seulement ce qui était le plus important pour lui, il voulait le comprendre, alors il avait apprit à lire, et depuis un an maintenant il tentait de lire tout ce qui passait sous ses yeux afin d’être aussi fort que Evan. Il voulait comprendre de quoi le jeune homme lui parlait. Il était devenue le modèle de De’el. Le garçon regarda le livre que Evan lui tendit et il le prit dans les mains comme un don précieux. Il fit :

« Merci je prendrais grand soin de ce livre. »

Et illiquo il l’ouvrit. Il observait les étoiles et tentait de tout comprendre mais il y avait beaucoup de mot que De’el ne comprenait pas vraiment, il ne fit rien voir pourtant. Mais cela le découragea rapidement. Il écouta Evan lui montrer l’étoile nommer la grande Ours. De’el plissa les yeux et lui dit :

« Pourquoi donner un nom d’animal à une étoile ? Dans mon peuple, on nommait les étoiles comme nos ancêtres, à chaque fois que l’un d’eux nous quittait, une nouvelle étoile s’illuminait. Sur certaines planètes, tu ne peux pas voir les étoiles, mais il y a trois lunes. »

Il marqua une pause et reprit en regardant son ami qui avait sortie son matériel pour peindre :

« J’aime regarder les étoiles. Je me dis que je suis pas seul comme ça. Enfin maintenant je sais que je ne suis pas seul…Grace à toi. Merci Evan. »

C’était bien la première fois que De’el remerciait son ami comme ça. Il avait comprit l’importance de l’amitié en deux ans sur la cité. Et pourtant au début ce n’était pas gagner, comment voulez vous qu’un sauvageon s’adapte ici ? Et bah croyez le ou non, grâce à Lorne, De’el avait apprit bien plus vite et il avait aussi rapidement intégrer une équipe SG.

[hs : désolé c'est pas terrible :( ]

De’el n’arrivait pas à voir les étoiles car il s’y prenait très mal. Evan vint le voir le sourire aux lèvres, afin de le décaler. En effet comme ça c’était bien mieux. Le jeune pégasien put apprécier le fait de voir les étoiles comme il ne les avait jamais vu. Il fut d’abord surprit, puis intrigué. Il regarda tout ça avec un regard d’enfant. Il écouta en même temps Evan lui parler des étoiles de la Terre, et de comment il faisait pour les regarder. De’el se stoppa de regarder les étoiles quelques instants, puis il fit à Evan :

« J’aimerais bien voir les étoiles de ton peuple. Je sais que mes parents nous racontaient beaucoup de choses aux sujets des étoiles et des ancêtres, mais je t’avoue que j’ai plus trop de souvenirs de tout ça. Peut être qu’un jour ça reviendra. En attendant, je peux te montrer l’étoile qui me guide. »

Il lui envoya un jolie sourire. Tout était un prétexte pour le partage entre Evan et De’el. Le jeune homme avait tout fait pour essayer de lui ressembler, mais c’était pas seulement ce qui était le plus important pour lui, il voulait le comprendre, alors il avait apprit à lire, et depuis un an maintenant il tentait de lire tout ce qui passait sous ses yeux afin d’être aussi fort que Evan. Il voulait comprendre de quoi le jeune homme lui parlait. Il était devenue le modèle de De’el. Le garçon regarda le livre que Evan lui tendit et il le prit dans les mains comme un don précieux. Il fit :

« Merci je prendrais grand soin de ce livre. »

Et illiquo il l’ouvrit. Il observait les étoiles et tentait de tout comprendre mais il y avait beaucoup de mot que De’el ne comprenait pas vraiment, il ne fit rien voir pourtant. Mais cela le découragea rapidement. Il écouta Evan lui montrer l’étoile nommer la grande Ours. De’el plissa les yeux et lui dit :

« Pourquoi donner un nom d’animal à une étoile ? Dans mon peuple, on nommait les étoiles comme nos ancêtres, à chaque fois que l’un d’eux nous quittait, une nouvelle étoile s’illuminait. Sur certaines planètes, tu ne peux pas voir les étoiles, mais il y a trois lunes. »

Il marqua une pause et reprit en regardant son ami qui avait sortie son matériel pour peindre :

« J’aime regarder les étoiles. Je me dis que je suis pas seul comme ça. Enfin maintenant je sais que je ne suis pas seul…Grace à toi. Merci Evan. »

C’était bien la première fois que De’el remerciait son ami comme ça. Il avait comprit l’importance de l’amitié en deux ans sur la cité. Et pourtant au début ce n’était pas gagner, comment voulez vous qu’un sauvageon s’adapte ici ? Et bah croyez le ou non, grâce à Lorne, De’el avait apprit bien plus vite et il avait aussi rapidement intégrer une équipe SG.

[hs : désolé c'est pas terrible :( ]